Dans sa vidéo du 30 octobre 2020, le Dr Ploncard d’Assac nous livre une réflexion sans concession et particulièrement courageuse concernant l’attentat de Conflans-sainte-Honorine sur l’enseignant Samuel Paty. A cette occasion, le Dr Ploncard revient sur la question de la décapitation.
Tout d’abord, il nous apprend que le professeur soi-disant décapité, appartenait à la mouvance sataniste des gothiques. Voilà une information qu’aucun journal n’a fourni. Étrange.
Ce médecin, spécialiste en neurochirurgie, affirme qu’il est impossible de pratiquer une décapitation avec un couteau, et rappelle qu’ « avant, la décapitation d’un condamné se pratiquait avec une hache très lourde manipulée par une personne vigoureuse. Et malgré ça, le bourreau devait quelques fois s’y à prendre à deux fois ».
De plus, le terroriste présumé n’avait que dix-huit ans. Tout ça est bien contradictoire.
Le Dr Ploncard d’Assac commente : « En tant que neurochirurgien, la décapitation avec un couteau n’est pas possible », ajoutant que par rapport aux quelques rares photographies communiquées, « la tête ne saigne pas à sa base. La tête n’est pas à côté du corps. Où est le corps ? » Il émet que cette tête pourrait être en cire, technique bien connue entre autre du musée Grévin. » et ayant servi ç la fabrication du masque de Padre Pio après son assassinat, pour faire croire à la présence de son corps. (Cf. Laurent Glauzy, L’assassinat de Padre Pio)
Par conséquent, le Dr Ploncard d’Assac demande donc si l’enseignant soi-disant décapité, est bien mort.
Le Dr Ploncard d’Assac pense que des services spéciaux sont au commencement de cette manipulation et qu’ils auraient pu utiliser une drogue appelée « Scopolamine ». Cette drogue est également appelée « Souffle du diable », car un seul souffle sur un visage permet d’effacer simultanément la mémoire, et de rendre obéissante toute personne ».
Selon ce médecin, des techniques psychologiques peuvent être utilisée. C’est le cas du Mk Ultra.
Il serait intéressant de se demander de quelle confession était l’enseignant Samuel Paty, et est-il employé par des services secrets étrangers.
Enfin, nous pouvons penser que les attentats mettant en scène de soi-disant islamistes, ne sont que le début d’une longue série ayant pour but de dévier l’attention de la population du mensonge du Coronavirus.