Dans son édition du 8 septembre 2020, sous le titre Tragisch: Starb Schülerin in Deutschland wegen Masken-Pflicht (Tragique : une écolière meurt en Allemagne à cause de l’obligation du masque), le journal autrichien Wochenblick publie l’information suivante :
Lundi après-midi, une élève de 13 ans s’est effondrée dans le bus scolaire et est décédée.
Selon la police, une urgence s’est produite lundi vers 13h45 à Büchelberg en Rhénanie-Palatinat. Une étudiante de 13 ans (portant un masque) rentrait chez elle dans un bus scolaire avec ses 32 camarades de classe lorsqu’elle s’est soudainement effondrée. Pendant que les pompiers de Büchelberg s’occupaient des camarades de classe, l’élève était soignée par des secouristes et emmenée à l’hôpital. L’étudiante y est morte tragiquement. La cause du décès est actuellement inconnue. Le procureur a décidé d’ouvrir une enquête.
Le membre (du parti nationaliste allemand) AFD du Bundestag, le Dr Birgit Malsack-Winkemann demande sur les réseaux sociaux si le masque aurait pu être à l’origine de l’événement tragique. Elle a appelé à une clarification rapide du cas, après tout, il s’agissait de la santé et de l’intégrité des enfants, qui sont déjà devenus les objets de test dans les écoles en raison des règles corona. La crainte que l’exigence du masque ait pu jouer un rôle dans le terrible incident trouve maintenant un nouveau terrain. Un expert autrichien assermenté par un tribunal a prouvé que les valeurs de CO2 sous les masques faciaux dépassent même les valeurs limites légalement autorisées – et sont donc susceptibles d’être nocifs pour la santé.
Traduit de l’allemand par Laurent Glauzy
