Ce jeudi 29 octobre 2020, vers 9 heures du matin, un homme a attaqué au couteau plusieurs personnes, dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption, en plein centre de Nice. Et, il a crié « Allah Akbar », comme toujours.
L’AFP chiffrait dès ce matin le bilan à trois morts, citant une « source gouvernementale ». Le procureur du Parquet national antiterroriste Jean-François Ricard, certainement un frère nommé à ce poste le 1er septembre 2019, a confirmé qu’une femme de 70 ans et un homme de 45 ans ont été tués dans la basilique : la première par un « égorgement très profond, de l’ordre d’une décapitation », la deuxième à la suite d’une « plaie profonde à la gorge ». La troisième victime, une femme d’une quarantaine d’années, a réussi à sortir de l’église mais a succombé à ses multiples blessures à l’arme blanche quelques instants plus tard. La première victime aurait été égorgée avec brutalité dans l’église, l’assaillant ayant manifestement souhaiter effectuer une décapitation. Parmi les victimes se trouverait le sacristain de la basilique, une laïc âgé de 45 ans, père de deux enfants.
Selon Jean-François Ricard, l’assaillant était porteur d’un « document de la Croix-Rouge italienne » mentionnant une date de naissance, ainsi que la nationalité tunisienne. Ces papiers ont été authentifiés comme étant bien ceux de l’auteur des faits, « inconnu au fichier national des empreintes digitales et également inconnu des services de renseignements ». Le jeune homme, âgé de 21 ans, est « entré en Italie via Lampedusa le 20 septembre dernier puis est passé par Bari le 9 octobre. Lors de son interpellation, l’assaillant était en possession, d’ « un coran et deux téléphones » ainsi que de « deux couteaux non utilisés » découverts dans un sac.b Eh bien voyant ! L’hypothèse de l’islamiste radical est avancée. « L’auteur n’a pas arrêté de répéter Allah Akbar devant nous au moment où il était médicalisé ». Décidément, on est en plein dans la caricature. Même les Bidochons n’auraient pas mieux fait.
Le premier ministre Jean Castex a annoncé dans la journée le passage du plan Vigipirate au niveau « urgence attentat sur l’ensemble du territoire ».
Je relève deux éléments.
Nice est le dernier attentat d’une série de trois, dont le premier était une attaque à la machette – le vendredi 25 septembre 2020 à proximité des locaux de Charlie Hebdo ; le deuxième se produisit il y a deux semaines à Conflans-Sainte-Honorine où un adolescent de 18 ans ayant une force herculéenne, a décapité un homme (on croit rêver tellement la ficelle est grosse). Rappelons que le 2 septembre 2020, Macron parlait du droit au blasphème, comme s’il s’agissait de tracer une piste, un fil d’Ariane donnant une logique islamiste aux attentats. La mèche était en quelque sorte allumée.
Mais, voilà, même si je ne porte aucun amour pour la secte mahométane qui n’a rien apporté au monde et qui est un produit de la maçonnerie (au XIXe siècle, la république est allée chercher des Imams en Égypte pour « évangéliser » l’Algérie), ces attentats sont à mon sens l’œuvre de service secret, produits soit avec des agents soit avec des terroristes sous contrôle mental. Et, pour être plus trivial, est-ce qu’un musulman peut monter une opération terroriste précise et ordonnée ? On les imagine davantage en train d’insulter, de manifester en groupe, de brûler des drapeaux. Mais au-delà ? Regardons l’état de leur pays. Et, même les groupes terroristes comme l’ISIS et la production du Halal ne sont pas l’œuvre des frérots. Nous pourrions penser avec ces clichés que les acteurs de cette croyance ne sont en rien auteurs. Mais nous entrons là dans un autre débat.
Quoi qu’il en soit ces attentats, mettant en scène des auteurs hurlant « Allah Akbar », interviennent à un moment où plusieurs pays se soulèvent contre la dictature du mensonge sanitaire. La presse française tait les faits, mais plusieurs villes italiennes sont maintenant en état de révolte. Nous pouvons supposer que ces révoltes soient suscitées par des forces étrangères. Les troupes italiennes et américaines sont depuis plusieurs mois présentes en Italie.
Nos politiciens ne sont que les sales prostituées au service du mondialisme. Ils sont les valets de pisse des Rothschild. Ce sont des démons incarnés, comme les imaginait pour la fin de ce siècle Marie-Julie Jahenny. Or, les plans mondialistes qui devaient voir une dictature mondiale sans pareille dans l’histoire de l’humanité sont défaits par Trump. Les pédosatanistes savent qu’ils ont la tête sur le billot, que la corde est autour de leur cou et qu’il suffit de donner un coup de pied dans le tabouret.
Et pour clôturer, tous ces évènements, le premier ministre Jean Castex a annoncé dans la journée le passage du plan Vigipirate au niveau « urgence attentat sur l’ensemble du territoire ».
Mais le mal est déjà fait. L’onde de choc de l’après 3 novembre, date où Trump sera réélu, va être terrible pour certains homme d’Etat. Nous allons assister après la révolution dite « française » à une épuration inattendue ou cette fois-ci ceux qui monteront à l’échafaud seront les tenanciers de la dictature républicaine et de la dictature sanitaire.
Par conséquent, les attentats sous fausse bannière, clé des mesures les plus liberticide, n’empêcheront jamais les peuples de manifester excédé par le mensonge du coronavirus. Mais, disons-le une fois pour toute : les musulmans ne sont pas responsables de tous les maux dont on les affuble. Ils n’en sont pas capables. C’est pourquoi j’appelle une fois de plus les Français à prendre sur eux, et à ne pas faire des musulmans la cible de leur colère.
