LES AIGUILLES DE PIN & LA SURAMINE – le secret de l’eternite ? (lAURENT gLAUZY)

Le pin sylvestre comme l’arche de Noé matérialisent le renouveau et à cet effet l’éternité. En voici les preuves et les arguments.

Dans un passé tout à fait récent, des hommes ont atteint des âges supérieurs à 140 ans, voire même à 160 ans. Une évidence que la médecine vous cache. Fernand Crombette (+1971), qui déchiffra bien mieux les hiéroglyphes à partir du copte ancien que le franc-maçon Champollion, écrit [dans son ouvrage Essai de Géographie divine, t. IV-B, Les Cahiers du CESHE, 1995, p. 240 ; repris dans mon livre Les Géants et l’Atlantide en se fondant sur Les Dictionnaires de la Bible, (1895, art. Longévité)] que l’abbé Fulcran Vigoureux (1837-1915) en cite un certain nombre (des hommes très vieux dans le monde) qui ont été constatés à l’époque moderne : en Angleterre, le paysan Effingham mourut à 144 ans, un autre paysan Thomas Parne est mort à 152 ans ; le pêcheur Henri Jenkins est mort à 169 ans ; en Norvège, le marin Draakenberg atteignit 146 ans, et Joseph Surrington alla jusqu’à 160 ans. Le Hongrois Bowin mourut à 172 ans, laissant une veuve de 164 ans et un fils de 115 ans ; un Livonien mourut à 168 ans ; la comtesse irlandaise Desmond décéda à 145 ans et un vétéran russe s’éteignit en 1825 à l’âge bien constaté de 202 ans.

Mais, il est un cas tout aussi époustouflant de longévité et très particulier faisant appel au pin. En 1898, le recensement accusait en Serbie, sur deux millions d’habitants, trois vieillards de 135 à 140 ans ; dix-huit de 126 à 135 ans, et deux cent quatre-vingt-dix de 115 à 125 ans ; soit un nombre déjà impressionnant de trois cent onze personnes de plus de 115 ans. Ces chiffres permettent de douter des affirmations du corps médical prétendant au XXe s. d’un allongement de la durée de vie. Notons aussi que les âges recensés par Vigouroux sont publiés par le Bénédictin dom Louis-Mayeul Chaudon en 1811 dans le Dictionnaire universel historique biblique, historiographique (t. XV, 9e éd.).

Quand j’ai collecté ces informations pour écrire l’ouvrage Les Géants et l’Atlantide, j’avais lu la remarque que la population serbe montrant des vieillards de plus de 120 ans habitait à proximité d’une forêt de pin.

Notons aussi que le vieillissement a intéressé les meilleurs scientifiques, comme Alexis Carrel. Dans l’ouvrage L’homme cet inconnu (1935, p. 1654), il mentionne que l’alimentation a une incidence sur la structure et la taille de l’organisme : « Si le volume du milieu intérieur était plus considérable, l’élimination des produits de la nutrition plus complète, il est permis de croire que la vie humaine serait plus longue. » Rappelons que Carrel travailla sur le premier cœur artificiel et qu’il défendit le plasma marin contre les transfusions sanguines, et que défiant les ordres, il sauva de nombreux Poilus de l’amputation en utilisant le Dakin. Déjà, le corps médical baignant dans la culture de mort des loges, ne voulait pas sauver nos soldats. Mais, là, n’est pas le sujet…

En tout cas, nous voyons un lien dans ces arguments entre l’alimentation, le pin et la longévité.

Or, nous savons que sous la calotte glacière du soi-disant Pôle sud, sont recouvert des forêts de pins. C‘est à dire que le pin était présent sur terre et avait servi à la construction de l’arche de Noé. Le bois de l’Arche de Noé était du Cèdre. Et ce bois avec les mesures précises de l’arche de Noé rendait l’embarcadère insubmersible. L’arche pouvait s’inclinait à 90° sans chavirer, contre seulement 60° aujourd’hui. Cette étude a été menée par le Dr Henry M. Morris (1918-2006), ingénieur en génie civil.

L’arche de Noé recouvre donc un aspect d’éternité par sa robustesse et elle transporte Noé qui a cinq cents ans au moment du déluge. Cet âge est tout à fait possible, car la terre ne connaissait pas de saisons, l’anneau aqueux qui était une protection n’était pas percé, et la terre était entourée de forêts. N’oublions pas aussi qu’il y a des pommes de pins sur l’île de Pâques, seule terre ayant survécu au Déluge, et représentant l’homme de Néanderthal (à savoir la lignée maudite de Sham) à travers les Moaï. Crombette savait notamment lire les écritures pascuanes qu’il rapprochait des hiéroglyphes.

Le pin devait bien entendu être en abondance sur terre avant le Déluge, à une époque donc où Sem vécut jusqu’à 600 ans, Arpachshad a atteint 438 ans ; Tharé, 205 ans ; Sarug, 365 ans ; Héber, 464 ans, etc.

Il y a un détail également troublant qui entoure l’arche de Noé et donc le pin. A partir de sa découverte sur le mont Ararat par une expédition organisée par le tsar de Russie avant la révolution bolchévique, les scientifiques se sont succédés. Certains ont goûté la glace qui l’enchâssait et constatèrent que cette glace était « énergisante ». C’est le terme utilisé. Cela signifierait que le monde d’avant le Déluge était plus « fort ». Nous pouvons le penser, car toute espèce dont l’homme était végétarien avant le Déluge et consomme de la viande après le Déluge, comme s’il s’agissait de combler un manque en protéine.

Les prétendues (mais non prouvées) pyramides de Bosnie, au nombre de cinq, sont reliées par des tunnels très profonds, eux bien existants et chargés de mystères. Certains pensent que ces tunnels datent d’avant le Déluge. Cependant, il est un fait que l’air y ait concentré » en ions négatifs, trente fois supérieur à la moyenne, et se faisant excellent pour la santé. Un chercheur raconte en outre avoir oublié ses médicaments pour le cœur et fut étonné de ne pas avoir de syndromes de compressions de la cage thoracique en raison de la qualité de cet air.

Enfin, les indiens d’Amérique prétendaient avoir soigné le scorbut avec les tisanes d’aiguilles de pin.

Alors comment ne pas considérer que le pin qui nous est transmis bien avant le Déluge est un arbre de l’Eternité, et qu’à cet effet il y a tout lieu de lui faire confiance contre la protéine de Spike ?

Aujourd’hui, comme hier, au temps de Noé, l’humanité qui ne sera pas contaminée par la protéine de Spike, sera celle qui sera montée dans la Nouvelle Arche de Noé, qui aura utilisé les aiguilles de pin contenant la suramine.

Huile essentielle de pin sylvestre bio en ligne

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17 Commentaires

  • Eternité non , mais une vie un peu longue et en bonne santé ; cela n’est pas impossible , superflu , ni démoniaque . Cependant vouloir aller au-dela de cent ans hum !

  • …. « L’homme sur Le toit se souvient du moderne, son frère, avec autant de pitié que de rage. Il n’est pas loin, il est là, dans les mêmes bourrasques. Mais il les change à toute force.
    …..
    Les toitures arrachées te protège encore du mystère; l’arbre foudroyé -estimé,pinaillé, remboursé-et dissimulé l’éclair.
    Peut-être avait-t-on toujours rêvé de se tenir dans la nuit sans étoiles, au bord d’une falaise, et de rire au coeur de la tempête, le front aux embruns, d’un rire sonore, démesuré, coupé de larmes sans amertume? Et les tempêtes sont là dehors, et les falaises bordent les côtes. Qu’a prendre son manteau et sortir. Quelqu’un l’aurait-Il déjà fait?! »

    Le pouvoir des mots qui reprennent vie!!!

  • Bonjour

    Que pensez vous des recherches de Gigal sur les Mérovingiens et possibilité forte que Jesus était un Gaulois ( Galate) vivant en territoire juif ? où des traces celtiques ont été retrouvées
    https://youtu.be/Szmr4sbJlik

    Je vous remercie

    • cela fut l’objet d’un article sur profidécatholica .com il y a bien deux ans . je ne sais pas s’il y a moyen de retrouver cet article ….au fait c’est Antoinette ou Antoine ? Les peuples de la mer envahirent ces régions 1000 à 1100 avant Jésus Christ . <Jacques Grimault nous a dit que cette personne n'est pas fiable sur l'Egyptologie , sur le Christianisme , je ne sais . Jacques Grimault le sait-il . je ne crois pas . Je ne connais pas ses thèses …. je vais essayer de l'écouter . mais attention les mérovingiens et le Christ c'est quatre siècles d'écart .
      faites une recherche avec les mots clefs en début de page du site , genre "Christ , gaulois , israel "et peut-être retrouverez -vous cet article .

  • C’est intéressant, mais la confusion entre cèdre et pin (dans l’article) est déjà un premier écueil qui crée l’incertitude.

    En creusant, l’incertitude est encore plus large que ça. Démonstration…

    Genèse 6:14 parle en réalité de bois de gopher (עֲצֵי־גֹפֶר), bois de résineux, bois résineux, bois de cyprès (Bible en français courant), “Tannenholz” (Bible de Luther) Tannen c’est sapin en allemand je crois, “sapin” (Bible d’Olivétan), bois aplani, bois équarri, bois poli, buis…

    “Gopher (גֹפֶר en hébreu biblique) est un hapax de la Torah, c’est-à-dire un mot qui n’apparaît qu’une seule fois, dans la Genèse 6:14 :

    « Fais-toi une arche de bois de gopher; tu disposeras cette arche en cellules, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors. »
    Faute d’autres références pour connaître le sens du mot, celui-ci ne peut être déterminé avec certitude. Il pourrait désigner une essence de bois, une façon de découper le bois, ou encore une façon de le traiter.”

    “La Septante, traduction grecque antique, opte pour xylon tetragonon (ξύλων τετραγώνων) en grec, c’est-à-dire de bois équarri. Cette hypothèse a été reprise par la Vulgate (lignis levigatis en latin, soit “bois poli”, “lissé”).
    Le Targoum Onkelos, traduction araméenne qui fait largement référence parmi les juifs, traduisait par qadros qui correspond au cèdre,
    La Peshitta syriaque donne ‘arqa, c’est-à-dire le buis.”

    “Pour percer le sens du mot, on a recherché des mots apparentés dans d’autres langues : on a ainsi tenté de le rapprocher de l’assyrien giparu (roseau) ou du babylonien Gushur (cèdre). Certaines traductions modernes optent pour le cyprès3, bien que cet arbre soit désigné ailleurs dans la Bible par un mot différent (berosh). Cette traduction s’appuie sur une légère ressemblance avec le nom grec du Cyprès (Kuparisson, Κυπάρισσος), ce qui suppose donc que le mot grec aurait une origine sémitique4.

    On a aussi proposé d’autres essences d’arbres, telles que l’ébène, le pin, le sapin, le teck, etc.

    Une autre interprétation proposée5 veut qu’il s’agisse en fait d’une ancienne erreur d’un scribe, reproduite ensuite de manuscrit en manuscrit : le mot serait initialement כפֶר, kopher, dont la première lettre6 serait K (kaph) כ et non pas G (gimel) ג, les deux lettres se ressemblant. kopher désigne le bitume, l’expression indiquerait alors que le bois est traité à l’aide de bitume.

    Beaucoup de traductions de la Bible, faute de certitudes, laissent le mot hébreu non traduit, comme le texte de Segond cité en introduction.”

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gopher_(bois)

    Bref, le pin sylvestre, ce n’est pas garanti avec certitude ! Quant à ses vertus dans le cadre de la crise qui est nôtre, c’est possible, mais où sont les démonstrations scientifiques qui nous le garantissent ?

    NB : Depuis que j’ai entendu parler de cette tisane d’aiguilles de pins, je suis devenu expert en reconnaissance de pins sylvestres et j’ai prélevé aux rares pins sylvestres que j’ai pu trouver dans mon proche environnement, un petit sachet d’aiguilles fraîches que j’ai lavées, séchées quelques jours à l’air et mises au congélateur. Ai-je bien fait de les congeler ? Ne peut-on les laisser en sachet comme les autres tisanes, à température ambiante ? Ou au frigo ?

    Question : Comment préparer la tisane ? J’ai lu, je crois, qu’il ne fallait pas faire bouillir les aiguilles sous peine d’annihiler leurs vertus. J’ai donc mis de l’eau bouillie, encore chaude mais un peu refroidie (environ 80 degrés) dans une tasse et laissé infusé 2 bonnes heures avant de boire, après avoir couvert la tasse. Est-ce la bonne méthode ? En tout cas, le résultat est insipide, on ne retrouve pas du tout le goût puissant de la tisane de bourgeons de pin sylvestre.

    Par ailleurs, on sait que la suramine est toxique. Sous forme d’aiguilles de pin sylvestre, cette toxicité disparaîtrait-elle ? Si oui, par quel phénomène ?

    • Bon , ce que vous dites a un sens ; on ne sait pas si c’est réellement efficace ; cependant vous pouvez récolter et tisanner . la suramine pourrait être effiicace ; Laurent a écrit dans un article que ce remède contre le covid et les vaccinés du covid est connu des puissants (manipulateurs ) ; Il n’y a donc aucun mal à tenter le coup ; Dans un article laurent a expliquer le mode d’emploi . Faire bouillir très peu de temps, quelques secondes , et laisser infuser plus longtemps . je crois que les congeler est efficace pour conserver aux aiguilles toute leur fraicheur et propriétés ( si ma mémoire est bonne ) . de toute manière sur ce site vous retrouverez le mode d’emploi . Moi je ne cite que de mémoire .

  • C’est intéressant, mais la confusion entre cèdre et pin (dans l’article) est déjà un premier écueil qui crée l’incertitude.

    En creusant, l’incertitude est encore plus large que ça. Démonstration…

    Genèse 6:14 parle en réalité de bois de gopher (עֲצֵי־גֹפֶר), bois de résineux, bois résineux, bois de cyprès (Bible en français courant), « Tannenholz » (Bible de Luther) Tannen c’est sapin en allemand je crois, « sapin » (Bible d’Olivétan), bois aplani, bois équarri, bois poli, buis…

    « Gopher (גֹפֶר en hébreu biblique) est un hapax de la Torah, c’est-à-dire un mot qui n’apparaît qu’une seule fois, dans la Genèse 6:14 :

    « Fais-toi une arche de bois de gopher; tu disposeras cette arche en cellules, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors. »
    Faute d’autres références pour connaître le sens du mot, celui-ci ne peut être déterminé avec certitude. Il pourrait désigner une essence de bois, une façon de découper le bois, ou encore une façon de le traiter. »

    « La Septante, traduction grecque antique, opte pour xylon tetragonon (ξύλων τετραγώνων) en grec, c’est-à-dire de bois équarri. Cette hypothèse a été reprise par la Vulgate (lignis levigatis en latin, soit « bois poli », « lissé »).
    Le Targoum Onkelos, traduction araméenne qui fait largement référence parmi les juifs, traduisait par qadros qui correspond au cèdre,
    La Peshitta syriaque donne ‘arqa, c’est-à-dire le buis. »

    « Pour percer le sens du mot, on a recherché des mots apparentés dans d’autres langues : on a ainsi tenté de le rapprocher de l’assyrien giparu (roseau) ou du babylonien Gushur (cèdre). Certaines traductions modernes optent pour le cyprès3, bien que cet arbre soit désigné ailleurs dans la Bible par un mot différent (berosh). Cette traduction s’appuie sur une légère ressemblance avec le nom grec du Cyprès (Kuparisson, Κυπάρισσος), ce qui suppose donc que le mot grec aurait une origine sémitique4.

    On a aussi proposé d’autres essences d’arbres, telles que l’ébène, le pin, le sapin, le teck, etc.

    Une autre interprétation proposée5 veut qu’il s’agisse en fait d’une ancienne erreur d’un scribe, reproduite ensuite de manuscrit en manuscrit : le mot serait initialement כפֶר, kopher, dont la première lettre6 serait K (kaph) כ et non pas G (gimel) ג, les deux lettres se ressemblant. kopher désigne le bitume, l’expression indiquerait alors que le bois est traité à l’aide de bitume.

    Beaucoup de traductions de la Bible, faute de certitudes, laissent le mot hébreu non traduit, comme le texte de Segond cité en introduction. »

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gopher_(bois)

    Bref, le pin sylvestre, ce n’est pas garanti avec certitude ! Quant à ses vertus dans le cadre de la crise qui est nôtre, c’est possible, mais où sont les démonstrations scientifiques qui nous le garantissent ?

    NB : Depuis que j’ai entendu parler de cette tisane d’aiguilles de pins, je suis devenu expert en reconnaissance de pins sylvestres et j’ai prélevé aux rares pins sylvestres que j’ai pu trouver dans mon proche environnement, un petit sachet d’aiguilles fraîches que j’ai lavées, séchées quelques jours à l’air et mises au congélateur. Ai-je bien fait de les congeler ? Ne peut-on les laisser en sachet comme les autres tisanes, à température ambiante ? Ou au frigo ?

    Question : Comment préparer la tisane ? J’ai lu, je crois, qu’il ne fallait pas faire bouillir les aiguilles sous peine d’annihiler leurs vertus. J’ai donc mis de l’eau bouillie, encore chaude mais un peu refroidie (environ 80 degrés) dans une tasse et laissé infusé 2 bonnes heures avant de boire, après avoir couvert la tasse. Est-ce la bonne méthode ? En tout cas, le résultat est insipide, on ne retrouve pas du tout le goût puissant de la tisane de bourgeons de pin sylvestre.

    Par ailleurs, on sait que la suramine est toxique. Sous forme d’aiguilles de pin sylvestre, cette toxicité disparaîtrait-elle ? Si oui, par quel phénomène ?

  • Frontigny marie Catherine

    Comment peut-on acheté des tisane d’aigu De pin sylvestres merci d’avance

  • Bel article, Laurent : et si les aiguilles de pin sylvestre étaient bien l’arche d’une nouvelle alliance ?

    En Chine aussi, des records d’âge sont battus, je crois. Il est souvent difficile de donner un âge aux Asiatiques : apparemment, ils ne « vieilliraient » pas de la même façon car leur projection mentale de la vieillesse serait différente de la nôtre.

    Nous aurions besoin de consommer de la viande pour couvrir nos besoins en vitamine B12 car nous n’avons pas, de toute évidence, la dentition de carnivores. Les herbivores, en revanche, produiraient eux-mêmes cette vitamine lors de leurs différents processus de digestion, notamment la rumination. La chèvre, contrairement à nous, synthétiserait aussi la vitamine C et certains chercheurs pensent que l’homme la synthétisait également par le passé. Les bienfaiteurs de l’humanité n’auraient-ils pas déjà modifié notre ADN ?

    Laura Eisonhower rapporte que les personnes qui ne mangent pas de viande entrent plus facilement en contact spirituel avec les armées célestes, ce qui nous renvoie aux vertus du jeûne.

    Elle évoque aussi la possibilité que nos « élites » auraient compromis leurs ADN avec des êtres « draconiens ». Le roman du XIVe siècle, Mélusine, de Jean d’Arras, fait état de la légende d’une femme-serpente, qui réussit à épouser un roi catholique en lui dissimulant sa véritable nature. Elle le pousse ensuite à partir en guerre contre les Sarrasins avec des velléités hégémoniques sur le reste du monde… L’existence des villes souterraines dont vous parliez, Laurent, dans une de vos dernières vidéos, m’a immédiatement remis en mémoire cette histoire de Mélusine.

  • Vivement le retour des vidéos! L’actu est brûlante, explosive même. J’ai une suggestion: Laurent Glauzy pourrait-il faire des lives sur Twitch ou sur Dlive? Même Di Vizio le fait! On pourrait lui poser des questions, il y aurait une vraie interaction.

  • ”Mon Royaume n’ est pas de ce monde.”

  • “toute espèce dont l’homme était végétarien avant le Déluge et consomme de la viande après le Déluge”. Dans ce cas, à quoi servaient les brebis d’Abel, fils d’Adam et premier pasteur de troupeau? Le lait, la laine, le cuir, les sacrifices? Mais pas la viande?

  • Voir la vidéo youtube de Judy Satory dans l’une des pyramides de Bosnie. ( on ressent l’énergie).
    Voir aussi, l’académie jedï, de Mr Jean Michel Raoux , professeur de science retraité qui s’intéresse à la gematrie, et est allé avec un groupe aux pyramides de Bosnie, pour un travail énergétique. Cf legrandchangement.tv.

  • On dit qu les moines Tibétains Attali eignent souvent …un très très grand âge…

  • Vivre 150 ou 200 ans ?
    Je dis oui si j’avais la richesse et quelques épouses dans un monde de paix.
    Mais avec toutes ces prédictions futures, je préférerais mourir naturellement dans mon sommeil !
    Il y as quelques années je pensais déjà en regardant les avis des morts de mon village, que bien que cela soit triste, peut être ont-ils échappé à un futur que moi vivant vais-je subir ?

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