Jusqu’à présent, quand quelqu’un eut le courage de parler de la « Smartdust », c’est-à-dire de la “poussière intelligente”, il était considéré pour un idiot dérangé et un conspirateur.

Les « Smartdust » font partie des nano-technologies et sont des capteurs microscopiques de la taille de grains de sable capables de travailler en mode wifi pour échanger des données sensibles avec un récepteur externe.

 La particularité de ces capteurs est donnée par les dimensions microscopiques, de sorte qu’ils peuvent être transportés par les courants d’air, puis distribués par aérosol (voir chemtrails) pour être inhalés par les poumons, ou ils peuvent être insérés directement dans les aliments … Cela ressemble à des trucs de diétologie, dommage que la recherche soit financée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency, c’est-à-dire l’agence gouvernementale du département américain de la Défense chargée de développer de nouvelles technologies à usage militaire).

L’Université de Berkeley en Californie a construit « de minuscules capteurs sans fil à implanter dans le corps ». Ces capteurs ont – regardez la coïncidence – la taille d’un grain de poussière! On l’appelle « poudre neuronale » et c’est le premier capteur sans fil de la taille d’un grain de poussière, qui peut être “implanté” dans le corps. La voie s’ouvre pour la possibilité de contrôler les muscles, les nerfs et les prothèses de l’intérieur. Les mini-capteurs ont été implantés avec succès dans les muscles et les nerfs et peuvent être alimentés par ultrasons.

En effet, ils fonctionnent grâce à un cristal piézoélectrique qui convertit les vibrations des ultrasons en énergie électrique, destinée à alimenter un petit transistor. L’intention des auteurs de cette science démoniaque est de réduire davantage la taille des capteurs afin qu’ils puissent être implantés directement dans le cerveau, afin que les activités électriques cérébrales puissent être enregistrées en fonction de maladies telles que l’épilepsie.  Il est à souligner qu’il n’a jamais été possible d’avoir accès aux données du corps humain capturées et constamment enregistrées de l’intérieur, au moins officiellement jusqu’à aujourd’hui …

Dans un avenir très proche, ces capteurs sans fil pourraient être placés à côté d’un nerf, d’un muscle ou d’un organe pour enregistrer leur activité, transmettant les informations à un appareil externe. Tout est toujours merveilleux si nous n’écoutons que la version officielle. Mais s’ils peuvent agir ainsi avec un organe ou un nerf, ne pourraient-ils pas aussi le faire avec le cerveau ? Si les informations transmises vont de l’organe à un récepteur externe, ne serait-il pas possible d’inverser la direction et de communiquer de l’extérieur vers l’intérieur ?

Car si tel était le cas, cela pourrait affecter le cerveau humain et / ou les activités cognitives. Cette technologie ferait alors de nous des esclaves dirigés dans leurs actes et leurs émotions. Enfin, avec des dimensions nanométriques similaires, n’est-il pas possible de positionner les capteurs à l’intérieur de l’aiguille d’une seringue, par exemple dans le domaine vaccinal ? Ce serait une manière simple et peu coûteuse d’inoculer les capteurs à l’intérieur du corps de millions d’enfants, les hommes de demain … Voilà une autre piste de réflexion que l’on peut poser dans le cadre des vaccins et du coronavirus. Mais bien sûr, ce ne sont que les déclamations d’une conspiration !

Article original (“In aarivo la polvere neurale per controllare l’Uomo”) traduit de l’italien par Laurent Glauzy. (disinformazione.it)

 

LIBRAIRIE ANTI-TOTALITAIRE DE LAURENT GLAUZY

https://wordpress.com/view/profidecatholica.com (onglet : librairie)