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La « capitale » de l’homosexualité et de l’échangisme accueille Soral, par Laurent Glauzy

Dans le canton à majorité protestante de Vaud et au bord du lac Léman, Lausanne fait figure comme la plupart des villes suisses d’un lieu idyllique, propre et paisible.

J’y étais cette semaine pour une conférence privée sur mon nouveau livre LES SUPER-LOGES, qui se déroulait le vendredi 15 novembre et d’où devrait sortir une vidéo.

J’ai donc eu l’occasion de visiter cette charmante ville avec ses rues médiévales, de déjeuner dans un restaurant branché d’une rue portant le nom de mon saint patron (rue saint Laurent) et de me recueillir le temps d’un chapelet dans la cathédrale du XIIe siècle surplombant l’étendue de la ville, et où les prie-Dieu et les confessionnaux n’ont pas résisté à la haine protestante.

Ce séjour en Suisse a été l’occasion d’un rapide contact avec l’histoire religieuse de la Suisse, les massacres des catholiques par les protestants. Un de mes amis m’a affirmé que les protestants de son village l’évitaient depuis qu’ils savent qu’il était catholique traditionnel. Et, Genève du fait notamment de l’immigration des pays latins, comme le Portugal et l’Italie, serait en train de devenir à majorité catholique.

C’est donc cette charmante ville, qui fut élue capitale suisse de l’homosexualité, « capitale Gay » en 1992, qui va accueillir l’homme d’affaires et le pseudo-dissident Soral, qui d’après entre autres le quotidien belge « Le Soir », logera à proximité de la synagogue de Lausanne. Bien que la plupart des établissements exclusivement gays et lesbiens ont disparu au profit de clubs et de bars gay friendly, il reste parait-il les soirées spéciales, comme celles du Jungle du MAD, du GT’S ou du Pin Up bar. Le journal « 20 Minutes » du 17 septembre 2009 mentionne que Lausanne « jouissait déjà d’une réputation de capitale gay en Suisse romande et France voisine. Elle semble désormais affublée d’une nouvelle notoriété grâce à l’attrait de certains clubs sur de très nombreux couples échangistes. Trois saunas lausannois y sont recensés. Le Top Club, le New Relax et le Pink Beach abritent chaque mois cinq soirées coquines destinées aux couples libertins et exhibitionnistes. Une clientèle dont la moyenne d’âge tourne désormais autour des trente-cinq ans. En parallèle à ces soirées, des séances de gang-bang sont organisées chaque mois chez des privés ou des motels lausannois. » Quant à certains habitants de Lausanne les plus « optimistes » ou « pessimistes » (tout dépend de quel côté l’on se place), ils font de leur ville la capitale mondiale de l’homosexualité après Tel Aviv.

Nous souhaitons donc à Soral une belle quête spirituelle dans un pareil décors. Gageons que les nombreux talmudistes de la pseudo-dissidences verront dans les qualités de ce lieu l’opportunité de quelques visites.

Ces quelques lignes me permettent d’attirer une nouvelle fois la plus grande méfiance sur cet homme et sur tous ceux qui se présentant comme des catholiques traditionnels à l’instar d’Escada pactisent avec lui (Pour Escada, je renvoie aux écrits croustillant du Dr Ploncard d’Assac dans « La Politique »).

A contrario, mon site Pro Fide Catholica a une ligne simple et honnête : nous nous tenons loin du marigot des petites gens troubles, pour travailler d’une manière « familiale » et « artisanale ». Et, visiblement ça paye, car notre site explose, et beaucoup sont à présent ceux qui en ont fait leur adresse du net préférée. Dieu aime les prières et la sincérité, pas les mauvaises alliances ni les pharisiens, fussent-ils de la tradition catholique.

Quoi qu’il en soit, faute d’un réel talent, s’il est opportun et rentable de se présenter comme « persécuté », Soral a de manière manifeste assuré ses arrières…  Une fois de plus, que les naïfs ouvrent les yeux ! La pseudo-dissidence est un business mais aussi une tactique maçonnico-talmudiste occupant le terrain et de fait tentant de bloquer l’émergence d’une vraie dissidence réellement catholique. Aux Etats-Unis, au XIXe siècle, le parti anti-maçonnique était dirigé par William Wirt, un haut franc-maçon jamais repenti et toujours en exercice dans les loges.

Ma conférence privée de Lausanne a été un véritable succès. Il est prévu d’autres conférences en Suisse francophone à partir de février 2020. A cet effet, nous cherchons à Genève une brasserie ou une salle pour pouvoir accueillir mon lectorat suisse, et également frontalier.

 

Photographie centrale : Intérieur de la cathédrale de Lausanne.

Ci-dessous, la synagogue de Lausanne à côté de laquelle Soral habitera.

 

SURPRIS, SORAL N’ARRIVE PAS A REPONDRE S’IL EST JUIF OU NON…

 

JOVANOVIC A LA SYNAGOGUE DE TOULOUSE

 

PIERRO SAN GIORGIO A TEL AVIV

 

ET TANT D’AUTRES… QUI SE FONT PASSER POUR CATHOLIQUES.

 

OUVREZ LES YEUX !

 

LE DERNIER LIVRE DE LAURENT GLAUZY

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