GÊNES, L’AVERTISSEMENT DES LOGES, par Laurent Glauzy

Dans mon précédent article, j’émettais par la numérologie et à la lecture de l’histoire, que l’écroulement du pont de Gênes a été un attentat orchestré par les loges pour faire infléchir le gouvernement actuel refusant des ministres maçons et s’opposant à la venue des migrants et autres relents de l’Afrique.

L’étude de ce dossier confirme le sérieux de la piste d’une vengeance des loges.

En effet, le 6 août, sur l’autoroute de Bologne toujours sur un axe routier de grande importance comme Gênes, un camion citerne explose, faisant un mort et de nombreux blessés.

Nous apprenons par ailleurs que Benetton, célèbre pour ses positions mondialistes et ses affiches montrant le « mélange des races et des genres », est propriétaire d’Atlantia, le gestionnaire du réseau autoroutier italien, notamment à Gênes.

En outre, la holding familiale, baptisée Edizione, aurait réalisé en 2017 un chiffre d’affaires (maçonnique) de 12,1 (11×11) milliards d’euros. (Cf. L. Glauzy, La numérologie secrète de la Synagogue de Satan).

Or, depuis la catastrophe du pont de Gênes, Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les deux chefs de file populistes du gouvernement italien antimaçonnique, accusent Benetton d’être responsable de la catastrophe de Gênes. Nous l’aurons noté, les médias français, ne communiquent jamais cette dernière version.

Peut-on donc parler d’une implication de Benetton, une “mission secrète” confiée par les loges auxquelles il doit tout, et ayant pour but final de conduire à une crise ministérielle ? Il est à rappeler que les loges pratiquent la peine de mort pour les traitres (ex. le banquier italien Roberto Calvi) L’Italie a aussi déjà été touchée par une affaire de grande ampleur de crime rituel ressemblant à un rite initiatique servant à s’assurer le silence et la FIDÉLITÉ INCONDITIONNELLE d’un “frère” comme dans les “Skulls and Bones”.  De quoi s’agit-il ?

Le 11 avril 1953, la découverte du corps de Wilma Montesi (1932-1953) sur une plage au sud de Rome fait éclater « l’affaire Montesi », qui mêle des personnalités de l’entourage maçonnique et politique.  La jeune femme est victime d’une messe noire avec orgies, dans une propriété, à Rome. Le marionnettiste de ce scandale est le marquis Ugo Montagna, que William Guy Carr, un des plus grands experts de la franc-maçonnerie, identifie comme le chef politique des Illuminés de Bavière, en Italie. L’affaire Wilma Montesi a un retentissement médiatique considérable en raison de l’implication de plusieurs personnalités de premier plan dans les enquêtes qui ont suivi. Bien entendu, comme tous les rites pédosatanistes impliquant le milieu politique, cette affaire n’a pas été résolue. Le rapport d’autopsie établit la présence de sable dans les parties intimes de la jeune femme expliquée comme conséquence d’un rapport sexuel. Il est d’autant plus troublant que Wilma Montesi est retrouvée sur une plage, la veille de Pâques. Tout semble indiquer, pour ceux qui connaissent cette question « interdite », un crime rituel talmudiste perpétré par les loges satanistes et des Talmudistes (Cf. lire de Laurent Glauzy, l’ouvrage intitulé : Pédosatanisme et franc-maçonnerie, l’autel des élites, 2015).

Le pont de Gênes conduit bien sur des pistes inattendues menant à des pontes de la maçonnerie et du mondialisme, rendant comme d’habitude le récit affiché comme « officiel » peu crédible, voire mensonger.

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