SE RENCONTRER DANS LE CADRE DU MARIAGE, AUTREMENT ?, par Laurent Glauzy

Un homme et une femme ont pour vocation de se rencontrer uniquement dans le cadre du mariage et de fonder une famille.
Quelle attitude alors adopter quand le mariage n’est plus de mise ?
Dans ce cas, la réponse est claire : les deux personnes doivent se quitter et rompre toute relation. Il y a deux raisons : continuer à rencontrer une personne sans perspective de mariage consolide un plaisir qui mène très souvent au péché. Et, il faut agir en vieille prudence chrétienne. Ensuite, le fait de rompre tous les liens sans exception, permet d’entamer un travail d’oubli et de se mettre dans la perspective de rencontrer quelqu’un pour le mariage.
La peine de la personne quittée n’est pas notre affaire. Il faut uniquement obéir à Dieu et à son Eglise. Et Il fera comme bon Lui semble avec les cœurs désespérés. Cette fausse question humaniste est un piège du démon. On dit souvent en religion, que la mollesse est le coussin du diable.
Au même titre, il ne faut pas prier pour la personne que l’on quitte. Ce comportement ravive les passions. Le devoir de prière s’adresse aux personnes de sa famille en priorité. Et, dans les temps présents d’apostasie générale, il y a beaucoup à faire dans ce domaine.
Cependant, le chapelet de saint Michel que l’on prie pour les neuf chœurs des anges et le chapelet quotidien exigé par notre sainte Mère permettent de consoler (mieux qu’on ne peut le penser) les cœurs brisés.

2 Commentaires

  • Ratusbibliothecorum

    Sur ces points, il faut raison garder. Le texte présente une équivoque. Il peut exister des amitiés en tout bien, tout honneur entre hommes et femmes sans qu’il soit question de marivaudage pour autant. Non, il y a plus de femmes qu’on le croit qui ne sont ni des midinettes, ni des “cagolles”…. Il faut savoir ce que l’on veut. Bien entendu, il faut énormément de prudence et savoir rompre une relation qui dérape, c’est évident. Cela dit bien des équivoques viennent du fait que l’on explique pas aux garçons comment fonctionnent les filles et inversement aux filles comment fonctionnent les garçons. Les deux fonctionnements sont à rebours mais complémentaires. La prudence et la vertu, oui. La dureté de cœur non. Un minimum de charité est nécessaire si l’on ne veut pas jeter la personne en question dans le désespoir et avoir à en répondre. C’est à voir au cas par cas avec un directeur spirituel éclairé et équilibré qui lui aura la grâce d’état pour cela. N’usurpons pas des fonctions qui ne sont pas les nôtres. Nous ne sommes pas des pasteurs.

  • dom64verona88chrysostomos

    C’est très simple: il faut être catholique et agir en tant que tel!

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