L’attentat contre le professeur décapité montre une multitude de contradictions. En d’autres termes, rien ne tient la route. En premier lieu, et comme toujours, Abdoullak A. est tué après son acte de dix tirs de riposte alors qu’il aurait menacé les forces de l’ordre avec une arme de poing de type Airsoft. Comme dans le cas de Mohammed Mérah, huit ans auparavant, à Toulouse, le terroriste sera abattu.
Il n’y aura donc aucun jugement pour ce sixième acte terroriste « islamiste » de l’année 2020 provoqué par un « islamiste ». L’affaire est donc entendue. Ce scénario s’est à chaque fois répété. L’agresseur est exécuté sur place, ne pouvant donc livrer une autre version des faits. Avant de mourir, Abdoullak A. a eu le temps de crier « Allahou Akbar ! ». Comme toujours ! C’est d’un ridicule à couper le souffle ! Mais, pour les idiots, la ficelle ne sera jamais trop grosse…
Le 20 décembre 2014, une attaque se déroule contre un commissariat de Joué-les-Tours. L’assaillant crie « Allah Akbar » en attaquant un poste de police avec un couteau. Il blesse trois policiers avant d’être abattu !
Le 12 mai 2018, à Paris, un individu attaque à l’arme blanche des passants en criant « Allah Akbar ». le terroriste tue une personne, en blesse quatre autres dont deux gravement, il se dirige ensuite vers une patrouille de police qui décide de l’abattre. L’attaque est revendiquée par l’État islamique. Rien que ça !
Rappelons que pour Mohammed Mérah, le soi-disant voleur du scooter, des témoins l’avaient décrit avec des yeux bleus. Et, durant sa prétendue formation en Afghanistan, son avocat affirmait qu’il séjournait à la prison de Toulouse. Nous n’en finirions pas de relever des faits contradictoires. Il est à signaler que dans l’Affaire Mérah, personne n’a vu de photographies des enfants de l’école juive de Toulouse qu’il a assassinés. Je n’en tire aucune conclusion. Je constate. Les journalistes affirmaient aussi qu’il avait été formé dans les camps islamistes en Afghanistan, ce à quoi son avocat signalait qu’il était déjà emprisonné pour des faits mineurs de banditisme à Toulouse.
Tous ces faits terroristes imputés à des islamistes n’en finissent pas de heurter les esprits curieux et dubitatifs, les mêmes qui réfléchissent, qui n’avalent pas les mixtures indigestes de la presse, la même qui tente de nous faire croire aujourd’hui au mensonge du Coronavirus. Quoi qu’il en soit, ceux qui allait douter de la version officielle de Mérah étaient vaccinés pour les autres faits terroristes, dont celui de Nice qui voyait un chauffeur « islamiste » foncer avec un camion sur la foule le 14 juillet 2016. Il sera aussi abattu par la police. Bien entendu, il avait crié « Allah Akbar ».
La numérologie talmudiste est à relever dans ces faits, laissant penser que les actes ne sont pas téléguidés par des islamistes, mais bien par des talmudistes.
A cet effet, dans le dernier cas terroriste islamiste, celui d’ Abdoullak A, il est à souligner une nette récurrence de l’emploi du chiffre 6.
Abdoullak A. a 18 ans (3×6). Il était arrivé en France à l’âge de 6 ans. Le vendredi 16 octobre, jour de l’attentat, est le 42e (4+2=6) vendredi de l’année 2020.
15 (1+5=6) personnes sont placées en garde à vue.
16 octobre 2020 = 26 + 40 = 66
On n’est pas en reste non plus avec le nombre 13. Le 16 octobre : 16 + 10=26=2×13).
L’élève qui a lancé l’appel à la mobilisation contre l’enseignant sur les réseaux sociaux avait 13 ans.
Revenons-en aux faits : Abdoullak A est donc âgé de 18 ans. Malgré son jeune âge, il a cette force herculéenne lui permettant de décapiter un adulte. Si dans l’affaire Mérah de Toulouse, nous pouvons supposer l’intervention secrète de plusieurs terroristes, il en est de même avec Abdoullak A : des agents secrets ont-ils auparavant procédé à la décapitation du malheureux professeur avant d’imputer l’acte à ce jeune « islamiste de 18 ans » qui mourra des multiples tirs de la police.
Quand j’assemble tous les faits, y compris ceux de la numérologie, j’obtiens un faisceau convergeant vers une opération montée par des services secrets talmudistes, les mêmes qui ourdissent dans les loges, et qui sont prêts à tous les montages et à toutes les turpitudes pour faire exploser une guerre civile en France et en Europe.
Enfin, les volumes des Super-Loges que je traduis affirment que le terrorisme islamiste est subventionné par les talmudistes dont Larry Fink, que reçut Macron à l’Elysée.
Gageons aussi que dans cette période du mensonge lié au Coronavirus, battu de plus en plus en brèches par une population qui ouvre les yeux, les actes terroristes talmudistes se multiplient, mettant en scène des « islamistes » sous contrôle mental de type MK Ultra. Une arme encore une fois entre les mains de certains services secrets.
