Histoire. 31 décembre 1978 : Mort de Bernard Faÿ, farouche pourfendeur des sectes maçonniques.

« Les Maçons en sommeil pourraient se réveiller.

En les éliminant, nous sommes sûrs qu’ils dormiront pour toujours »

Duce Benito Mussolini, 7 octobre 1930

31 décembre 1978 : Mort de Bernard Faÿ, farouche pourfendeur des sectes maçonniques

Bernard Faÿ est né le 3 avril 1893 à Paris.

Il soutient en 1924 une thèse de doctorat ès lettres sur L’Esprit révolutionnaire en France et aux États-Unis à la fin du XVIIIe siècle. Il est nommé chargé de cours à la faculté des lettres de Clermont-Ferrand avant de devenir professeur dans plusieurs universités.

Il devient un spécialiste du XVIIIe siècle, particulièrement des rapports entre la France et les États-Unis, ce qui l’amène à bien connaître la littérature américaine de son époque. Il est professeur aux universités de Columbia puis de l’Iowa aux États-Unis et effectue plus de vingt séjours aux États-Unis durant l’entre-deux-guerres.

Sa brillante carrière universitaire culmine avec son élection en 1932 comme professeur de civilisation américaine au Collège de France, à moins de 40 ans. Il en est démissionné en septembre 1944.

Bernard Faÿ est nommé administrateur général de la Bibliothèque nationale le 6 août 1940 à la suite de la destitution, par l’ Etat français, de Julien Cain qui a deserté la France le 19 juin 1940 à bord du paquebot Massilia et qui est Juif.

 Il applique au sein de la Bibliothèque nationale les règlements édictés par le Maréchal Pétain : acquisition des bibliothèques appartenant à des communistes ou des Juifs déchus de la nationalité française, refus des lecteurs juifs, suspension des personnels juifs, etc.

 Sa dénonciation du complot judéo-maçonnique semble aux yeux des allemands suffisamment solides pour que son nom figure dans la liste de noms sélectionnés proposée le 1er mars 1941 à Otto Abetz pour diriger l’Office central juif.

 Bernard Faÿ veut donner à la Bibliothèque nationale une véritable place au sein du nouveau régime qu’il soutient totalement. Il remet pour cela au Maréchal Pétain, en 1943, un rapport où est défini le rôle de la Bibliothèque nationale dans l’effort de redressement national.

 Une « Bibliothèque d’histoire de la France contemporaine » (BHFC) instituée au sein de la BN au début de 1941 et dont la direction est confiée à Adrien Dansette, est chargée de l’étude des documents qui ont été confisqués dans les loges maçonniques interdites. 64 000 noms de maçons sont fichés par « l’équipe des sociétés secrètes ». 18 000 noms sont publiés à partir d’août 1941. 3 000 fonctionnaires maçons, infiltrés, perdent alors leur emploi.

Bernard Faÿ joue un rôle très important dans la politique anti-maçonnique de l’Etat français qui expose l’influence négative sur la France, causant son abaissement tant sur le plan intérieur qu’extérieur. D’opinion politique royaliste, Bernard Faÿ appartient au courant contre-révolutionnaire qui se reconnaît dans le discours rural de l’Etat.

 Après les mesures d’interdiction du Grand orient de France et des autres sociétés secrètes, il est nommé chef du Service des sociétés secrètes (SSS), chargé de recueillir, de classer et d’étudier toutes les archives saisies dans les loges.

Pour lutter contre ce « parasite monstrueux », Bernard Faÿ publie pendant quatre ans une revue, Les Documents maçonniques  avec comme rédacteur en chef le catholique traditionaliste Robert Vallery-Radot, qui demontre la désastreuse influence de la franc-maçonnerie sur la France, il fait tourner un film, Forces ocultes, organise des conférences, une grande exposition au Petit Palais en octobre-novembre 1941, et crée à Paris un musée permanent des sociétés secrètes.

Bernard Faÿ est arrêté le 19 août 1944 dans son bureau, à la Bibliothèque Nationale.

Le tribunal le condamne aux travaux forcés à perpétuité, à la confiscation de ses biens et à l’indignité nationale. Gertrude Stein et Alice B. Toklas interviennent vainement en sa faveur, convaincues qu’il leur a sauvé la vie pendant l’Occupation. Après la mort de Gertrude Stein, en juillet 1946, Alice B. Toklas continuera d’intercéder pour obtenir la grâce de Bernard Faÿ.

Alors qu’il est soigné à l’hôpital d’Angers en 1951, Bernard Faÿ parvient à s’échapper et à quitter la France pour trouver refuge en Suisse à Fribourg, à la Villa Saint Jean.

Il enseigne au Collège Saint-Michel. Il est gracié en 1959 par le président Coty.

Bernard Faÿ a utilisé le nom de plume d’Elphège du Croquet de l’Esq.

Il décède le 31 décembre 1978 à Tours.

Une messe de requiem est célébrée à Paris, en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, par Mgr Ducaud Bourget, en présence de Mgr Lefebvre.

Jeune Nation : https://t.co/g1e4CRNPhs?amp=1


Charles De Gaulle cité par Philippe Ploncard d’Assac :

“J’ai redonné la république à la France, je ne vois pas pourquoi je ne lui rendrai pas la franc-maçonnerie.”

Fred Zeller, Grand Maître du Grand-Orient, le remerciera :

“Il nous a redonné Force et Vigueur.”

Fred Zeller confirme le pouvoir maçonnique sous la Vème république :

9 Commentaires

  • Je n’ai pas particulièrement des “affinités” avec B. MUSSOLINI, mais bon en ce qu’il dit (voir article)- sur les FM il a raison…..

  • Excellent commentaire.
    On comprend pourquoi le régime de Vichy a été honni à ce point.
    Il avait évincé à juste titre les Juifs et combattu la Franc-Maçonnerie qui étaient de véritables parasites à l’égard du bien-commun.
    Les aveux de De Gaulle cités ci-dessus en proclamant la restitution de la |République et de de la Franc-Maçonnerie sont très clairs.

  • Voilà franchement exposé le problème . De gaulle a redonné la franc-maçonnerie à la France . Il doit être en Enfer .

    • Que de vies et de générations brisées à cause de cela !
      Sans même parler du pire… Les rites, les tortures, les assassinats, le trafic.

      Que penser des hommes politiques qui s’en réclament ?

      Philippot par exemple, ne s’en réclame-t-il pas ?
      On aimerait avoir, si c’est le cas, son avis sur la question, car je me demande si M. Philippot, qui, par ailleurs, est intelligent, serait malheureusement “tenu”…

  • Mussolini a donné du travail aux italiens, il a fait rénover les routes, créer des ponts, des autoroutes, enrichi le bien commun pour tous.
    Comme l’a fait le grand guide libyen Kadhafi pour son peuple, comme le fait le président syrien Bachar El Assad.
    En fait tous ceux que les merdias corrompus nous présentent comme des ” dictateurs ” sont de grands hommes d’état, alors que nos pantins Rothschildiens encensés sont de vrais tyrans.
    Professeur Fourtillian libéré le 17, Micron ” covidé ” le 17 et disparu depuis, puisque BFMerde nous a montré ensuite un sosie.
    La 17ème lettre de l’alphabet est le Q, soit le renseignement militaire USA.
    Apocalypse 17 est aussi le moment ou la bête se retourne contre la grande prostituée Babylone et l’anéantit.
    Micron l’a dit dans une interview et il n’avait pas l’air rassuré ” La bête de l’évènement est là et elle arrive “.
    La bête l’a attrapé et l’a soit dévoré pour ses crimes ( génocide du peuple, corruption, détournement de fond et pédo-criminalité entre autres ), soit l’hélicoptère américain qui s’est posé à 13 klms de la Lanterne est venu le chercher pour l’emmener à la Cour Internationale de Justice à La Haye Pays Bas ou il passera avec tous ses complices pour crimes contre l’humanité dans un Nuremberg 2.

  • Encore de la belle vérité!! Merci!! J’ai bien ri en écoutant le FM dire ”’’’Il n’y a pas de groupement, d’associations, de syndicats, dans lesquels les francs-maçons ne se trouvent, et aux postes de responsabilités les plus éminentes’’. L’histoire vraie est à peu près l’inverse de celle qui nous a été enseignée: Pétain, Mussolini, des bons, et de Gaule un grand fourbe, responsable de crimes!! Je suis très content de voir par les commentaires que le vrai commence à être connu!! Oui, Philippot a chez lui, la même affiche qu’à l’élysée!! Pas clair ce gars!! Pourra-t-il virer sa cutie?

    • Les fous vantent la vision politique du grand charles qui a dit qu’il fallait continuer le combat car les Allemands allaient s’en prendre un jour ou l’autre à l’URSS et qu’alors ce serait le début de la fin pour eux . Mais Pétain a recréé l’armée d’Afrique pas pour faire joli et il a dit dès la fin juin 41 que les boches étaient fichus car ils s’attaquaient à une grande puissance l’URSS . Un peu hésitante la grande puissance d’accord mais elle s’est reprise cette puissance et malgré les purges terribles dans le commandement faites par Staline , elle a appris à faire la guerre à l’Allemagne nazie pour finir par être très bonne mais alors là très bonne en juin , juillet 44 avec l’opération Bagration . Avant je sais il y a eu Moscou , Stalingrad et Koursk mais bagration est une pépite d’opérations .

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