Libre alors au tyran d’user et d’abuser de son pouvoir que l’esclave prendra pour tout le bien du monde et bénira même son bourreau de tant de mansuétude à son égard.
« Le monde moderne avilit. Il avilit la cité ; il avilit l’homme. Il avilit l’amour ; il avilit la femme. Il avilit la race ; il avilit l’enfant. Il avilit la nation ; il avilit la famille, (…) il avilit la mort. »
Charles Péguy.
L’esclave est devenu un citoyen sous contrôle du même geôlier.