L’Arabie Saoudite renvoie des milliers d’éthiopiens dans leur pays pendant que la France pleure ses enfants tués par l’invasion africaine criminelle protégée par les loges de l’état républicain criminel. Vidéos.

L’Arabie Saoudite va renvoyer 100.000 migrants éthiopiens dans leur pays, le royaume en a déjà renvoyé 352.000 en 4 ans. L’ONU approuve ces expulsions massives

Plusieurs centaines d’Ethiopiens sont arrivés mercredi à Addis Abeba en provenance d’Arabie Saoudite, le premier contingent des quelque 100.000 ressortissants d’Ethiopie qui vont être rapatriés du royaume au cours des prochains mois, ont constaté des journalistes de l’AFP.

(…) Le ministère éthiopien des Affaires étrangères a annoncé qu’il allait rapatrier environ 100.000 de ses citoyens d’Arabie Saoudite au cours des sept à onze mois à venir, dans le cadre d’un accord signé récemment entre les deux pays.

Vêtues pour la plupart d’une abaya noire, traditionnelle en Arabie saoudite, le visage de certaines couvert d’un niqab, de nombreuses femmes portaient des bébés sur le dos ou tenaient des enfants par la main, leurs maigres affaires entassées dans des sacs en plastique, en attendant en file indienne d’être enregistrées à leur descente de l’avion.

“Nous sommes de retour dans notre pays béni après six mois en prison”, se réjouit Medina, jeune femme de 28 ans, “mais nombre de nos frères continuent de souffrir particulièrement dans les prisons pour hommes”.

Des organisations de défense des droits de l’Homme dénoncent depuis plusieurs années les conditions de rétention des migrants éthiopiens en Arabie saoudite.

Ces gens “sont nos citoyens. Ils ont connu des moments très douloureux. Quand le gouvernement a compris leur douleur (…) il a entamé des discussions diplomatiques” pour les faire rentrer, a expliqué Hana Yeshingus, représentante du ministère éthiopien des Femmes et des Enfants.

“Répondre aux besoins des 100.000 personnes de retour sera un énorme défi pour le gouvernement (éthiopien), pour l’OIM et pour les partenaires” de l’Ethiopie, souligne l’OIM (Organisation internationale pour les migrants, liée à l’ONU)

L’organisation estime “qu’environ 750.000 Ethiopiens résident actuellement dans le royaume (saoudien), dont quelque 450.000 sont entrés de manière illégale et devront être aidés à rentrer chez eux”, et rappelle qu’au “cours des quatre années écoulées, l’Arabie saoudite a renvoyé environ 352.000 Ethiopiens chez eux”.

TV5 Monde

VIA

FdeSouche : https://www.fdesouche.com/2022/03/30/larabie-saoudite-va-renvoyer-100-000-migrants-ethiopiens-dans-leur-pays-le-royaume-en-a-deja-renvoye-352-000-en-4-ans-lonu-approuve-ces-expulsions-massives/


Témoignage d’Evelyne qui a perdu son fils massacré de 22 coups de couteau par un réfugié soudanais.

Patrick Jardin, père de Nathalie tuée au Bataclan, témoigne

« Mon crâne était déformé » : l’agresseur d’Alexandre, libéré par la police, est suspecté d’avoir tué un homme mercredi dernier

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Le quartier de la Timone à Marseille est devenu un lieu craint par des étudiants de la cité phocéenne, victimes régulières d’agressions et de vols.

Depuis quelques jours, des patrouilles de police plus fréquentes auraient permis dquelques interpellations. Malgré tout, d’autres agressions se sont produites. C’est notamment le cas de plusieurs étudiants en médecine, agressés et rackettés à quelques mètres de leur faculté.

Une situation qui instaure un climat d’insécurité. «C’est un peu stressant, parce qu’on se dit qu’on n’est pas à l’abri, ça touche aussi nos amis», témoigne Aglaé, étudiante dans l’établissement situé dans le quartier de la Timone.

Pour lutter face à ces agressions à répétition, quelques étudiants ont créé un groupe sur Facebook, «Actu Timone» et comptant près de 3.000 membres, afin de prévenir de potentielles agressions et d’alerter sur la présence d’individus suspects aux alentours de l’établissement de médecine.

CNews

Un trentenaire a été mortellement blessé ce samedi 26 mars devant le parvis de l’Opéra Comédie. Sandrine, témoin du drame, raconte l’horreur de la scène.

“Au moment où la victime a sombré dans le coma devant mes yeux, je peux vous certifier qu’il n’y a pas eu le moindre coup porté de sa part. Il n’y a pas eu de bagarre entre les deux, c’était une agression totalement gratuite. C’est vraiment horrible ce qui s’est passé.”

Témoin oculaire du drame, Sandrine est toujours sous le choc de ce qu’elle a vécu ce samedi 26 mars, aux alentours de 15 h sur le parvis de l’Opéra Comédie. Venue assister au concert intitulé “Montpellier chante la liberté et la paix”, elle a, malgré elle, assisté à l’horreur de cette scène qui aujourd’hui la hante.

“Je m’étais mise sur le côté pour prendre en photo le groupe quand un homme est arrivé avec une casquette sur la tête. Et d’un coup, sans raison, il a propulsé dans les escaliers un jeune homme qui était en train de danser, en le poussant violemment dans le dos.”

(…)

Ses yeux se sont révulsés, il a immédiatement saigné de l’oreille

“Quelqu’un a voulu intervenir mais il n’a pas eu le temps. L’agresseur l’a propulsé, une troisième fois vers le sol, et là sa tête a heurté le coin d’une dalle en pierre surélevée. Ça a fait un bruit insoutenable que je n’arrive pas à oublier. Ses yeux se sont révulsés, il a immédiatement saigné de l’oreille. Pour moi, il est mort sur le coup. C’est horrible.”

(…) Heureusement, Sandrine a eu le bon réflexe de prendre une photo de lui durant l’agression. C’est d’ailleurs grâce à son cliché que les policiers sont parvenus à l’identifier. Âgé de 55 ans, ce sans domicile fixe a finalement été interpellé dans un foyer situé avenue des Droits-de-l’Homme à Antigone.

(…) Quant à Alexandre, la victime, âgé de 32 ans, qui vivait avec sa compagne au Grau d’Agde, il n’a pas survécu à ses blessures. En mort cérébrale depuis ce lundi, il a officiellement été déclaré décédé ce mardi après-midi, laissant derrière lui son frère jumeau, sa petite sœur, ses parents, sa famille et ses proches dans une peine abyssale.

Midi Libre

ENQUETE  Alors qu’elle se rendait à son travail à vélo, une jeune femme de 19 ans a été agressée sexuellement par un individu tôt samedi matin à Cesson-Sévigné[…]

Le suspect a reconnu les faits

La victime a été prise en charge par les pompiers et conduite au CHU Pontchaillou. Confiée à la sûreté départementale, l’enquête a rapidement permis d’identifier le suspect, « un jeune homme né en 2001 au Cameroun, connu de l’institution judiciaire ».[…]

L’article dans son intégralité sur 20 Minutes

Dans la nuit du jeudi 31 mars au vendredi 1er avril 2022 à Bobigny (Seine-Saint-Denis), trois personnes ont été interpellées par la police après l’agression d’un chauffeur et de ses deux passagers. 

Interpellation après une tentative de fuite

Munis de battes de baseball et de gaz lacrymogène selon les forces de l’ordre, trois personnes auraient agressé un chauffeur et ses deux passagers dans la nuit de jeudi à vendredi. 

Alors qu’ils auraient tenté de prendre la fuite, les trois agresseurs présumés ont été interpellés par des agents de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sur l’autoroute A86.

Actu.fr

Un habitant du quartier Glacière, situé dans le 13e arrondissement de la capitale, est mort après avoir reçu plusieurs coups de couteau au niveau du torse et du visage, selon nos informations. La victime, qui est décédée aux alentours de 2 heures du matin, dans la nuit du jeudi 31 mars au vendredi 1er avril, a été attaquée par plusieurs individus d’un quartier voisin, précise une source policière.

Valeurs

La famille roubaisienne, privée de logement depuis début mars, vit dans l’expectative de trouver un toit à elle. Les solutions provisoires s’enchaînent, bienvenues, mais leur désespoir reste le même.

La famille Lefebvre est à nouveau en sursis. La situation de ce couple avec trois enfants est vraiment ubuesque. Après trois semaines de prise en charge d’une chambre d’hôtel par Action logement, ils ont failli se retrouver à la rue avant qu’une aide inespérée ne vienne de l’ESBVA pour le week-end. Ils ont ensuite pu rester toute la semaine à l’hôtel Ibis de Villeneuve-d’Ascq grâce à un ami. Ces gestes, couplés à une invitation pour assister à un match de basket samedi soir, leur ont clairement mis du baume au cœur. Une éclaircie dans un ciel d’orage… Car la situation du couple est loin de s’améliorer.

« La mairie de Roubaix m’a appelé pour me demander des papiers d’impôts pour finir le dossier de relogement d’urgence, explique Laurent. Ça montre que j’ai des revenus. » En effet, il a un contrat de cariste intérimaire chez Adecco et travaille 35 heures par semaine. « L’association Graal de Roubaix m’a demandé de passer pour monter le dossier de relogement d’urgence, ajoute-t-il. Mais ils m’ont dit qu’il y avait sept mois d’attente. » Drôle de notion de l’urgence… Au 115, le service n’a pas de places pour des familles. Le couple a également contacté l’association ARELI, une structure sociale qui a pour mission l’insertion par le logement, mais on leur a répondu que seuls des logements de 9 à 15 m² étaient disponibles. La mairie de Tourcoing les a renvoyés sur la mairie de Roubaix. Et la mairie de Villeneuve-d’Ascq leur a répondu que le service logement était fermé pour la semaine. Enfin, Action logement qui leur avait financé la chambre à Kyriad ne peut pas renouveler l’opération.

l’aide provisoire du secours populaire

Le rayon de soleil provisoire est venu de la CAF qui les a mis en relation avec le Secours populaire. L’association leur finance une chambre d’hôtel pour ce week-end. Mais dès lundi, le problème sera le même…

Angélique, qui avait investi dans sa société de couture, pense à y mettre un terme de peur de payer les URSSAF. Quant à Laurent, qui distribue des prospectus en plus de son travail d’intérimaire, ne sait s’il pourra continuer parce qu’il n’a plus de local pour les trier avant la distribution.

www.nordeclair.fr

Sans logement depuis ce mercredi, un couple et ses cinq enfants, soutenus par le réseau associatif et citoyen, ont été “accueillis” dans une école à la Villeneuve. Ils réclament l’application du droit et ont obtenu (en partie) gain de cause.

Les yeux d’Alexia sont aussi beaux que ses larmes fendent le cœur. Ses parents pleurent aussi. Il est midi ce mercredi et ils sont là devant l’école des Buttes, avec de maigres bagages. Autour d’eux, des militants, des parents d’élèves, des soutiens qui ont pénétré dans l’école pour que cette famille congolaise ait simplement un toit. Juste un toit. Le père, ancien directeur financier dans l’hôtellerie, raconte : « Nous avons fui le Congo en 2019 pour des raisons de sécurité. Mais nos demandes d’asile en France, alors que nous étions dans les Vosges, ont été rejetées ». […]

Le Dauphiné



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