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GISCARD, ÉTAIT UN INITIE DES SUPER-LOGES SECRÈTES. (Laurent Glauzy)

Les super-loges sont au nombre de trente-six dans le monde. L’initiation de Berlusconi y fut refusée. C’est dire leur puissance. Et, elles sont ignorées des francs-maçons réguliers.

Le président français Valéry Giscard d’Estaing, pourtant oligarchique en tant que membre de la « Three Eyes », se laissait persuader en 1974 de coopérer de façon décisive pour mettre un terme au putsch des colonels en Grèce, alors que sa super-loge avait contribué à mettre en place ce régime dictatorial sept ans auparavant (La scoperta delle Ur-Lodges, p. 390 & Laurent Glauzy, Les Super-loges n° 2) tout en apportant sa contribution à l’Opération Condor en Amérique latine. Une vérité que la presse française dont le “Canard enchaîné” ne divulguera jamais, se contentant d’évoquer des relations de Giscard avec les loges régulières et inférieures aux super-loges.

Qu’est ce donc cette Opération à laquelle Giscard a participé selon les révélations du haut franc-maçon Magaldi ?

Le Condor, ce rapace majestueux emblème du Chili a été aussi celui, dans les années 1970 de l’histoire secrète. Celle des « guerres sales » menées de concert par les dictatures militaires du Cône Sud, la zone la plus australe du continent américain, alliées avec les États-Unis dans la lutte anticommuniste. En 1975, le Chili, l’Uruguay, le Paraguay et l’Argentine coordonnent leurs services de renseignement pour traquer les opposants à leur régime même en dehors du continent américain. Le tout avec l’appui sporadique du Brésil et de la Bolivie.

Nom de cette opération secrète ? Le plan Condor, a été notamment révélé en 1992 avec la découverte des bien nommées  « archives de la terreur ». Avec la complicité tacite des États-Unis et de la CIA, dans la crainte que la révolution castriste de Cuba ne fasse tâche d’huile, les dictatures appliquent une Internationale de la répression en traquant, torturant et assassinant les « subversifs », expression fourre-tout qui permet de faire de n’importe qui un potentiel suspect. Ces méthodes de surveillance et de répression de la population ne sont pas nées avec le général chilien Pinochet ou l’Argentin Videla.

Loin de là. C’est à la France que les dictateurs d’Amérique du Sud doivent la doctrine de la « guerre anti-subversive ». Dès la fin des années 1950, les méthodes de la Bataille d’Alger sont enseignées dans les écoles militaires sud américaines par des anciens de l’Indochine et de l’Algérie. Torture, renseignement et disparitions forcées : des techniques Made in France appliquées à l’échelle de tout un sous-continent.

Coq français et Condor chilien, une coopération tentaculaire et sordide qui mêle à la fois anciens de l’OAS, la Direction de surveillance du territoire française (DST) et police politique chilienne et assassinats dans Paris en plein jour et en pleine rue.

Nous savions que Giscard par l’intermédiaire des loges a participé aux premières lois génocidaires sur l’avortement. Mais, ces révélations de Magaldi sur l’Opération Condor permettent de considérer Giscard sous une lumière tout aussi “dégueulasse”.

Nous le voyons encore, si la France trouve ses fondements dans le baptême de Clovis, nous savons que la république est née du génocide du peuple français, comme nous le constatons encore aujourd’hui avec l’actualité du Coronavirus.

L’ouvrage allemand Superlogen regieren die Welt (Les super-loges dirigent le monde) n° 2, rédigé par le Dr Johannes Rothkranz, théologien allemand – entreprend une analyse des révélations de Gioele Magaldi, qui devait succéder en 2014 à Gustavo Raffi, en tant que Grand-Maître du Grand-Orient d’Italie. C’est dire l’importance de son témoignage. Et, c’est ce travail que j’ai traduit en français sous le titre LES SUPER-LOGES n°1, 2 et 3. La traduction des SUPER-LOGES n°4 sera édité en janvier 2021.

En raison de dissensions, cette succession ne s’est pas faite, et Magaldi s’est livré à des révélations saisissantes et inconnues du grand public.

Magaldi, membre aussi des super-loges, appartenant de fait aux alcôves du pouvoir, et ses quatre collaborateurs, dont le grand conseiller des présidents américains Zbigniew Brzezinski, avaient accès aux archives les plus confidentielles de la supra-maçonnerie. De plus, ils étaient acteurs des décisions traçant les contours de la géopolitique. Leurs propos diffusés dans l’ouvrage La scoperta delle Ur-Lodges (La découverte des super-loges), publié en 2014, par la maison d’édition maçonne Chiarelettere, constituent une réelle source permettant une compréhension précise des événements majeurs liés à la politique et à la haute finance. Les révélations de Magaldi étaient prévues pour être rédigées en cinq gros volumes de plus de six cents pages. Mais, seul le premier est paru ! Les quatre autres ne sont donc pas sortis des presses. Nous pouvons en toute logique supposer que les super-loges, dirigées par les Rothschild, ont opposé leur veto.

Quoi qu’il en soit l’âme de Giscard a comparu devant le tribunal de notre Seigneur Jésus-Christ, et sans la présence des francs-maçons pour le défendre.

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