Après avoir fait rentrer en France des millions d’Africains polygames, la république veut réémigrer tous les Africains polygames.

La culture ancestrale africaine c’est d’avoir plusieurs femmes pour un homme, tout le monde le sait ou devrait le savoir, ce n’est un secret pour personne.

Ce qui se passe en afrique a donc été importé en France : LA POLYGAMIE. De plus, en France ça paye la polygamie et les africains musulmans se félicitent de ressembler au prophète de l’islam qui a eu plusieurs femmes.

Le JDD : https://t.co/2e6enUJPfS?amp=1

FRANCE : 1 homme, 4 femmes, 46 enfants

A Bobigny, Fanta Sangaré accompagne des familles polygames dans leurs démarches, longues et ardues, de “cohabitation”. Une volte-face culturelle et matérielle.

1 homme, 4 femmes, 46 enfants
A Bobigny, plusieurs familles polygames sont accompagnées dans leurs démarches. (Capture Google Maps)

Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama (1) était un homme heureux. Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue. Entre les cinq chambres de la maison, “la vie s’organisait comme elle pouvait“, confie-t-il au téléphone. D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde (2). Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue. Il n’a donc pas donné d’écho particulier au bouleversement qu’il vient de connaître : deux de ses femmes ont déménagé, une troisième songe à les imiter. Elles sont engagées dans une “décohabitation“, le terme administratif qui désigne la sortie de la polygamie.

Il nous a fallu dix ans pour en arriver là“, raconte Fanta Sangaré, énergique présidente de l’Association des femmes relais de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Sa première rencontre avec Adama a eu lieu à la demande des services sociaux. Avec les autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ fut comparable: des enfants attirent l’attention d’une assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les institutions et ont toutes les peines du monde à parler français. Difficile de les aider.

Il se trouve que tous sont originaires du Mali. Fanta Sangaré aussi. L’ancienne institutrice de brousse comprend les digressions en soninké, les confidences en bambara. Elle discute, apprivoise. Entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue des enfants. Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école. Le ballon d’eau chaude toujours vide. La queue devant la porte des WC. Les repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré écoute ces histoires qui se ressemblent toutes. Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de séjour. Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence divine. Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été “au pays”, où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même: “Quitter son mari est impur“, rabâchent les femmes. “Dieu n’a pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même chambre“, réplique alors Fanta Sangaré.

Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement. En signe de bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui ont été nécessaires pour régulariser sa situation. Elle a quitté La Courneuve pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants. Lorsqu’une épouse part, la honte s’abat sur son mari. “Sa femme a volé son pantalon, maintenant il porte le pagne!“, entend-il dans son dos. Adama préfère ne pas y penser. Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants. Une décohabitation hypocrite? “Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup.

Ces femmes, en effet, n’ont jamais vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget. Elles ne savent pas se servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque. C’est leur mari qui touchait les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses. “Elles ont toujours été infantilisées“, insiste Fanta Sangaré. “C’était très compliqué au début de vivre chez moi”, confirme Salli, jeune maman de huit enfants. Elle a laissé son mari à sa coépouse et est devenue femme de ménage. Pour être tout à fait “comme les autres”, elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français. Les mystérieux “couvre-lit”, “hippocampe” et “igloo” qu’elle découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin du but. Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire.

(1) Les prénoms ont été modifiés.
(2) La Caisse d’allocations familiales verse 441,48 € par mois pour quatre enfants de moins de 20 ans, plus 158,78 € pour chaque enfant supplémentaire. Soit 1.394 € pour 10 enfants, 2.981 € pour 20 enfants, 4.569 € pour 30 enfants, 6.157 € pour 40 enfants. Sans compter d’éventuelles aides au logement.

Source: JDD papier


La république mourante ne veux donc plus de polygamie africaine alors qu’elle fait rentrer des millions d’africains qui sont, de part leurs us et coutumes, POLYGAMES.

800.000 pers. vivent dans des familles polygames en France

Famille (Adama) Traoré, mauvaise pioche : 1 père, 4 mères, 17 enfants dont 5 délinquants.

« Assa Traoré, 32 ans, mère de trois enfants, est la porte-parole d’une famille “nombreuse et soudée”. Dix-sept frères et sœurs, issus de quatre mères.”

La république expulsera t’elle aussi cette famille DE POLYGAMES ?

Egalité & Réconciliation : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Famille-Adama-Traore-mauvaise-pioche-1-pere-4-meres-17-enfants-dont-5-delinquants-59669.html

8 Commentaires

  • Malheureusement de plus en plus d’européens se sont laissés influencés et trompent leur epouse en toute bonne conscience.

  • La meilleure solution c’est de vivre en famille. Parents, grands-parents et enfants sous le même toit. Cela limite les coûts prohibitifs de notre société, permet des familles nombreuses… (C’est aussi voire pplus mal vu en République 7 enfants d’un couple monogame que la polygamie).
    Mais il faut avoir été éduqué pour, connaître les limites… Contrairement aux idées républicaines et féministes, ce n’est pas une gloire pour la femme d’être ”indépendante”, ”tu chercheras la liberté et tomberas dans l’esclavage. Tu seras sous la coupe de ton mari”. Cette sentence est aussi indiscutable que la douleur de l’accouchement(péridurale..). Quiconque y fait fasse s’expose à de terribles conséquences.

    • C’est vrai , c’est les frais qui nous bouffent . mais les gens sont tellement individualistes qu’ils se laisseront bouffer . (bouffer de leur vivant , Zone ! )

  • Mais? Attendez?
    46 enfants? 3 chambres?
    Mais la Pmi enlève les enfants aux familles dès qu’ils n’ont pas leur propre chambre! (C’est un des motifs d’alerte officiel, comme ‘plus de 4 enfants’ ou ‘moins de 2 ans d’écart’)Et les placent à l’Ase! Surtout quand ils sont ‘français de papiers et d’origine’. Avant de faire des calculs d’aide, nombre de familles sont dispersées pour moins que ça!!!

    • Exactement, l’état mental de notre pays fait peur…

    • Cela coûte déjà 75 000 euros à l’état par an . Si l’état faisait plus avec une habitation aux normes on aboutirait à un coût de plus de 100 000 euros par an pour un homme . C’est pour cela que l’état en panique prône maintenant le mariage homo …. Vous aurez compris l’humour , je pense .

Laisser un commentaire