“La république n’écoute personne” : Jean-Philippe Chauvin – “La république est entre les mains de la franc-maçonnerie et de la finance apatride” : Alain Pascal. Vidéos

“Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière.”

Jean-Baptiste Carrier – Tortionnaire et Assassin des Vendéens, père des Colonnes Infernales.

N’est-elle pas Belle la régénération de la saleté Carrier ?

“Il est temps de rétablir ce grand principe qu’on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la république avant d’appartenir à leurs parents. Personne plus que moi ne respecte la nature. Mais l’intérêt social exige que là doivent se réunir les affections.

Georges-Jacques DANTON le 12 décembre 1793 à la Convention.

Le mouvement des “Lumières” fut crée CONTRE la religion Catholique. A cet effet, l’allemand Gothold-Ephraïm Lessing, en accord avec Bayle et Voltaire écrira en 1777 :”Il suffit que les hommes s’en tiennent à l’amour chrétien ; peu importe ce qui arrive à la religion Chrétienne.”

Différence entre république maçonnique talmudique et la Monarchie Catholique Française :

Dernière recommandation de Saint Louis à son fils.

Le roi Louis IX, le saint, est demeuré, dans l’histoire, comme la personnification de la justice et de la bonté élevées à la perfection par la pratique des vertus religieuses. Il avait le don de sauvegarder la dignité de la majesté royale, même quand il se montrait le plus empressé pour les petits, ce qu’on appelait, à cette époque, « la menue gent ».

Quand il résidait au château de Vincennes, il avait l’habitude, après avoir entendu la messe, de sortir dans le bois, pour laisser venir à lui ceux qui avaient à lui parler. Il s’appuyait à un chêne, faisait asseoir sa suite autour de lui, et demandait lui-même à haute voix : Y a-t-il quelqu’un qui est ici partie ? (c’est-à-dire : procès, discussion.) Et il encourageait les plus humbles à lui conter leurs doléances, auxquelles il faisait droit, selon la justice.

C’est ainsi qu’il habitua ses sujets, lorsqu’ils avaient à formuler des plaintes, à en « appeler au roi ». Cette habitude constitua l’une des prérogatives les plus populaires de ses successeurs. Saint Louis était redevable à sa mère de la chrétienne et virile éducation qui guida sa vie entière. Blanche de Castille avait si grande conscience de sa responsabilité, qu’elle disait un soir à saint Louis : Mon fils, je préférerais vous voir mort qu’en état de péché mortel.

Elle avait aussi développé chez lui la valeur guerrière, et jamais il ne voulut se mettre à l’abri du danger qu’il faisait courir aux autres : Jamais on ne combattra mes hommes , disait -il à quatorze ans, que mon corps ne soit avec eux .« Fais-toi chrétien, je te ferai chevalier ! » Et, soit à Taillebourg, soit à Damiette, soit à la Mansourah, le roi fut toujours au poste le plus périlleux. Il organisa deux croisades dont la première se termina pour lui par une captivité de deux ans en Egypte. Sa grandeur d’âme força l’admiration des Sarrasins, qui dans leur prisonnier trouvaient toujours le courage et la majesté d’un roi. Ils le menacèrent souvent de la mort et furent surpris de son impassibilité. Un jour l’un des chefs entra dans sa prison et lui dit, la menace à la bouche : « Fais-moi chevalier, ou meurs ! — Fais-toi chrétien, je te ferai chevalier ! » repartit saint Louis.

C’est aussi pendant cette campagne que la reine Marguerite, suppliant un vieux chevalier, son garde du corps, de la tuer si elle venait à tomber aux mains des Sarrasins, reçut cette simple réponse : J’y songeais, Madame !

La seconde croisade de saint Louis finit encore plus tristement, au milieu des horreurs de la peste, sur les côtes de Tunis. Le roi succomba à la contagion, après avoir fait à son fils ses dernières recommandations et lui avoir répété : “Soutiens la plainte du pauvre jusqu’à ce que la vérité soit déclarée.”


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