Souffrance.
Et nous y sommes, une Loi interdira tout cheminement aboutissant à l’Hétérosexualité alors que l’adolescent n’est ni Homosexuel ni Transexuel.
La députée de la majorité Laurence Vanceunebrock-Mialon veut déposer un texte d’ici l’été pour interdire cette pratique qui prétend réorienter les personnes homosexuelles vers l’hétérosexualité.
© OZAN KOSE – AFP Les autorités tchétchènes nient l’existence de l’homosexualité dans leur pays.
Vers une loi interdisant les thérapies de conversion en France ?
BFM TV – Esther Paoli
Les thérapies de conversion bientôt interdites en France ? C’est en tout cas ce qu’espère la députée LaREM de l’Allier Laurence Vanceunebrock-Mialon, qui compte déposer un projet de loi à l’Assemblée nationale avant l’été, d’après Le Monde des Religions.
La difficile estimation du nombre de victimes
Cette pratique prétend réorienter les personnes homosexuelles vers l’hétérosexualité par des stages dits de “réorientation”. Ces “thérapies” dans des centres fermés sont souvent tenues par des religieux ou des médecins qui prescrivent des traitements anxiolytiques, comme pour traiter la dépression.
S’il est difficile d’estimer le nombre de centres implantés en France et le nombre de personnes qui en sont victimes, l’association Le Refuge précise à France 24 que “3,5 % des appels [reçus à l’association] concernent cette pratique.”
Flou juridique
Pour lutter contre cette dérive, la député de la majorité travaille donc sur un texte de loi afin de sortir d’un flou juridique. Mais elle fait face à plusieurs difficultés, notamment celle de prouver qu’il y a une intention de changer la sexualité, pas juste de suivre une voie de chasteté.
Tandis que les infractions de violences volontaires et l’exercice illégal de la médecine pourraient s’appliquer, la ministre de la Justice avait déclaré en juillet 2018 que deux options pouvaient également être envisagées:
“Soit la création d’une circonstance aggravante des délits de violences, lorsque celles-ci visent à modifier l’orientation sexuelle de la victime, soit créer un délit spécifique assimilé à l’exercice illégal de la médecine, afin de sanctionner ces pratiques indépendamment des conséquences subies par les victimes”, avait déclaré Nicole Belloubet.
En mars 2018, le Parlement européen avait condamné ces méthodes. Déjà interdites au Royaume-Uni, les thérapies de conversion ont également été bannies à Malte. En dehors de l’Europe, elles ont notamment cours dans plusieurs états américains.
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Des Millions d’Euros mis dans une campagne contre les Parents Hétérosexuels qui auraient “PEUR” de leur Enfants Transexuels !
Quel Parent a PEUR de ses enfants ???
Les Parents sont présentés en pervers sexuels, c’est absolument révoltant.
C’est leur “nouvelle campagne très percutante contre la transphobie”.
“Aucun parent ne devrait préparer son enfant à affronter sa vie plutôt qu’à la vivre“. Voilà le slogan de la nouvelle campagne de sensibilisation contre la transphobie. Dans ce spot diffusé à la télévision et sur les réseaux sociaux, les images sont percutantes et troublantes.
Tout commence par un père de famille, qui tente d’endurcir sa fille, transgenre, par tous les moyens. Course forcée sur la route, entrainement à la boxe, tentative de sortir d’un placard fermé… les scènes peuvent à première vue s’apparenter à une forme de violence. Ce père de famille semble lui-même très touché par la situation.
Des actes transphobes dès l’école
Mais la vidéo montre très vite l’envers du décor. Un mois plus tôt, la jeune fille est rentrée du lycée, en pleurs, avec des contusions sur le visage. “Ça va être dur, mais je vais t’aider. Je t’aime ma chérie“, lui dit alors son père. Une scène qui donne un nouvel éclairage au début de la vidéo.
“En s’appuyant sur la relation d’un père et de sa fille trans, l’objectif de la campagne est de faire prendre conscience au grand public que, sans le soutien de son entourage, un(e) enfant ou adolescent(e) trans pourra très difficilement surmonter les épreuves de la vie, et notamment les agressions dont il ou elle risque d’être victime dès le milieu scolaire“, a expliqué l’Inter-LGBT, dans un communiqué.
Une campagne plus que nécessaire, puisque, selon une enquête menée en 2014, 85% des personnes trans seront agressées au cours de leur vie. Dans le milieu scolaire, les signalements d’actes “LGBTphobes” ont augmenté de 38% en 2017, rappelle le HuffingtonPost.
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“Une campagne plus que nécessaire”disent-ils !!!!!!! Mais pour Qui ?
Les Seules Personnes, à ce jour, qui se font agresser Voire Tuer dans la Rue par l’immigration imposée sont les HETEROSEXUELS. Mais les Hétérosexuels sont les personnes à abattre donc, c’est normal qu’on les Tue pour cet inique Lobby qui prend les adolescents en recherche d’identité pour des COBAYES.
LES RAVAGES DU CHANGEMENT DE SEXE.
Les regrets de Walt Heyer : un transgenre « détruit » par le changement de sexe qu’il a subi
Dans un essai publié mercredi, le transgenre Walt Heyer livre une autobiographie effrayante qui aborde tour à tour les abus et confusion de genre, son opération de changement de sexe et le regret profond de cette décision…
Détruit par une décision qu’il ne peut que regretter
A 74 ans, marié à sa femme depuis 18 ans, Walt Heyer consacre désormais toute son énergie à mettre en garde contre les conséquences tragiques du changement de sexe des transgenres, présenté aujourd’hui comme une solution miracle, mais dont les conséquences réelles sont catastrophiques. « Changer les genres est bénéfique sur le court terme mais très douloureux sur le long terme » écrit-il : « Parmi les conséquences, il y a des morts précoces, des regrets, des maladies mentales et le suicide ».
Walt Heyer, enfant traumatisé par une grand-mère qui l’habillait en robe
Walt Heyer, mal diagnostiqué, avait cédé à la pression pour subir une opération de changement de sexe, et reste donc aujourd’hui particulièrement sensible aux nombreux jeunes qui ne sont pas à l’aise avec leur propre sexualité et subissent une forte pression de la société pour prendre une décision irréversible. « Au lieu de les encourager à subir une opération chirurgicale non nécessaire et destructrice, aimons ces jeunes tels qu’ils sont », écrit-il encore.
Lorsqu’il était enfant, sa grand-mère rêvait d’une petite-fille et le traitait donc comme telle : elle était très affectueuse lorsqu’il portait sa petite robe violette, et désagréable lorsqu’il était habillé comme un garçon.
« Cette robe », écrit Heyer, « a déclenché une vie remplie de dysphorie du genre, d’abus sexuel, d’alcool, de drogue et finalement d’un changement de sexe inutile. Ma vie a été détruite par un adulte qui voulait m’habiller comme une fille. »
Selon Walt Heyer, laisser des enfants vivre dans le genre opposé est destructeur
Walt Heyer manque désormais de patience avec les parents qui pensent rendre service à leur enfant en accentuant leur confusion et en les laissant réaliser leur « rêve d’être du genre opposé ». Il le dit très clairement : ce comportement est destructif, c’est celui qui l’a détruit.
C’est lorsqu’il avait une quarantaine d’années qu’un médecin a poussé Walt Heyer à subir un changement de sexe, ce qu’il a fait, persuadé de réaliser enfin son rêve et convaincu par ce médecin qui lui répétait que l’opération était « la solution » à ses problèmes de dysphorie du genre.
Walt Heyer devient alors Laura Jensen.
Pour Walt Heyer, le sursis accordé aux transgenres par le changement de sexe est provisoire
« Le sursis fourni par la chirurgie et la vie féminine était seulement provisoire » raconte-t-il. « Caché profondément sous le maquillage et les vêtements féminins, demeurait ce petit garçon traumatisé par les douleurs de son enfance qui refaisait surface. »
Être une femme n’était qu’une « couverture » regrette-t-il.
Il reproche au médecin de ne pas avoir été capable de tenir compte d’une enfance difficile (avec sa grand-mère, mais également parce qu’il a été abusé et violé par l’un de ses oncles qui avait découvert le « secret » de la robe qu’elle lui avait imposée) et de son alcoolisme : « Il n’a vu que mon identité transgenre. »
Aujourd’hui, il lutte pour que sa souffrance ne soit imposée à aucun autre : il tient un site internet SexChangeRegret.com, et rédige un blogue en espérant révéler les conséquences tragiques des changements de sexe.
Walt Heyer a lui-même recouvré, autant que possible, son identité d’homme.
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LA REALITE
De plus en plus les transgenres renient leur nouveau sexe
La vidéo Youtube I want my sex back : « je veux revenir à mon sexe » a été vue plus de neuf millions de fois. Elle parle de transgenres qui ont regretté leur changement chirurgical du sexe. Le professeur serbe Miroslav Djordjevic s’est spécialisé dans la réassignation sexuelle, mais aussi dans les réparations de ceux ou celles qui veulent revenir à leur sexe génétique donc celui qu’ils avaient à la naissance. Ce médecin est persuadé que ceux qui réussissent à changer de sexe ne sont pas heureux ; ce que LGBT ignore par idéologie, c’est cette souffrance vers laquelle ce lobby veut pousser adultes et enfants. Or ce chirurgien est de plus en plus réticent.
Les personnes Transexuelles, vivent une souffrance au quotidien du fait des ablations de parties de leur corps ou rajout. Elles veulent Retrouver leur VERITABLE IDENTITE a un moment donné.
Qui peut vivre en Paix dans un corps Mutilé ?
C’EST LE LOBBY LGBT QUI CREE LA SOUFFRANCE ET LA SOUFFRANCE AMENE SOUVENT AU SUICIDE.
Brieuc, 21 ans : « Non ce n’est pas Monsieur. Mais ce n’est pas Madame non plus »
AINSI SOIENT-IELS. Brieuc se genre au féminin et laisse pousser sa barbe. « J’ai conscience que je peux troubler », dit-elle. Alors elle explique tout ça sur sa chaîne YouTube.
Ce témoignage est extrait de la série « Ni fille ni garçon ». Les 7 autres histoires sont à retrouver ici.
« Les normes de genres, j’aime jouer avec. C’est ma manière de les déconstruire. J’ai été assignée homme à la naissance mais je n’ai jamais été juste un garçon. Et je ne suis pas une femme pour autant, je suis entre les deux.
Je me genre au féminin et je porte du rouge à lèvres, des robes ou du vernis, mais je laisse aussi pousser ma barbe.
Lire la suite sur le nouvel ob’s
Excellent travail, merci Brianajane.