The Great Reset : “La Pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde.” Klaus Schwab.

Le magasine “TIME” plus connu sous le nom de ROTHSCHILD, titre officiellement :”The Great Reset” pour la Remise à zéro du monde qu’ILS veulent.

Klaus Scwab explique que c’est GRÂCE au COVID-19 que le “The Great Reset”, la Grande remise à zéro pourra se faire.

Les Pompiers Pyromanes : que ceux qui croient encore au Virus mortel ouvrent les Yeux une bonne fois pour toute !

Il n’y a Rien de caché, ILS écrivent ce qu’ILS veulent et le Covid leur sert pour mettre en place leur monde de surveillance généralisée après avoir ruiné la classe moyenne.

ILS veulent un CAPITALISME VERT qui n’est que le COMMUNISME VERT DEHORS MAIS TOUJOURS ROUGE DEDANS.

https://fr.weforum.org/agenda/2020/06/le-temps-de-la-grande-remise-a-zero/

  • Un meilleur monde peut survenir de cette crise si nous agissons rapidement et conjointement, écrit le professeur Klaus Schwab.
  • Les changements que nous avons déjà observés face au COVID-19 prouvent qu’il est possible de repenser nos fondements économiques et sociaux.
  • Ceci est notre meilleure chance d’instaurer le capitalisme des parties prenantes – voici comment nous pouvons y parvenir.

Les confinements dus à la COVID-19 seront peut-être assouplis progressivement, mais l’inquiétude face aux perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : une forte récession économique a déjà commencé et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, bien que cette conclusion soit probable, elle n’est pas inévitable.

Pour obtenir de meilleurs résultats, le monde doit agir conjointement et rapidement pour repenser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l’éducation aux contrats sociaux en passant par les conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. Pour faire simple, nous avons besoin d’une « Grande remise à zéro » du capitalisme.

De nombreuses raisons justifient de lancer cette Grande remise à zéro, mais la plus urgente est la COVID-19. À l’origine de centaines de milliers de morts à ce jour, la pandémie représente l’une des pires crises de santé publique qu’a récemment connue l’histoire. Et, les victimes continuant d’augmenter dans de nombreuses parties du monde, nous sommes loin d’en avoir fini avec cette crise.

Elle aura de graves conséquences à long terme sur la croissance économique, la dette publique, l’emploi et le bien-être humain. Selon le Financial Times, la dette publique mondiale a déjà atteint son plus haut niveau en temps de paix. De plus, le chômage monte en flèche dans de nombreux pays : aux États-Unis, par exemple, un travailleur sur quatre a déposé une demande de chômage depuis la mi-mars, avec de nouvelles demandes hebdomadaires dépassant largement les records historiques. Le Fonds monétaire international s’attend à ce que l’économie mondiale diminue de 3 % cette année – une baisse de 6,3 points de pourcentage en seulement quatre mois.

Tout cela va aggraver les crises climatiques et sociales déjà en cours. Certains pays ont déjà utilisé la crise de la COVID-19 comme prétexte pour alléger les mesures de protections environnementales et leur application. Et les frustrations liées aux fléaux sociaux comme l’augmentation des inégalités (la richesse combinée des milliardaires américains a augmenté pendant la crise) s’intensifient.

Si elles ne sont pas traitées, ces crises, ainsi que la COVID-19, vont s’intensifier et le monde sera encore moins durable, moins équitable et plus fragile. Des mesures incrémentielles et des solutions ad hoc ne suffiront pas à empêcher ce scénario. Nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux.

Le niveau de coopération et d’ambition que cela implique est sans précédent. Mais il ne s’agit pas d’un rêve impossible. En effet, un des points positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvions apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a contraint les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, des voyages aériens fréquents au travail dans un bureau.

De même, les populations ont massivement montré leur volonté de faire des sacrifices au nom des travailleurs de la santé et autres professions essentielles, ainsi que des populations vulnérables, telles que les personnes âgées. Et de nombreuses entreprises se sont mobilisées pour soutenir leurs employés, leurs clients et les communautés locales, en évoluant vers le type de capitalisme des parties prenantes auquel elles n’avaient auparavant accordé qu’un intérêt de pure forme.

De toute évidence, la volonté de construire une société meilleure existe. Nous devons l’utiliser pour mettre en application la Grande remise à zéro dont nous avons tant besoin. Cela nécessitera des gouvernements plus forts et plus efficaces, sans impliquer une volonté idéologique en faveur de gouvernements plus grands. Et cela exigera l’engagement du secteur privé à chaque étape du processus.

Le programme de Grande remise à zéro se composerait de trois éléments principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus justes. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination (par exemple en matière de politique budgétaire, réglementaire et fiscale), moderniser les accords commerciaux et créer les conditions nécessaires à une « économie des parties prenantes ». À l’heure où l’assiette fiscale se dégrade tandis que la dette publique monte en flèche, les gouvernements ont de bonnes raisons de poursuivre une telle action.

De plus, les gouvernements devraient mettre en œuvre des réformes, attendues depuis longtemps, favorisant des résultats plus équitables. En fonction du pays, cela pourrait inclure des modifications de l’impôt sur la fortune, le retrait des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence.

Le deuxième élément d’un programme de Grande remise à zéro garantirait que les investissements permettent de réaliser des objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité. Ici, les programmes de dépenses à grande échelle mis en place par de nombreux gouvernements représentent une opportunité majeure de progrès. La Commission européenne, pour sa part, a dévoilé les plans d’un fonds de relance de 750 milliards d’euros (826 milliards de dollars). Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également leurs propres plans de relance économique ambitieux.

Plutôt que d’utiliser ces fonds, ainsi que des investissements d’entités privées et de fonds de pension, pour combler les lacunes de l’ancien système, nous devrions les destiner à la création d’un nouveau plus résilient, équitable et durable à long terme. Cela signifie, par exemple, la construction d’infrastructures « vertes » en ville et la création d’incitations pour que les industries améliorent leur bilan en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

La troisième et dernière priorité d’un programme de Grande remise à zéro est d’exploiter les innovations de la Quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise de COVID-19, des entreprises, des universités et d’autres intervenants ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins ; établir des centres de test ; créer des mécanismes de traçage des infections ; et proposer des services de télémédecine. Imaginez ce qui serait possible si de tels efforts étaient déployés dans tous les secteurs.

Aux quatre coins du monde, chaque facette de la vie des gens est affectée par la crise de COVID-19. Mais elle ne peut pas uniquement être synonyme de tragédie. Au contraire, la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde afin de créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère.


Klaus Schwab est le Fondateur du Forum de Davos dont la fille, Nicole Schwab, est la cofondatrice de l’EGALITE DES GENRES : https://fr.wikipedia.org/wiki/Klaus_Schwab

Nous sommes soumis à une mafia qui se croit INTOUCHABLE.

Rockefeller a déjà créé le “Passeport numérique voilà deux ans !

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Le TIME ROTHSCHILD a prévu que Joe Biden sera gagnant le 3 Novembre 2020 et que ce n’est qu’ainsi que LEUR PLAN pourra se mettre en marche.

Voici le texte du Time traduit en Français : https://t.co/vTmGPljry9?amp=1

Nous sommes en 2023. Voici comment nous avons corrigé l’économie mondiale.

Nous sommes en 2023. La pandémie de COVID-19 a pris fin et l’économie mondiale est sur la voie de la reprise. Comment en sommes-nous arrivés là ? Comment notre économie et notre société ont-elles évolué pour surmonter la plus grande crise de notre époque ?

Commençons par l’été 2020, lorsque la propagation ininterrompue de la maladie annonçait des perspectives de plus en plus sombres pour les économies et les sociétés. La pandémie avait mis en évidence des vulnérabilités critiques dans le monde entier : des travailleurs essentiels sous-payés, un secteur financier non réglementé et de grandes entreprises négligeant les investissements au profit d’une hausse des cours boursiers. Face à la contraction des économies, les gouvernements ont reconnu que les ménages et les entreprises avaient besoin d’aide – et rapidement. Mais alors que les souvenirs de la crise financière de 2008 étaient encore frais, la question était de savoir comment les gouvernements pouvaient structurer les plans de sauvetage de manière à ce qu’ils profitent à la société, plutôt que de soutenir les profits des entreprises et un système défaillant.

En écho à l'”âge d’or” du capitalisme, c’est-à-dire la période qui a suivi 1945, lorsque les pays occidentaux ont orienté la finance vers les bons secteurs de l’économie, il est apparu clairement que de nouvelles politiques étaient nécessaires pour faire face aux risques climatiques, encourager les prêts verts, renforcer les institutions financières qui poursuivent des objectifs sociaux et environnementaux, et interdire les activités du secteur financier qui ne servaient pas un objectif public clair. L’Union européenne a été la première à prendre des mesures concrètes dans ce sens après avoir approuvé en août un plan de relance historique de 1,8 billion d’euros. Dans le cadre de ce plan, l’Union européenne a imposé aux gouvernements qui recevaient des fonds de mettre en œuvre des stratégies solides pour lutter contre le changement climatique, réduire la fracture numérique et renforcer les systèmes de santé.

Fin 2020, cet ambitieux plan de relance a permis à l’euro de se stabiliser et a inauguré une nouvelle renaissance européenne, les citoyens contribuant à définir l’agenda. Les dirigeants européens ont eu recours à des politiques axées sur les défis pour créer 100 villes neutres en carbone sur le continent. Cette approche a conduit à une résurgence de nouveaux bâtiments à faible consommation d’énergie, à une refonte des transports publics conçus pour être durables, accessibles et gratuits, et à un renouveau artistique sur les places publiques, avec des artistes et des designers qui repensent la vie urbaine en plaçant la citoyenneté et la vie civique au cœur de celle-ci. Les gouvernements ont utilisé la révolution numérique pour améliorer les services publics, de la santé numérique aux cartes électroniques, et créer un État-providence centré sur le citoyen. Cette transformation a nécessité à la fois des investissements du côté de l’offre et des impulsions du côté de la demande, les marchés publics étant devenus un outil de réflexion innovant qui a été diffusé dans tous les secteurs de l’administration.

Les États-Unis ont commencé à changer d’approche après le 3 novembre 2020, lorsque Joe Biden a battu Donald Trump à l’élection présidentielle et que les démocrates ont obtenu la majorité dans les deux chambres du Congrès. Après son investiture en janvier 2021, le président Biden s’est empressé de reconstruire les liens effilochés entre l’Amérique et l’Europe, en créant un forum pour partager l’intelligence collective qui pourrait informer une forme de gouvernement plus intelligente. Les gouvernements européens étaient désireux de tirer les leçons des stratégies d’investissement utilisées par le gouvernement américain – comme celles de l’agence de recherche de la défense DARPA – pour stimuler la recherche et le développement dans les technologies à haut risque. Et les États-Unis étaient désireux d’apprendre de l’Europe comment créer des villes durables et revigorer la participation civique.

Avec COVID-19 toujours en vigueur, le monde a pris conscience de la nécessité de donner la priorité à l’intelligence collective et de placer la valeur publique au centre de l’innovation en matière de santé. Les États-Unis et d’autres pays ont abandonné leur opposition à une communauté de brevets obligatoire gérée par l’Organisation mondiale de la santé, qui empêchait les sociétés pharmaceutiques d’abuser des brevets pour créer des profits de monopole. Des conditions audacieuses ont été imposées à la gouvernance de la propriété intellectuelle, à la fixation des prix et à la fabrication des traitements et vaccins COVID-19 afin de garantir que les thérapies soient à la fois abordables et universellement accessibles.

En conséquence, les entreprises pharmaceutiques ne pouvaient plus faire payer les médicaments ou les vaccins comme elles le souhaitaient ; les gouvernements ont rendu obligatoire la fixation de prix reflétant l’importante contribution publique à leur recherche et développement. Cela s’est étendu au-delà des thérapies COVID-19, ce qui a eu un impact sur la tarification de toute une série de médicaments, des thérapies contre le cancer à l’insuline. Les pays riches se sont également engagés à accroître les capacités de fabrication à l’échelle mondiale et à recourir à l’approvisionnement mondial de masse pour acheter des vaccins destinés aux pays pauvres.

Le 11 février 2021, la FDA a approuvé le vaccin COVID-19 le plus prometteur pour la fabrication aux États-Unis. La production de masse a commencé immédiatement, les plans pour une distribution mondiale rapide ont été mis en œuvre et les premiers citoyens ont reçu leurs vaccins dans les trois semaines, gratuitement au point d’utilisation. Ce fut le développement et la fabrication d’un vaccin les plus rapides jamais enregistrés, et un succès monumental dans le domaine de l’innovation en matière de santé.

Lorsque le vaccin a été prêt à être distribué, les autorités sanitaires nationales ont travaillé de manière constructive avec une coalition d’acteurs de la santé mondiale, dirigée par l’OMS, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres, pour concevoir collectivement un plan de distribution mondial équitable qui soutenait les objectifs de santé publique. Les pays à faible et moyen revenu, ainsi que les agents de santé et les travailleurs essentiels, ont bénéficié d’un accès prioritaire au vaccin, tandis que les pays à revenu plus élevé ont mis en place des programmes de vaccination en parallèle.

La fin de notre crise sanitaire était en vue. Mais en juin 2021, l’économie mondiale était encore en crise. Alors que les gouvernements commençaient à débattre de leurs options pour de nouveaux plans de relance, une vague de protestations publiques a éclaté, les contribuables au Brésil, en Allemagne, au Canada et ailleurs réclamant des récompenses communes en échange du renflouement des géants de l’économie.

Une fois Biden au pouvoir, les États-Unis ont pris ces demandes au sérieux et ont assorti la prochaine vague de plans de sauvetage d’entreprises de conditions strictes. Les entreprises qui recevaient des fonds étaient tenues de maintenir les salaires et de payer à leurs travailleurs un salaire minimum de 15 dollars de l’heure. Les entreprises se sont vues interdire de façon permanente de s’engager dans des rachats d’actions et de verser des dividendes ou des primes aux dirigeants jusqu’en 2024. Les entreprises étaient tenues d’offrir aux travailleurs au moins un siège au sein de leur conseil d’administration, et les conseils d’administration des entreprises devaient faire approuver toutes les dépenses politiques par les actionnaires. Les conventions collectives sont restées intactes. Et les PDG devaient certifier que leur entreprise respectait les règles, sous peine de sanctions pénales en cas de violation.

Au niveau mondial, les renflouements de référence sont ceux qui protègent les travailleurs et soutiennent des entreprises viables qui apportent de la valeur à la société. Ce n’était pas toujours un exercice clair, surtout dans les industries dont les modèles d’entreprise étaient incompatibles avec un avenir durable. Les gouvernements étaient également soucieux d’éviter le risque moral de soutenir des entreprises non viables. Ainsi, le secteur américain du schiste, qui n’était pas rentable avant la crise, a été en grande partie laissé à l’abandon, et les travailleurs ont été recyclés pour l’industrie solaire du bassin du Permien, en pleine croissance.

Au cours de l’été 2022, l’autre grande crise de notre époque a pris un tournant apocalyptique. L’effondrement du climat a finalement atterri dans le monde développé, mettant à l’épreuve la résilience des systèmes sociaux. Dans le Midwest américain, une grave sécheresse a anéanti des cultures qui fournissaient un sixième de la production céréalière mondiale. Les gens ont pris conscience de la nécessité pour les gouvernements de mettre en place une réponse coordonnée au changement climatique et d’orienter la relance budgétaire mondiale vers une économie verte.

Pourtant, il ne s’agissait pas seulement d’un grand gouvernement, mais d’un gouvernement intelligent. La transition vers une économie verte exige une innovation à grande échelle, couvrant de multiples secteurs, des chaînes d’approvisionnement entières et chaque étape du développement technologique, de la R&D au déploiement. Aux niveaux régional, national et supranational, d’ambitieux programmes de “Green New Deal” ont été mis en place, combinant des programmes de garantie de l’emploi et une stratégie industrielle ciblée. Les gouvernements ont eu recours aux marchés publics, aux subventions et aux prêts pour stimuler autant d’innovation que possible, contribuant ainsi à financer des solutions pour débarrasser l’océan de plastique, réduire la fracture numérique et lutter contre la pauvreté et les inégalités.

Un nouveau concept d’accord vert sain a émergé, dans lequel les objectifs climatiques et les objectifs de bien-être étaient considérés comme complémentaires et nécessitaient des politiques tant du côté de l’offre que de la demande. Le concept d'”infrastructure sociale” est devenu aussi important que l’infrastructure physique. Pour la transition énergétique, cela signifiait se concentrer sur une stratégie de mobilité future et créer une plate-forme ambitieuse pour les transports publics, les pistes cyclables, les sentiers piétonniers et de nouvelles façons de stimuler un mode de vie sain. À Los Angeles, le maire Eric Garcetti a réussi à transformer une voie de l’autoroute 405 en piste cyclable et a inauguré fin 2022 un système de métro souterrain sans carbone, gratuit au point d’utilisation.

S’élevant au rang d'”État entrepreneur”, le gouvernement était finalement devenu un investisseur de premier recours qui créait de la valeur en collaboration avec le secteur public et la société civile. Tout comme à l’époque du programme Apollo, travailler pour le gouvernement – plutôt que pour Google ou Goldman Sach – est devenu l’ambition des meilleurs talents sortant de l’université. Les emplois dans l’administration publique sont devenus tellement désirables et compétitifs qu’un nouveau programme d’études a été créé pour un master mondial en administration publique destiné aux personnes souhaitant devenir fonctionnaires.

Nous sommes donc ici en 2023, les mêmes personnes mais dans une société différente. COVID-19 nous a convaincus que nous ne pouvions pas revenir à la normale.

Le monde a adopté une “nouvelle normalité” qui garantit que les collaborations public-privé sont motivées par l’intérêt public et non par le profit privé. Au lieu de donner la priorité aux actionnaires, les entreprises valorisent toutes les parties prenantes, et la financiarisation a fait place à des investissements dans les travailleurs, la technologie et la durabilité.

Aujourd’hui, nous reconnaissons que nos citoyens les plus précieux sont ceux qui travaillent dans les secteurs de la santé et de l’aide sociale, de l’éducation, des transports publics, des supermarchés et des services de livraison. En mettant fin aux emplois précaires et en finançant correctement nos institutions publiques, nous valorisons ceux qui maintiennent notre société en place et renforçons notre infrastructure civique pour les crises à venir.

La pandémie COVID-19 nous a tant pris, en vies perdues et en moyens de subsistance brisés. Mais elle nous a également donné l’occasion de remodeler notre économie mondiale, et nous avons surmonté notre douleur et notre traumatisme pour nous unir et saisir l’occasion. Pour assurer un avenir meilleur à tous, c’était la seule chose à faire.


Rothschild ne gagnera pas en Amérique.

Je pense également que le Clan Rothschild se vengera sur l’Europe.

En sachant que le pion des Rothschild est chez nous !

Et ce n’est que par “The Great Awakening”, LE GRAND REVEIL DE TOUS LES FRANCAIS, que nous pourrons chasser de chez nous ceux qui nous oppressent,nous ruinent et veulent nous asservir.

De toute l’Europe, notre Pays étant celui qu’ILS ont infiltré et détruit. Cette mafia ne lâchera pas “le Gâteau” aussi facilement.

Vous avez devant les yeux, par LEURS TEXTES, ce qu’est le COVID-19.

Pour contrer leur “Remise à zéro du Monde”, nous avons Le Grand Réveil des Peuples pour réduire à néant leurs plans macabres.

Tout est possible, il suffit de le VOULOIR et de ne pas s’avouer vaincu au moindre diktat des tyrans.

Les Tyrans n’étant au pouvoir parce-que NOUS le voulons bien.

Le 3 Novembre 2020 sonnera la Fin de la Tyrannie en Amérique avec la réélection de Donald Trump.

La Remise à Zéro de Donald Trump en Amérique sera de signer la FIN DE L’ETAT PROFOND qui dirige.

C’est le travail qui nous attend en France en sachant que la majorité des politiques ont été achetés pour faire de notre pays un pays du Tiers monde.

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Il n’y a rien de nouveau, LEUR PLAN est très ancien !

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La meilleure façon de réaliser ce que l’on veut, c’est de se réveiller et de combattre.

Bonne et Sainte Semaine à Tous, que notre Seigneur et Notre Sainte Mère soient avec nous dans les épreuves qui nous attendent et le Combat à venir.

Prions pour les Français courageux qui vont partir au COMBAT pour reprendre la FRANCE DES MAINS ENNEMIES.

Ainsi soit-il.


REMI EST CATHOLIQUE, il vous explique ce qu’il va advenir prochainement.

Rémi va renverser le gouvernement français. Le renversement du gouvernement se fera pacifiquement ou avec effusion de sang, cela dépendra de la réaction de Macron et de ses acolytes, mais il aura lieu, la date sera fixée bientôt.

Voici celui qui offre l’union de toutes les forces combattantes. #renversementdugouvernementfrancais

Pour nous rejoindre et découvrir les mesures : http://polemique.roman-livre.com/pour…

Quand la vidéo sera censurée: https://gab.com/Thibaut_la_Croisade/p…

Version italienne : http://www.vitamelior.com/Dub/Discors…

Je vous ai déjà posté une vidéo de Rémi en Live avec Force & Indépendance.

Que Dieu soit avec nous.

Ainsi soi-il.

7 Commentaires

  • Pourquoi Rémi ?

    Parce qu’il est intelligent, dévoué et bon, parce que ce n’est pas un politicien, parce que ses oeuvres parlent pour lui, parce qu’il a identifié les causes de nos problèmes, parce que ses solutions sont bien pensées, parce qu’il met sa vie en jeu pour nous, parce qu’il est capable de prendre de bonnes initiatives, parce que nous réclamons tous un Trump ou un Poutine et que Rémi est notre leader mais en version française !
    Merci à Dieu, car j’ai prié pour qu’une personne nous soit envoyée, et que j’ai vu cette vidéo quelques jours plus tard !

    Maintenant, le choix aux français est posé :

    Voulez vous continuer à vivre dans la peur ? à souffrir et à vous plaindre, à subir encore un couvre feu, un reconfinement, des menaces au vaccin, des scandales sanitaires, des drames, des morts déguisées en covid, des interdictions de traitement, de la surveillance généralisée, encore plus de chômage, de misère et de soumission aux mondialistes ?

    Ou voulez vous votre libération ? Votre libération pour obtenir la vérité et la justice sur le covid ou les sales réseaux qui détruisent les familles, votre libération pour retrouver votre pays, votre libération pour ne plus vivre dans la peur, votre libération pour voir grandir vos enfants, votre libération pour reconstruire enfin tout ce que les mondialistes ont déjà chez nous détruit ?

    Voulez vous le Nouvel ordre mondial ou la FRANCE ?

    Vous avez plein de talents, vous êtes travailleurs, honnêtes, intègres et vous aimez la justice, vous valez bien mieux que nos “élites” actuelles et que n’importe quel mondialiste, ne laissez plus ces gens décider de vos vies, de nos vies, et de celles de nos enfants !

  • Je me dois d’élever des lapins lapinus . Car avec leurs fourrures je me confectionnerai une robe de protection contre le froid . Car c’est dit ” nous reviendrons à ” l’âge de pierre ” mais nous vaincrons le virus ” . Il n’y a pas d’alternative . Signé l’homo-erectus .Celui qui se tient debout .

  • C’est qui thierry ? Je n’ai jamais entendu parler de lui !
    Je suis à 100% d’accord avec tout ce qu’il dit !! Mais c’est qui ce monsieur ?

  • Erratum : C’est qui Remi ? Désolé

  • bon, j’ai écouté la vidéo en entier de monsieur REMI . C’est où qu’on signe pour s’enroler ! pour faire sauter cette salo… de ripoublique JFM !!!
    Je ne suis qu’un petit rien du tout, mais si je peux aider !!! je le ferai de tout mon coeur !! pour notre nation et l’avenir de mes enfants !!!

  • La France ressuscitera .

  • Hum…. quand on veut renverser un tyran, on ne le claironne pas sur tous les toits , il risque d’avoir du monde pour l’accueillir….

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