Fuyez le très-maçonnique Lourdes pour Bétharram, par Laurent Glauzy

Ce week-end, la presse s’est fait abondamment l’écho d’un acte inqualifiable tellement nous atteignons l’obscène, et dont une soi-disant artiste franco-luxembourgeoise, du prénom qui en dit long, Déborah, est l’auteur : elle s’est exhibée nue devant la sainte Vierge à Lourdes.

Aucune réponse ne peut se nourrir d’un sentiment de haine, car notre religion catholique, la seule vraie, a maintes fois montré la toute puissance de Dieu punissant ces actes. Ce fut le cas, quand les deux organisateurs dont un député européen organisaient les occupations des églises par des immigrés en 1996. Ces deux affiliés des loges sont morts de mort violente.

Ou encore, en 1986, quand le dictateur communiste du Mozambique, Samora Machel, dans un discours lance : « Dieu si tu existes, tue moi ! » Sa conférence terminée, il prend un Tupolev qui se crashe. Bilan : aucun survivant.

En Californie, un médecin Irving Moore Feldkamp, ayant fait fortune dans l’industrie de “l’avortement qui tue des goyim”, perd toute sa famille dans un accident d’avion dont la cause reste inconnue. Peu avant l’atterrissage, l’engin se crashe dans un cimetière, dans le carré réservé aux enfants (cf. http://www.contre-info.com/de-lavi-tass-au-catholic-holy-cross-cemetery-par-laurent-glauzy). Comme quoi, déjà avant l’enfer éternel, il s’agit de payer ici bas la facture.

Contrairement aux hérésies, Dieu est tout puissant, comme il le démontre dans les miracles à l’intérieur de la foi catholique. Nous n’avons donc à nourrir aucune haine, mais à prier pour que le ciel punisse ce geste et rende la France et le monde catholique. C’est par exemple, le chapelet qui a permis à l’Autriche de ne pas être communiste au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et c’est encore le chapelet, sous l’initiative de Pie V, qui a refoulé la peste ottomane mahométane.

Pour reprendre le fil de notre sujet, il est à souligner que Lourdes est devenue un lieu de marchands et de pharisiens, se haïssant les uns et les autres, à tel point que la sorcellerie serait de mise pour s’arracher les meilleures affluences. Quoi de plus normal avec des “étalagistes” vulgaires qui n’ont rien de catholiques. Je tiens ces confidences de commerçants eux-mêmes voulant vendre leur affaire tellement l’ambiance est délétère dans une ville où rien n’échappe à la franc-maçonnerie.

Concernant les touristes, on y voit les tenues les plus excentriques, posant comme devant un monument historique, devant la grotte. La Très Sainte Vierge Marie faisant de fait office de décorum le temps d’une pose. Quelle tristesse ! Vatican II et la franc-maçonnerie ecclésiastique ont bien réussi leur travail de sape visant à conduire le plus d’âmes à la damnation. Heureusement, Dieu qui ne nous abandonne pas, a sauvé l’Eglise par Mgr Lefebvre. Preuve supplémentaire que l’église catholique est bien le corps christique de notre Seigneur Jésus+Christ.

Et, comme ce délabrement ne suffit pas, les frères maçons, aux dépens de Lourdes, travaillent maintenant au développement de Medjugorje, lieu (démoniaque) des fausses apparitions mariales, où nombre de débiles charismatiques prétendent avoir trouvé la foi : “j’ai senti une main se poser sur mon épaule. C’est la sainte vierge !” Voilà la profondeur de foi des modernistes.

Pour échapper à cette ambiance de destruction de Lourdes, les catholiques traditionalistes peuvent se rendre dans un autre lieu marial à une vingtaine de kilomètres, au sanctuaire de Bétharram. La sainte Vierge apparut depuis le moyen-âge dans ce village de Bigorre très peu fréquenté et pourtant magnifique et propice à la prière par sa quiétude où coule avec lenteur le Gave, bien moins tourmenté qu’à Lourdes. C’est à Bétharram, où le sanctuaire fut détruit par la haine de la secte satanique protestante, que saint Michel Garicoïts (1797-1863) fonda une congrégation qui s’occupait des pèlerins, mais aussi pratiquait des retraites selon la spiritualité des Exercices spirituels de Saint Ignace, et des missions de rechristianisation au niveau des écoles.

En 1838, saint Michel Garicoïts fonda la congrégation des Prêtres auxiliaires du Sacré-Cœur de Jésus, qui devint en 1841 la société des Prêtres du Sacré-Cœur de Jésus.

garricoïts

Il eut à subir d’énormes difficultés, à vaincre de nombreuses réticences et à convaincre tous ceux qui se mettaient en travers de ses projets. Il disait lui-même « Que l’enfantement d’une congrégation est chose laborieuse ! ». Toutefois, sa patience, et sa bonté finirent par venir à bout de l’adversité, et l’institut des prêtres de Bétharram s’étendit dans le diocèse d’abord, puis ailleurs en France et en Europe ; enfin le Père put fonder des collèges en Argentine et en Uruguay afin de venir en aide aux émigrés basques qui y étaient partis.

Bétharram, qui est donc le lieu d’apparitions mariales antérieur Lourdes, est propice à l’esprit du pèlerin catholique traditionaliste. Le charme de ce village isolé et engoncé entre les collines de la Bigorre peut donc être un nouveau refuge en terre lourdaise, loin des magasins des commerçants de mauvais goût propre à ce qui est levantin. Et, à Bétharram, les stations du chemin de Croix qui s’enfonce dans la montagne (photo en image principale et en haut à droite) est marqué par des petites chapelles. Bétharram est un vrai paradis sur terre.

 

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