Pro Fide Catholica

Le lendemain de l’attentat de Vienne, produit le 2 novembre 2020, l’AFP livre une information de poids : « Daesh a revendiqué l’attentat survenu à Vienne, en Autriche, survenue dans la nuit de lundi à mardi, ayant fait au moins quatre morts. Plus tôt dans la journée, le ministre autrichien de l’Intérieur Karl Nehammer avait affirmé que l’assaillant qui a été tué par la police, était « un sympathisant » du groupe djihadiste. »

Dans un communiqué publié sur ses chaînes Telegram, Daesh impute à un « soldat du califat » les fusillades meurtrières près d’une synagogue et de l’opéra. Dans un texte séparé, accompagné d’une photo de l’assaillant armé, l’agence de propagande Amaq évoque « une attaque aux armes à feu menée hier (lundi) par un combattant de l’Etat islamique dans la ville de Vienne ».

« Les indices recueillis montrent clairement que c’est une personne radicalisée qui se sentait proche de Daesh », a déclaré Karl Nehammer lors d’une conférence de presse. Il avait notamment été condamné en 2019 à vingt-deux mois de prison pour avoir tenté de rejoindre la Syrie afin de s’enrôler au sein de Daesh. Agé de 20 ans, Kujtim Fejzulai était originaire de Macédoine du Nord et aussi détenteur de la nationalité autrichienne.

Dans l’ouvrage Die Super-Logen regieren die Welt n° 2 (trad. Les super loges n° 2), le Dr Johannes Rothkranz expose que Daesh est une création d’Israël et que ce groupuscule terroriste est financé par le talmudiste Larry Fink, président-directeur-général de l’entreprise BlackRock, la plus grosse société de gestion d’actifs et d’investissements au monde avec près de 6 960 milliards dollars. Le Dr Rothkranz affirme aussi que les blessés de Daesh ont été soignés dans des hôpitaux israéliens.

Ces révélations permettent d’avoir une analyse critique sur l’attentat de Vienne. Si cet attentat est officiellement revendiqué par Daesh, pouvons-nous alors en conclure qu’il s’agirait d’une opération montée par des services secrets étrangers et notamment israéliens. Nous pourrions ainsi imaginer que trois personnes de ces services secrets auraient arrosé de balle la foule avant de disparaitre, en prenant soin de laisser le cadavre de Kujtim Fejzulai (qui de plus avait déjà été condamné pour terrorisme) qu’ils avaient abattu une heure ou la veille de leur opération. L’acte était donc signé. Ce sont encore les islamistes !

Cet attentat détournera enfin l’attention de la population contre le mensonge du Coronavirus.

Par ailleurs, concernant la France, il est intéressant de souligner que le Rivotril a été autorisé le 16 octobre (décret n° 2020-1262), jour du soi-disant attentat sur Samuel Paty.

Kujtim Fejzulai : un coupable trop facile