Message au Petit Peuple Juif de France concernant l’Affaire Yann Moix. VIDEO

Stéphane Blet s’adresse au Petit Peuple Juif de France pour leur rappeler que leurs Réels Ennemis ne sont pas ceux les Organisations Juives leur désignent. Yann Moix fait parti des pires râclures que cette terre contient.

 

Nous, Catholiques, savons que le Pape Pie XII a hébergé de très nombreuses familles Juives au Vatican qu’il a sauvé des camps de concentration. A cet effet,  le grand rabbin de Rome, Israël Zolli, constatant tout l’Amour et tout  l’Attachement du Saint Pape Pie XII pour le petit Peuple Juif Italien SE CONVERTIRA AU CATHOLICISME EN 1945 ET PRENDRA LE NOM DE EUGENIO PIO EN HOMMAGE A PIE XII.

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Ce que les juifs ont dit du pape Pie XII

Pie XII

Petit rafraîchissement historique concernant le pape Pie XII :

1) Israël Zolli, grand rabbin de Rome, s’est converti au catholicisme en 1945. Il a pris pour prénom de baptême « Eugenio Pio » en hommage au pape Pie XII pour ses actes héroïques en faveur des juifs.

2) Albert Einstein écrivait, dans le Time Magazine du 23 décembre 1940 : « Lorsque la révolution nazie survint en Allemagne, c’est sur les universités que je comptais pour défendre la liberté, dont j’étais moi-même un amoureux, car je savais qu’elles avaient toujours mis en avant leur attachement à la cause de la vérité ; mais non, les universités furent immédiatement réduites au silence. Alors je me tournai vers les grands éditeurs de journaux, dont les éditoriaux enflammés des jours passés avaient proclamé leur amour de la liberté ; mais eux aussi, en quelques courtes semaines et comme les universités, furent réduits au silence. Dans la campagne entreprise par Hitler pour faire disparaître la vérité, seule l’Eglise catholique se tenait carrément en travers du chemin. Je ne m’étais jamais spécialement intéressé à l’Eglise auparavant, mais maintenant je ressens pour elle grande affection et admiration, parce qu’elle seule a eu le courage et la persévérance de se poser en défenseur de la vérité intellectuelle et de la liberté morale.
Je suis donc bien forcé d’avouer que, maintenant, c’est sans réserve que je fais l’éloge de ce qu’autrefois je dédaignais. »

3) Golda Meïr, en 1958, lors du décès de Pie XII, déclara : « Pendant les dix années de terreur nazie, quand notre peuple subit un terrible martyre, la voix du pape s’est élevée pour condamner les persécuteurs et invoquer la pitié envers leurs victimes. La vie de notre temps a été enrichie par une voix qui disait les grandes vérités morales au-dessus du tumulte des conflits quotidiens. Nous pleurons un grand serviteur de la paix. »

4) Marcus Melchior, grand rabbin du Danemark, a déclaré : « Si le pape avait parlé, Hitler aurait massacré beaucoup plus que six millions de juifs et peut être 10 millions de catholiques. »

5) Isaac Herzog, grand rabbin de Jérusalem, dans une correspondance privée avec Pie XII, écrit : « Le peuple juif se souviendra vivement avec la plus profonde gratitude de l’aide apportée par le Saint-Siège au peuple souffrant durant la persécution nazie. Sa Sainteté a agi pour éradiquer l’antisémitisme dans de nombreux pays. Que D… permette que l’histoire se souvienne que lorsque tout était noir pour notre peuple, Votre Sainteté a allumé pour lui une lumière d’espérance. »

6) Elie Toaff, grand rabbin de Rome, déclara en 1958 : « Les juifs se souviendront toujours de ce que l’Eglise Catholique a fait pour eux sur l’ordre du pape au moment des persécutions raciales. Quand la guerre mondiale faisait rage, Pie XII s’est prononcé souvent pour condamner la fausse théorie des races. De nombreux prêtres ont été emprisonnés et ont sacrifié leur vie pour aider les juifs. »

 

La Contre Révolution : https://lacontrerevolution.wordpress.com/2016/01/12/ce-que-les-juifs-ont-dit-du-pape-pie-xii/

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Comment ces Organisations Juives (CRIF -LICRA and CO) parlent de Notre Saint Pape Pie XII qui a sauvé des centaines de Familles Juives ?

Voilà ce qu’est juste capable d’afficher le CRIF aidé du Talmud qu’il suit à la Règle !

Le Crif.org : http://www.crif.org/fr/tribune/l%E2%80%99antijuda%C3%AFsme-coupable-de-pie-xi-et-de-pie-xii-1937-1965/37393

Publié le 10 Juin 2013

L’antijudaïsme coupable de Pie XI et de Pie XII. 1937-1965

Par André Charguéraud, auteur de « 50 idées reçues sur la Shoah » (Labor et Fides)

“Ils ont courageusement dénoncé le racisme tout en prêchant constamment l’antijudaïsme.”

 

Les « silences » de Pie XII pendant la Shoah ont été dénoncés sans relâche dans de multiples livres et articles. Ils ont fait l’objet d’un film et d’une pièce de théâtre, tous les deux ouverts à la controverse.  On relève bien deux allusions de Pie XII aux exactions nazies, celle de son message de Noël 1942 et l’autre en juin 1943 devant le Sacré Collège. « Ni l’une ni l’autre ne sont des dénonciations solennelles que la conscience universelle reproche au pape de ne pas avoir prononcées contre le IIIème Reich », écrit pertinemment l’historien Bernard Reymond.

Si le pape refuse toute condamnation formelle de l’anéantissement des communautés juives et de l’intelligentsia catholique polonaise par le régime nazi, il est alors impératif qu’il appelle publiquement ses fidèles à « tendre la main à leur prochain ».  Qu’ils se portent par tous les moyens disponibles au secours des victimes quelle que soit leur « race ». Ces messages « de charité chrétienne » auraient être critiqués par Berlin, mais pas fait l’objet de représailles. Le pape n’a pas répondu à cette attente.

On argumente que, comme son prédécesseur, Pie XII a, clairement et à de nombreuses reprises, condamné le racisme. Pour Rome, la doctrine est univoque : « La prétendue question juive, dans son essence, n’est une question ni de race, ni de nation, ni de nationalité terrienne, ni de droit de cité dans l’État. C’est une question de religion »,  souligne Humani Generis Unitas que fit préparer Pie XI avant de mourir en février 1939. L’encyclique ne fut pas publiée. Elle n’en reste pas moins la position réfléchie et constamment réaffirmée par Rome. Pour les nazis la race et le sang, pour les catholiques la religion et la culture. La distinction est claire, absolue et définitive.

Cette dénonciation répétée du racisme est un grand pas dans la bonne direction. Elle aurait dû mobiliser les catholiques pour se porter au secours des Juifs condamnés par les nazis du fait de leur race. Malheureusement l’antisémitisme revêt deux aspects : le racisme et l’antijudaïsme. Le comportement de l’Église catholique est ambivalent. Elle dénonce le racisme et poursuit en même temps, malgré la persécution meurtrière de Juifs, une politique violemment antijudaïque.

Un article paru en novembre 1939 dans le magazine américain Catholic World est un exemple de cette ambivalence. On y lit : « L’antisémitisme est injuste, brutal et en opposition avec les enseignements du Christ. Si des personnes un peu simples d’esprit ont parfois pensé qu’elles devaient venger notre Sauveur du traitement qu’il reçut de son propre peuple, elles se trompent lourdement. Il est vrai que les Juifs furent rejetés par Dieu en tant que nation par laquelle le salut du monde devait venir, parce que les Juifs et leurs enfants portent le sang du Christ. Il est probablement exact que beaucoup des difficultés qui ont confronté le peuple choisi par Dieu sont la punition du Père céleste qui désire les ramener à lui ».

Le 11 janvier 1939 dans le Corriere della sera, le Père Gemelli, recteur de l’Université catholique de Milan, écrit : « Tragique sans doute et douloureuse est la situation de ceux qui ne peuvent pas faire partie, par le sang et par leur religion, de cette magnifique patrie ; tragique situation dans laquelle nous voyons, une fois de plus, comme en beaucoup d’occasions au cours des siècles, se réaliser cette terrible sentence que le peuple déicide a appelée sur lui et pour laquelle il va, errant de par le monde, incapable de trouver la paix d’une patrie pendant que les conséquences de l’horrible crime le poursuivent en tout temps et en tous lieux ».

Les encycliques de Pie XI et de Pie XII rappellent aux fidèles la dénonciation du judaïsme par l’Église catholique. Dix-huit mois après la publication des lois racistes de Nuremberg, quelques lignes dans Mit Brennender Sorge soulignent « l’infidélité du peuple choisi (…) s’égarant sans cesse loin de son Dieu (…) qui devait crucifier le Christ ».

L’encyclique Humani Generis Unitas va dans le même sens et même au-delà. Bien qu’elle soit restée à l’état de projet, elle reflète parfaitement la politique du Vatican. Les Juifs, peut-on y lire, « rendus aveugles par leur vision de domination matérielle et de gains n’ont pas reconnu le Sauveur ». Ses dirigeants « ont eux-mêmes appelé sur leurs têtes la malédiction divine » qui condamne les Juifs « à errer perpétuellement à la surface de la Terre ». Le texte va plus loin en précisant que l’Église « ne doit pas être aveugle devant ce danger spirituel auquel les esprits sont exposés au contact des Juifs et qu’il est nécessaire de rester attentif à protéger les enfants contre une contagion spirituelle ».

De telles déclarations ne vont pas inciter les catholiques sur le terrain à se porter au secours des Juifs et en particulier de leurs enfants. À moins que ce ne soit pour tenter de les convertir au christianisme, seul moyen pour eux de « sauver » leurs âmes perdues. L’encyclique de juin 1943 Mystici Corporis Christi répète une fois de plus que c’est la seule façon d’assurer leur salut et de les rendre fréquentables. S’il est dit dans cette encyclique que Dieu demande aux chrétiens d’aimer tous les peuples quelle que soit leur race, elle précise que tous les hommes quelle que soit leur race ne sont unis au sein de l’Église que s’ils se sont convertis. Si les Juifs ne se sont pas convertis, leur destin échappe à l’Église parce qu’ils ont brisé l’Alliance. Parce que les Juifs ont crucifié le Messie, ils ont créé leur propre destin désastreux d’éternels voyageurs sur terre. Le christianisme a supplanté le judaïsme. Les Juifs ont perdu leur statut de peuple élu.

Le prêtre prêche à chaque office « l’amour du prochain », mais en même temps il exclut les Juifs qui ne sont pas convertis. L’ensemble de ces positions idéologiques est depuis des siècles bien implanté dans chaque paroisse. Elles ont perverti l’ensemble des fidèles jusqu’au fond des campagnes. C’est un antisémitisme primaire destructeur de toute bienveillance envers les Juifs. Il faut attendre Vatican II et Nostra Aetate, publié en 1965, pour que le Vatican exonère le peuple juif de sa responsabilité dans la crucifixion.  Nostra Aetate a provoqué bien trop tardivement un lent changement dans les mentalités.

Certes de nombreux catholiques, individuellement ou au sein d’organisations confessionnelles, ont aidé des Juifs matériellement, allant jusqu’à les cacher avec tous les risques que cela comporte pour eux et leurs proches. Certes des prêtres dans leurs homélies ont appelé leurs fidèles à intervenir.  Mais si Pie XI et Pie XII comme des membres du haut clergé, sans changer la politique tracée par leurs prédécesseurs, s’étaient abstenus de rappeler les « errements » du peuple élu et la conduite négative à suivre vis-à-vis des Juifs, leurs fidèles se seraient portés en plus grand nombre à leur secours.

L’exemple en France des protestants réformés est éloquent. L’examen de la liste des « Justes parmi les Nations » en France, montre que près de 20% d’entre eux sont protestants, alors qu’ils ne représentaient que 1% de la population française.  Le père Pierre Chaillet qui en 1941 et 1942 s’est dépensé pour mobiliser les catholiques en faveur des camps d’internement de Vichy a dénoncé cette « carence de la charité catholique ». Il écrit : « Jusqu’à présent, en dépit de quelques efforts méritoires, mais très dispersés et sans coordination de la part de l’Église catholique, on constate douloureusement que l’œuvre d’assistance matérielle, sociale et morale, dans de nombreux « camps d’hébergement » et auprès des réfugiés isolés des villes, est pour ainsi dire totalement accomplie par les grands comités protestants d’aide aux réfugiés».

On reproche aux deux papes leur silence. Pie XI n’a pas dénoncé les persécutions dont les Juifs ont été les victimes avant la guerre. Pie XII  ne s’est pas élevé publiquement contre les exterminations nazies de la Shoah. Au moins devaient-ils impérativement éviter de répéter dans leurs encycliques les propos antijudaïques d’une doctrine qu’ils n’ont pas amendée en temps utile. Leurs fidèles ainsi démotivés ont pour un trop grand nombre exclu les Juifs de leur devoir de chrétiens. Des milliers de vies auraient pu être sauvées si les papes s’étaient abstenus de répéter ces anathèmes dépassés.

 

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Chacun jugera de quel côté se Trouve LA HAINE et de quel côté se Trouve La Main Tendue à son Prochain dans la Proclamation de la Vérité qui Seule REND LIBRE.

Hommage à Notre Saint Pape PIE XII qui est aux côtés de Notre Seigneur Jésus et de Notre Sainte Mère.

 

Un commentaire

  • dom64verona88chrysostomos

    O, mes très chers amis,

    Prions donc avec une ferveur redoublée le très grand saint qu’est Pie XII! Sancte Eugenius Pacelli, ora pro nobis, peccatoribus!

    Très humblement vôtre,

    Le pauvre pécheur que je sais être.

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