Ca y est ! Le nouveau livre de Laurent Glauzy sort le 14 août : L’ASSASSINAT DE PADRE PIO – LE SECRET DE LA TOMBE VIDE

Le 14 août, sort le nouveau livre choc de Laurent Glauzy. Son titre est : L’ASSASSINAT DE PADRE PIO – LE SECRET DE LA TOMBE VIDE.

Vous pouvez toujours commander cet ouvrage sans frais de port (offerts) pour 14 €.

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Le livre sera aussi disponible à la librairie amie : LA LIBRAIRIE FRANCAISE (01.83.62.98.12)

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Ci-dessous la préface :

Francesco Forgione, plus connu sous le nom de Padre Pio, né en 1887, à Pietrelcina, décède en 1968, à San Giovanni Rotondo. Il y a donc un demi-siècle que cet homme d’Église, le plus célèbre des temps modernes, rejoignait le ciel.

Sa vocation lui vient tôt, à la suite d’une rencontre avec un prêtre capucin de passage dans sa famille. En janvier 1904, il entre comme novice au couvent des capucins de Morcone, dans le sud de l’Italie. Trois années plus tard, il prononce ses vœux solennels au couvent de San Elia et étudie la théologie à Serva Capriola puis à Montefresco.

Sa mère, Maria Giuseppa, lui avait donné le prénom de François, en hommage au saint d’Assise à l’égard duquel elle éprouvait une grande dévotion. La providence réservera bien des surprises à son enfant, qui comme saint François, portera les stigmates, apparaissant à ces deux hommes en septembre : le 20 pour Padre Pio[1] ; et le 17  pour saint François, soit en 1224, deux ans avant sa mort, quand il s’était retiré en Toscane avec cinq de ses Frères, sur le mont Alverne, afin d’y célébrer l’Assomption de la Très Sainte Vierge et préparer par quarante jours de jeûne la fête de l’archange saint Michel.

Dieu est fidèle aux hommes. Il le prouve par ces nombreux signes : Il donne à ceux qui Lui donnent et Il se donne à ceux qui se donnent à Lui.

Cette fidélité est témoignée par ses saints ayant suivi l’enseignement de la Sainte Église catholique Traditionnelle, seule religion des miracles, d’ailleurs absents, faut-il le rappeler sans cesse, dans les autres croyances, comme l’Islam, le talmudisme, les protestantismes. Ces croyances sont des émanations de l’homme et de l’esprit du mal, opposé en tout point à l’Enseignement du Christ. Les grâces de Dieu ne peuvent pas exister dans des croyances hérétiques, menant de fait les âmes en enfer, et pour l’éternité. Ces dernières ne peuvent donc produire ni saints ni miracles. Il n’est donc pas un hasard si elles sont toutes et sans exception des émanations cabalistes. À ce sujet, le P. Julio Meinvielle (1905-1973), argentin, dont les ouvrages ne peuvent qu’être fortement conseillés pour comprendre les plans de Satan contre l’Église, enseignait que tout ce qui n’est pas catholique est cabaliste.

C’est pourquoi saint Augustin affirmait à bon droit au sujet de la maternité surnaturelle du catholicisme : « Celui qui aura refusé d’avoir l’Église pour Mère n’aura pas Dieu pour Père[2]. »

Or, les miracles attribués à Padre Pio sont nombreux.

Un homme va jusqu’à San Giovanni Rotondo pour le rencontrer. Sur place, la foule si dense l’en dissuade. Alors qu’il s’éloigne du couvent, il sent le merveilleux parfum qui émane des stigmates du Padre et en est réconforté.

Quelques mois plus tard, alors qu’il traverse une zone montagneuse, il respire à nouveau le même parfum. Il s’arrête et demeure quelques instants en extase, humant l’odeur exquise. Quand il revient à lui, il s’aperçoit qu’il se trouve au bord d’un précipice et que sans le parfum du padre, il aurait continué à avancer.

L’homme décide de se rendre à San Giovanni Rotondo. Quand il arrive au couvent, Padre Pio, qui ne l’a jamais vu, l’interpelle en souriant : « Mon fils, prends garde, où tu marches ! ».

Début mai 1919, une petite fille est subitement guérie après une vision de Padre Pio. Le 28 de ce mois consacré à la Très Sainte Vierge, un jeune soldat, blessé pendant la guerre et déclaré incurable par les médecins, se fait transporter auprès de Padre Pio qui le bénit aussitôt, et le guérit. Ces deux miracles, mentionnés dans la presse, remuent les foules : dès juin 1919, chaque jour, trois à cinq cents pèlerins se rendent à San Giovanni Rotondo.

Padre Pio a le don d’ubiquité, manifestant ainsi sa présence à deux endroits différents.

Le Cardinal Merry del Val relate au pape Pie XII qu’il a vu Padre Pio en train de prier dans la crypte de la Basilique Saint-Pierre, devant la tombe de saint Pie X, le jour de la canonisation de sainte Thérèse. Le pape demande l’avis du bienheureux Don Orione, qui répond : « Moi aussi je l’ai vu. Il était en prière, agenouillé devant saint Pie X. Il me regarda en souriant, puis il disparut. »

Padre Pío protége également son couvent des bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Dans la région de San Giovanni Rotondo, où vit le saint, aucune bombe ne tombe. Le P. Damaso da Sant’Elia, supérieur du couvent de Pianisi, raconte cet épisode extraordinaire lors de la cause de canonisation.

« De nombreux pilotes de l’aviation américaine, britannique et de diverses nationalités et religions, étaient affectés, dans la région de Bari, afin de mener à bien des missions sur le territoire italien pendant la Seconde Guerre mondiale. Tous furent témoins d’un évènement hors du commun. Au cours de leurs missions, plusieurs aviateurs ont survolé la zone de Gargano, près de San Giovanni Rotondo, et affirment avoir vu un moine dans le ciel, leur interdisant de lâcher des bombes. »

Foggia et presque toute la région des Pouilles sont bombardées. Mais, curieusement, aucune bombe ne tombe sur la zone de San Giovanni Rotondo. Un témoin direct de ces évènements est le général de l’aviation italienne, Bernardo Rosini, qui a fait partie de l’état-major de l’aviation, aux côtés des forces alliées.

Padre Pio est, aussi, parfaitement conscient des tentatives d’infiltration de l’Église par Satan et la franc-maçonnerie. Dans les années 1960, le célèbre exorciste romain Gabriele Amorth, décédé en 2016, rencontre Padre Pio, et lui parle du Troisième Secret de Fatima. Amorth le mentionne dans un entretien accordé en 2011 et publié dans le livre Le secret le mieux gardé de Fatima. Padre Pio déclare au P. Amorth : « Satan a été introduit au cœur de l’Église et très bientôt il règnera sur une fausse Église. » Amorth explique que Padre Pio est « réellement tourmenté » par le problème de « la grande apostasie au sein de l’Église ».

Cette fausse Église – déjà annoncée par l’Apparition de Notre Mère à La Salette, douze ans avant Lourdes, le 19 septembre 1846, première fois où la Sainte Vierge apparaît en pleurs – est celle de « Vatican II » et de sa nouvelle messe écrite par des pasteurs et le P. Bugnini, franc-maçon, appartenant au cercle criminel du Cardinal sataniste Rampolla.

Il est opportun d’ajouter pour corriger les erreurs que les modernistes de « Vatican II » font courir, que Padre Pio n’a jamais célébré la nouvelle messe et qu’il n’a jamais non plus reçu Wojtyla, le futur « pape » Jean-Paul II, venu soi-disant le visiter à San Giovanni Rotondo, en 1947.

La renommée de Padre Pio contrecarre par conséquent les plans des Illuminati et du « pape » d’origine juive Paul VI, un criminel et un franc-maçon de haut rang.

Comme les Apparitions mariales de Fatima en 1917, les miracles de Padre Pio dynamisent la foi catholique de l’Italie, ce que ne peut tolérer la contre-Église, dans une Italie dédiée à Satan : la franc-maçonnerie italienne possède un hymne à la gloire de Satan qu’elle entonne lors de célébrations républicaines. Composé par le « frère » Giosue Carducci, il fut chanté le 27 août 1887 au théâtre Umberto, à Rome, et lors de l’inauguration d’un mémorial de Garibaldi en 1893.

Padre Pio reprend le terrain gagné par Satan et la franc-maçonnerie. Le pape Benoît XV déclare que « Padre Pio est vraiment un de ces hommes extraordinaires que Dieu envoie de temps à autre sur la terre pour convertir les âmes. »

Les loges ne peuvent pas tolérer cette réalité. Le capucin est l’homme à abattre, à tel point que le Saint-Office place des microphones dans son confessionnal.

Et, à l’instar des desseins du ciel, où la hiérarchie de la Très Sainte Trinité est opposée à Lucifer, Padre Pio constitue une équipe pour lutter contre Satan et la franc-maçonnerie.

L’année qui suit la parution de l’ouvrage de William Carr[3], Des pions sur l’échiquier, c’est-à-dire en 1956, et deux ans avant la « mort » du dernier pape resté fidèle à la Sainte Église, à savoir Pie XII, se déroule une rencontre de la plus haute importance entre le célèbre capucin et le prêtre italien Don Luigi Villa (1918-2012). Dieu lui avait demandé de mandater ce saint prêtre à l’esprit combatif pour qu’il dépiste les infiltrations maçonniques dans l’Église.

Déjà, le 7 avril 1913, Padre Pio fait part à son confesseur le P. Agostino da San Marco d’une Apparition du Christ qui déplore l’ingratitude, l’indifférence, le mépris et l’incrédulité des clercs. Padre Pio observe : « Jésus a hélas raison de déplorer notre ingratitude. Tant de nos malheureux frères répondent à l’amour de Jésus en se jetant dans les bras de l’infâme secte maçonnique ! Prions pour eux. »

Et, aussi, à la fin de cette même année, soit quatre ans avant le Secret de Fatima, le Christ révèle à Padre Pio que de nombreux dignitaires de l’Église sont en lien avec la franc-maçonnerie, ce qui n’est plus un mystère aujourd’hui[4]. De son côté, un siècle plus tard, avec des mots différents, parlant de Satan à qui la franc-maçonnerie voue un culte, le prêtre exorciste de « Vatican II », le P. Gabriele Amorth confie : « Même au Vatican, on trouve des membres de sectes sataniques. Il s’agit de prêtres, d’évêques et même de cardinaux[5]. » Il est fort dommage que le P. Amorth ne soit pas remonté jusqu’aux « papes » de « Vatican II », dont certains sont mêmes accusés de crimes rituels, comme Benoît XVI[6].

Le saint franciscain, indubitablement inspiré par le Très-Haut, charge alors Don Luigi Villa d’une mission : « dédier toute sa vie à défendre l’Église du Christ contre l’action de la Maçonnerie, particulièrement de la Maçonnerie Ecclésiastique » ! Padre Pio adresse Don Villa à l’évêque de Chieti, Mgr Giambattista Bosio, qui lui octroie un domaine d’action. Mgr Bosio, étonné et impressionné par la mission fixée par le P. Pio, se rend à Rome, où il rencontra le Cardinal Tardini. Ayant appris de Mgr Bosio que ce projet vient de Padre Pio, le Cardinal Tardini prit la décision d’en informer Pie XII.

Lorsque Mgr Bosio retourne visiter le Cardinal Tardini, celui-ci lui apprend que Pie XII a approuvé la mission confiée par Padre Pio à Don Villa. Il émet deux conditions : Don Villa doit être diplômé en théologie dogmatique et en outre, il doit se confier à la direction du Cardinal Ottaviani, préfet du Saint Office, du Cardinal Pietro Parente et du Cardinal Pietro Palazzini.

Ces cardinaux ont la charge de le guider et de le mettre au courant de beaucoup de secrets de l’Église, en appui de son mandat pontifical.

Mgr Bosio transmet ces conditions à Don Villa et en ajoute une troisième : « J’accepte la charge d’être votre évêque, mais je vous avertis : n’ayez jamais quoi que ce soit à faire avec Montini » ! Mgr Bosio n’ignore peut-être pas les magouilles du clan Rampolla auxquelles Montini est lié depuis 1945. Pendant toutes ces années, Don Villa travaille comme agent secret du Cardinal Ottaviani, avec pour particularité de fournir des documents sur l’appartenance à la maçonnerie de hauts prélats de l’Église Catholique et de s’occuper de questions confidentielles dans l’Église. Ce rôle fait de Don Villa un personnage connu des bureaux de police, des commissariats, des services de renseignement et des agences d’opérations spéciales.

La connaissance des dossiers les plus secrets et son combat efficace contre la secte maçonnique et contre Paul VI expliquent que Don Luigi Villa ait été victime d’au moins dix tentatives d’attentat. Il en sort indemne. Ce qui est improbable à moins d’une protection surnaturelle[7] !

Don Luigi Villa faillit également être assassiné à Haïti. Il échappe de justesse à une exécution sommaire par des militaires, probablement mandatés par des loges puisque les francs-maçons, nombreux sur cette île des Antilles, où l’on pratique le Vaudou et les sacrifices humains, ont dû être informés de son arrivée et de ses recherches dérangeantes pour les intérêts de la Secte.

Le Cardinal Ottaviani souhaite que Don Villa rencontre Sœur Lucie[8] de Fatima. Muni de toutes les autorisations officielles, Don Villa, se présente à l’évêque de Coïmbra qui ne put s’empêcher de téléphoner directement au Vatican, à Mgr Benelli répertorié comme franc-maçon sur la « Liste Pecorelli » – qui, s’étant mis en rapport avec Paul VI, transmet à Don Villa le refus de rencontrer la prétendue Sœur Lucie ! Malgré un siège de dix jours au Portugal, Don Villa ne peut rencontrer la voyante de Fatima. Les loges ont déjà placé un certain nombre de « chiens de garde » maçonniques pour empêcher que des importuns recueillent des renseignements préjudiciables.

Don Luigi Villa travaille avec le Dr Franco Adessa au mensuel Chiesa Viva qu’il a fondé en 1971. Nous pouvons donc écrire que le Dr Franco Adessa est le « fils spirituel » de Don Luigi Villa, lui-même « fils spirituel » de Padre Pio.

C’est donc avec une grande satisfaction et un immense honneur que je présente le texte sur la tombe vide de Padre Pio, traduit et adapté de l’original Il segreto della tomba vuota di Padre Pio (2018) avec l’autorisation de son auteur, le Dr Franco Adessa.

[1] Les stigmates de Padre Pio apparaissent en 1918, il y a précisément un siècle, par rapport à la rédaction du présent ouvrage.

[2] De symbolo ad catechumenos XIII, t. XL, p. 668.

[3] William Guy Carr, ancien officier de la Marine canadienne, catholique, ayant démasqué dans ses ouvrages (dont le plus célèbre Des Pions sur l’échiquier,1948) le rôle satanique des loges.

[4] Henri Barbier, Le réseau Rampolla et l’éclipse de l’Église catholique, Éd. Fatima-Christ-Roi, p. 139.

[5] P. Gabriele Amorth, Confessions, mémoires de l’exorciste officiel du Vatican, Paris, Michel Lafond, 2010, p. 257, cité par Laurent Glauzy, Pédosatanisme et franc-maçonnerie, l’autel des élites, 2015, p. 172.

[6] Cf. L. Glauzy, op. cit., ch. Sacrifices humains, l’implication de Benoît XVI ?.

[7] Ndlr : Parmi les protections surnaturelles se compte le scapulaire, considéré comme l’armure de la Sainte Vierge. Cette dévotion qui bien entendu n’est plus enseignée par l’église moderne maçonnique, a empêché notamment les soldats le portant d’être blessés et tués par les balles dans les tranchées, lors de la Première Guerre mondiale. Les miracles du scapulaire sont nombreux. Tout catholique en état de Salut peut consulter un prêtre pour se faire poser le scapulaire et le porter avec confiance, comme les médailles Miraculeuse et de Saint Benoît.

[8] Le 13 mai 1917, la Sainte Vierge apparaît pour la première fois aux trois pastoureaux, Lucie dos Santos, Jacinthe et François Marto, dans le village portugais de Fatima, dépendant de la ville d’Ourém. La vraie Sœur Lucie sait que « Vatican II » serait l’église de Satan, et elle aurait révélé cette vérité. Ses parents ne pouvaient pas la visiter au couvent. Il y a tout lieu de penser qu’elle fut assassinée pour être remplacée par un suppôt de Satan. Assassiner une Sœur qui a vu la sainte Vierge ! C’est vraiment Satan qui siège à Rome. Cette vérité est connue de Don Luigi Villa et cachée par Paul VI. Mon livre La numérologie secrète de la synagogue de Satan montre les deux visages de Sœur Lucie, la vraie et la fausse.

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