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TEPA : UNE MORT TRES SUSPECTE ?, par Laurent Glauzy

Claire Séverac, Corinne Gouget, Tepa, ces goyim décèdent en l’espace de 4 ans.

En termes de probabilité, quand un évènement montre une récurrence élevée, comme dans les jeux de hasard, nous sommes dans le cas d’une tromperie.

Ces trois morts présentent le même profil en un temps trop court, pour penser que tout soit « normal ».

Corinne Gouget se suicide sous un train le 22 juin 2015 à la gare de Frontignan, alors qu’elle transportait ses valises certainement préparées la veille. Ce profil est complètement contradictoire avec celui d’un acte prémédité. Corinne Gouget, rappelons-le, était une nutritionniste de grand talent qui avait écrit «Dangers additifs alimentaires ». L’année de son décès, cet ouvrage s’était déjà vendu à plus de 100.000 exemplaires, et avait été traduit dans une dizaine de langues dont le roumain. C’est dire l’impact de ce livre. La mafia pharmaceutique ne supporte pas que les goyim se soignent et guérissent avec des moyens peu coûteux. L’année suivante d’ailleurs, le Dr Bernard Christophe décédait, alors qu’il était l’inventeur du Tic-Tox, des huiles essentielles soignant efficacement contre la maladie de lyme.

Claire Séverac écrivait dans le même domaine de la santé et avec le même bonheur. Auteur de « La guerre contre les peuples », elle décède d’un cancer en décembre 2016, le jour de Noël. Un cancer foudroyant !

Tépa meurt aussi d’un cancer le 14 novembre 2019. Et, une semaine après, c’est le jeune Youtubeur belge de 28 ans Sofsilog qui succombe d’une soi-disant crise cardiaque. Connu pour ses vidéos sans concession, il avait déclaré vouloir s’attaquer à l’affaire Dutroux qui avait déjà causé plus d’une trentaine de morts de témoins lors du procès. Sofsilog était antisioniste.

Corinne Gouget, Claire Séverac, Tépa et Sofsilog n’étaient pas des talmudistes et leur combat faisait beaucoup d’émules. Nous ne sommes pas là dans une dissidence ou du nationalisme de caniveau. Ce sont des têtes bien remplies, comme en atteste entre autres l’intervention de Tépa le 25 janvier 2019 contre le « premier ministre ».

J’insiste bien sur le fait que ce sont des dissidents réels et non corrompus (et non talmudistes) qui tombent au combat.

Ces morts nous rapprochent de l’Amérique du Sud et de cinq présidents de centre-gauche atteints d’un cancer qui en 2013 s’opposaient à la politique de tutelle de Washington. Il s’agissait de Fernando Lugo (Paraguay), Dilma Roussef et Lula Da Silva (Brésil), Cristina Fernandez (Argentine) et Chavez (Venezula). Chavez était le chef charismatique de cette fronde anti-américaine. Fin 2019, il est le seul décédé. Les autres sont en vie. A-t-on soigné leur cancer, avec des thérapies interdites aux goyim, pour acheter leur silence ? En tout cas, sur les cinq, quatre sont toujours en vie. Le Dr Hamer, décédé le 2 juillet 2017 à Sandefjord en Norvège (pays d’exil) parlait ainsi dans ses vidéos. Il s’étonnait d’après ses dires d’un taux de réussite du cancer de 99,50% en Israël alors qu’on interdisait sa thérapie, la « Médecine germanique ».

Provoquer un cancer, c’est très facile. La Stasi utilisait notamment l’uranium enrichi qu’elle plaçait dans un endroit (sous un lit, etc) que fréquentait quotidiennement la victime.

Je constate aujourd’hui, que le chef de la pseudo-dissidence ne se pose pas ces mêmes questions sur les morts suspectes de Tepa, Gouget et Severac. Son silence m’interpelle.

Quand, sur une vidéo, on lui demande s’il est talmudiste, il ne parvient pas à répondre. Il part d’ailleurs en exil dans un pays fortuné.

Qu’est ce que cette pseudo-dissidence ? Que cache-t-elle ? Une mafia organisée et criminelle où le chef sort toujours vainqueur et indemne, a contrario des têtes bien faites et talentueuses succombant à des « crises cardiaques », des « suicides » et des « cancers ».

Ce scénario est exactement le même que celui de William Wirt (1772-1834), un franc-maçon américain ayant fondé le Parti antimaçonnique pour diriger et maîtriser les mécontentements, afin que ceux-ci ne donnent pas lieu à une vraie résistance antimaçonnique. William Wirt passait par son double langage comme un anti-franc-maçon et un résistant acharné. Tout le monde ignorait son appartenance aux loges. Et, si un vrai opposant prenait de l’ampleur dans son parti, il était écarté ou liquidé.

Avec Tépa, tous les sujets étaient abordés et bien d’autres auraient pu être défrichés avec un grand succès. Ainsi, était-il dans ses cordes de faire une émission par exemple sur des sujets interdits comme la « terre plate » que l’on tente de ridiculiser, les cités interdites souterraines construites même sous l’océan par les Illuminati et tant d’autres thèmes comme l’âge de la Terre qui a 6.000 ans et non 4,5 milliards.

Dans la fausse-dissidence, on fait semblant, on se pose en martyr, mais l’on ne meurt jamais. Bien au contraire, quand la mission est accomplie, on se retire. Les vrais sujets ne doivent surtout pas être abordés.

Ma conclusion est celle d’un questionnement envers un chef éternel : qui ne pose aucune question sur ces décès qui défraient toutes les lois de la probabilité. Dans la pseudo-dissidence, il y a bien quelque chose de très louche, c’est certain !

Quel est le rôle réel du chef ? Est-il protégé et par qui ? La mort de Tepa, Gouget et Séverac est bien entourée d’un épais mystère.

Enfin, s’il s’agit d’un ou de crimes mafieux, qui est le coupable ?

 

WILLIAM WIRT : UN FRANC-MAÇON SE FAISANT PASSER POUR UN DISSIDENT ET ANTI-MACON DANS L’AMERIQUE DU XIXe S.

 

 

 

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