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« NOYAU DUR » par Alexandre Lebreton. Vidéos.

« La franc-maçonnerie est en fait une superposition de sociétés secrètes dont la base ignore ce qui se passe et ce que l’on décide au sommet. Les apprentis, les compagnons et les maîtres, ne sont pas admis dans les ateliers supérieurs, c’est à dire dans les loges des hauts grades que l’on appelle chapitres ou aéropages, mais seulement dans les ateliers inférieurs dits «loges bleues». Par contre, les affiliés des hauts grades, formant les chapitres (18ème grade) et les aéropages (30ème grade), ces chevaliers Rose-Croix et ces chevaliers Kadosch participent obligatoirement aux travaux des loges bleues, et se mêlent ainsi à leurs frères des premiers grades, dont ils inspirent, guident ou surveillent les activités…(en toute « discrétion » si ce n’est plutôt sous le sceau du secret, distinguant et sélectionnant les âmes).

Source : « La Franc-Maçonnerie pour les Nuls » (blague !)

Source : « Lectures Françaises » n° 288 (1981) d’Henri Coston.

« Des loges maçonniques sont établies partout dans le monde pour nous aider à atteindre notre indépendance. Ces porcs, les maçons non juifs, ne comprendront jamais l’objet final de la maçonnerie. »

La fumée de Satan s’est emparée des Templiers auxquels le Pape Innocent II avait donné l’Entière Confiance de l’Eglise Catholique dans sa Bulle Pontificale : Omne datum optimum.

C’est le Roi de France Philippe le Bel qui mettra un point final au règne sans partage des Templiers apostats, pétris de Kabbale, tandis que déjà, à l’époque, les sectes de la synagogue de Satan rôdaient autour du Pape.

Beaucoup de Jésuites se laisseront également séduire par la Kabbale juive.

Les Colporteurs en France de cette Kabbale furent les Protestants, répétiteurs directs des Hérésies des Templiers avant d’être les adorateurs de Luther et de Calvin.

C’est pourquoi Louis XIV chassa tous les protestants de France : « Le 18 octobre 1685, par l’Édit de Fontainebleau, Louis XIV révoque l’Édit de Nantes. Désormais les protestants n’ont plus le droit de pratiquer leur culte (mais les récalcitrants ne sont pas tenus de se convertir). Les temples protestants sont démolis. Les cérémonies du cultes et les directions spirituelles des éventuels pratiquants sont rendues impossibles puisque les pasteurs protestants doivent quitter rapidement la France sous peine d’être envoyés au bagne des galères. »

En continuité de l’Action de son Grand-Père, Louis XV mettra également un point final à l’ordre des Jésuites dans son Edit Royal de novembre 1764 :

« Le Parlement déclare finalement que leur ordre « nuit à l’ordre civil, viole la loi naturelle, détruit la religion et la moralité, corrompt la jeunesse » et la Compagnie de Jésus est bannie de France. Ses collèges sont fermés les uns après les autres. Cependant les Jésuites peuvent résider en France comme ‘fidèles sujets du Roi’ et exercer leur ministère sous l’autorité des évêques locaux. »

Et en 1773, le pape Clément XIV supprime la Compagnie dans le monde entier, une décision fortement soutenue par les grandes puissances européennes.

L’erreur, et pire, les erreurs n’ont AUCUNE PLACE dans une Nation Catholique. C’est pourquoi nous détruirons la franc-maçonnerie qui est la porte d’entrée de la Synagogue de Satan pour pouvoir pénétrer dans le Divin et le Sacré. Synagogue de Satan qui n’a jamais cessé son travail de sape contre l’Eglise de Notre Seigneur Jésus-Christ et employé Tous les Moyens pour éloigner la Créature de son Créateur.

Henri Coston : La conjuration des Illuminés

« L’ordre des Illuminés de Bavière n’a duré, officiellement, que quelque dix ans. Pourtant, de toutes les sociétés secrètes à tendance politique, aucune n’a eu, et n’a encore, de plus grande influence.
C’est ainsi que son organisation a inspiré toutes les associations occultes contemporaines et postérieures, notamment la Carboneria et le Mouvement Synarchiste d’Empire. Cette influence est due au fait que l’Ordre s’inscrit dans la filiation de Fraternités qui l’avaient précédé, et dont ses dirigeants ont su réaliser une synthèse idéologique et structurale parfaitement adaptée à leurs objectifs.
Ces Fraternités, que je n’hésite pas à qualifier de subversives, sont : la Fraternité de la Rose-Croix et la Franc-Maçonnerie. La qualification de subversive ne manquera pas de surprendre : je la justifierai. »

Henry Coston – PDF

La finance juive et les Trusts
Ceux qui tirent les ficelles
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L’Argent et la Politique
La « trahison » de Vichy 1940
Le livre noir de l’épuration
Le Front Populaire instrument des juifs
Infiltrations ennemies dans l’Eglise
Dictionnaire de la politique française
Comment on devient député et comment on le reste

Henri Georges Coston, dit Henry Coston né à Paris le 20 décembre 1910 et mort à Caen (Calvados) le 26 juillet 2001, est un journaliste, éditeur et publiciste militant français.


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