Le livre, LES SUPER-LOGES, en référence au 36 loges de la supra-maçonnerie secrète, réparties dans le monde, est la traduction par Laurent Glauzy de l’analyse en allemand du Dr Johannes Rothkranz, fondée sur les révélations faites en 2015 de Gioele Magaldi, qui devait succéder en 2014 à Gustavo Raffi, en tant que Grand-Maître du Grand-Orient d’Italie (c’est dire l’importance de ses témoignages).
Ainsi, dans LES SUPER-LOGES n° 2, il est mentionné qu’Erdogan soutient conjointement avec Israël, le terrorisme dit « islamiste » : « La Turquie est secrètement liée à l’ISIS : entre 10 et 15 % des « combattants d’ISIS » sont turcs. Le président turc Erdogan est même membre de la super-loge (décrite comme particulièrement “violente” par Magaldi), « Hathor Pentalpha » ! (…) Sous l’égide de la Turquie, les États-Unis veulent ériger un centre de formation en Syrie pour l’ISIS. Israël et la Turquie soutiennent l’ISIS dans le nord de la Syrie. Il est à observer l’influence des super-loges «Hathor Pentalpha », « Amun » et « Geburah », toujours aussi prégnantes sur le gouvernement américain. (…) Recep Erdogan donnait soi-disant l’ordre à l’armée de l’air turque de bombarder les installations de l’ISIS, qui pilonnait les positions kurdes. »
Ces affirmations se trouvent actuellement étayées par la Russie dans un article de «Boulevard Voltaire », intitulé : « Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a téléphoné le 13 octobre 2020 au président turc, Recep Tayyip Erdoğan. », et soutenant :
« Après avoir rappelé la dénonciation par le président russe, Vladimir Poutine, du soutien actif de la Turquie à Daesh, en novembre 2015 lors du sommet du G20 à Antalya et en marge de la conférence de Paris sur le climat, il a sommé la Turquie de répondre aux accusations dont elle fait l’objet : le transfert de jihadistes syriens et irakiens en Libye et en Azerbaïdjan. La Russie considère déjà avec appréhension le conflit du Nagorno-Karabagh, mais surtout avec colère l’arrivée de jihadistes dans sa zone d’influence. Bien avant d’être président, alors qu’il dirigeait la Millî Görüş, une milice nationaliste-islamiste, Recep Tayyip Erdoğan avait fourni une base arrière aux terroristes de l’Émirat islamique en Tchétchénie. »
Enfin, il est à souligner que dans ce jeu supra-maçonnique où la Turquie collabore avec Israël dans son soutien au terrorisme mondial « islamiste », où les déclarations aussi grotesques que vulgaires d’Erdogan contre Tel-Aviv servent d’écran de fumée, en septembre 2011 Ankara donnait son accord par la voix de son ministère des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, pour le déploiement sur son territoire d’éléments du bouclier antimissile de l’Otan, ayant pour fonction de protéger l’Etat d’Israël. Erdogan, comme l’atteste Magaldi, est un valet des super-loges fondées entre autres par les Rothschild. Rien de neuf, en soit, dans le pays d’Atatürk, un autre franc-maçon, fondateur de la république des Dönme, où Sabbataï Tsevi vit avant cela le jour à Izmir en 1626. Au vu de cette histoire, pour qui sait la lire et la décrypter, Erdogan ne peut pas surprendre !
Par ces éléments, nous répondons à la question souvent posée : Erdogan est-il un élément de la CIA ?