ISLAM : LA CROYANCE SANS MIRACLE
Ahmed Bekheir, un ami qui m’avait proposé trois rendez-vous et qui ne vint à aucun, dont un pour défendre le droit à la vie (seulement défendu par de généreux et courageux catholiques), m’écrit : « En Islam aussi nous avons des miracles. Tu n’es juste pas au courant. »
Ma réponse : « Non, vous prétendez qu’il y en a, mais c’est le vide. J’ai demandé à un imam : “donne-moi un seul miracle et je me convertis”. Il confondait comme tous les musulmans miracles et prodiges (œuvres du démon). Ca en était pitoyable. Ahmed, il n’y a rien dans l’Islam, et je ne parle pas des exorcismes qui ne marchent même pas.
Comme tous les musulmans, Ahmed Belkheir est fort gêné, et comme tous les musulmans il affirme sans illustrer ses propos. La croyance musulmane c’est le téléphone arabe : on raconte qu’un saint a fait tel miracle, mais rien n’est prouvé. Ils prétendent que certains de leurs saints ont leur cadavre intact comme dans la religion catholiques qui en compte des centaines, mais quand vous demandez, « où sont ces corps intacts ? », ils répondent qu’ils ne peuvent les exposer car ce sont des corps de saints.
C’est ce que je dis aux catholiques : attaquer un musulman sur la question des miracles, et vous verrez comme mon imam une personne complètement déstabilisée. Ce qui est moins drôle, c’est que cette croyance n’élève pas l’âme vers le Ciel, mais la fait tomber en enfer.
J’incite vraiment les musulmans à contacter dans leur ville des prêtres de la tradition saint Pie X en consultant le site de la porte latine. Vous y verrez des prêtres très bien formés prêts à sauver votre âme. Le problème de l’Islam, est que le musulman existe par rapport à sa communauté. Le concept de liberté est inexistant pour lui.
Photo : imputréfaction d’un saint catholique, Padre Pio. Sa peau regardée au microscope 40 ans après sa mort, en 2008, ne montrait aucune trace de moisissure.
Article juste et efficace ! La dernière phrase surtout. Moi je dis “Le catéchisme discerne tout esprit de division comme le communautarisme” mais j’omettais de conclure que la liberté de mon interlocuteur s’est trouvait entravée. Comme les musulmans ne sont pas des doctrinaux, il est fort judicieux de conclure ainsi !