Je suis grand-mère, de trois petits-enfants de 3, 9 et 12 ans, et je suis effarée de voir les enfants scolarisés, maintenant masqués depuis l’âge de 6 ans. Mon cœur saigne quand je constate la soumission des parents à cette nouvelle normalité.
Ma fille ainée qui a 43 ans, est donc suffisamment mâture pour comprendre les enjeux d’un tel geste. Pourtant, elle suit docilement ces ordres venant d’en haut, ne s’appuyant sur aucune publication scientifique digne de ce nom.
Faisons le point ensemble.
Le cerveau pour bien fonctionner a besoin d’oxygène.
En mettant un masque sur notre nez, nous nous privons d’une bonne oxygénation. On parle alors d’hypoxie. C’est un terme médical qui désigne le manque d’apport en oxygène dans les sang et au niveau des tissus de l’organisme.
En cas d’hypoxie répétée ou prolongée, le corps tombe malade. Nos cellules ont besoin d’oxygène pour se régénérer.
Il serait bon alors de mesurer le taux d’oxygène avec un saturomètre (qui coûte une vingtaine d’euros en pharmacie). Une hypoxie chronique peut provoquer dans les cas les plus graves des AVC, arrêts cardiaques, problèmes pulmonaires ou neurologiques.
Nous savons déjà que le masque FFP1 est une mascarade, et qu’il ne filtre en aucun cas les virus. C’est bien pour cela que les fabricants l’écrivent sur leurs paquets…
Mais plus grave, il réduit d’au moins 30% l’apport d’oxygène dans les sang.
D’après le Dr Margareta Griesz-Brisson virologue, docteur en pharmacologie, spécialiste en neurotoxicologie, les cellules nerveuses sous oxygénées sont incapables de se diviser. Et les cellules perdues sont définitivement perdues.
En outre, l’Etude “Corona Children Studies” réalisée en Allemagne sur 25.930 enfants portant un masque 5 heures par jour, montre que 68 % d’entre-eux révèlent des troubles physiques et/ou comportementaux :
- Résultats scolaires en baisse
- Aggravation des retards
- Rejet de l’école
- Infections ORL diverses
- Maux de tête
- Enfermement dans un monde virtuel
- La communication avec les enseignants ne passe plus
- On entend mal, on parle mal.
Les enfants ressentent comme symptômes physiques :
- 53 % : Maux de tête
- 49 % : Difficultés de concentration
- 42 % : Malaises
- 38 % : Troubles de l’apprentissage
- 36 % : Somnolence et fatigue
- 35 % : Oppression sous le masque
- 30 % : Sensation d’étouffement
- 26 % : Vertiges
- 23 % : Gorge sèche
- 21 % : Sensation de syncope
- 17 % : Démangeaisons dans le nez
- 16 % : Nausées
- 15 % : Sensations de faiblesse
- 13 % : Douleurs abdominales
- 12 % : Respiration accélérée
- 10 % : Sensation d’être malades
- 8 % : Sensation dépression dans la poitrine.
Et au niveau psychologique, les enfants se sentent :
- 60 % : plus irrités
- 56 % : sont sujets à des troubles du sommeil
- 49 % : des moins bonne humeur
- 44 % : réticents pour aller à l’école
- 29 % : plus agités qu’à l’accoutumée
- 25 % : angoissés
- 18 % : réticents à bouger et à jouer.
Tout cela présage des complications psy à courts ou moyens termes. C’est très grave !
D’autant plus que les enseignants sont souvent intransigeants, comme je l’ai vu dans une vidéo où un enfant du primaire rapportait que le maître ou la maîtresse donnait “des droits pour respirer”. Sous forme de jetons. 3 dans la journée, pour prendre une respiration hors du masque…
Mais où va-t’on ? Ce n’est pas loin d’être de la maltraitance et de la mise en danger d’autrui.
Protégeons nos enfants !
Le Docteur Louis Fouché du site d’information reinfocovid, anesthésiste-réanimateur (il sait donc de quoi il parle…) explique dans cette courte vidéo comment mesurer le taux d’oxygénation des enfants, avant et après l’école, grâce à un oxymètre.
En dessous de 95%, le taux est anormal est peut entrainer des complications. Les cellules souffrent car elles n’ont pas assez d’oxygène.
Les enfants ont, de base, une excellente défense immunitaire et ne peuvent se contaminer entre eux. Leur imposer un masque pouvant créer des lésions irréversibles au cerveau, c’est freiner et détruire leur évolution. Ils doivent tous retrouver leur liberté de respirer, de sourire, de rire, de parler.
Il est temps de dire STOP. Parents faites entendre vos voix. La santé physique est mentale de vos enfants doit être protégée. C’est juste une question de bon sens. Retrouvez-le vite !