Un regard critique sur le projet « White Islam » (WhIsE)
Avec le projet « White Islam : A New Religion for Europeans » (WhIsE) financé par l’Union européenne, ce que beaucoup soupçonnaient depuis longtemps devient définitivement visible :
Sous le couvert de la recherche, on travaille activement à une nouvelle religion politiquement compatible – une « nouvelle identité » pour les peuples déracinés d’Europe.
Ce qui est présenté sur la page officielle du projet comme une « analyse de la critique conservatrice du libéralisme » se révèle être une charge idéologique contre les fondements culturels et religieux de l’Europe.
La migration comme détonateur – l’identité comme objectif
Depuis des années, l’Europe est déstabilisée par une migration de masse.
Officiellement vendue comme un « devoir humanitaire », cette vague migratoire sert en réalité à diviser les sociétés traditionnelles, à affaiblir les identités nationales et à attiser les conflits sociaux.
Conséquence : la peur, l’insécurité et le sentiment que ce qui a fait ses preuves ne porte plus.
C’est précisément dans ce chaos artificiel que le projet WhIsE intervient :
Il n’examine pas de manière neutre, mais plutôt en faveur, comment les valeurs islamiques pourraient être établies comme alternative aux traditions chrétiennes et libérales de l’Europe, présentées comme « dépassées ».
Une nouvelle religion pour les Européens déracinés ?
L’accent est mis sur le mouvement Murabitun, un groupe de convertis occidentaux qui promeut un mode de vie islamique antilibéral.
WhIsE montre ouvertement son intérêt pour l’étude de ce mouvement en tant que modèle d’une nouvelle « base éthique » pour l’Europe – et donc indirectement pour le développement d’une nouvelle religion de substitution conforme au système.
Il ne s’agit plus de faire coexister les religions, mais de remplacer activement les anciennes valeurs européennes par une nouvelle forme de croyance utilisable idéologiquement.
L’islam n’est pas seulement accepté comme une religion étrangère, il est instrumentalisé.
Le christianisme et la laïcité sont dévalorisés comme des vestiges dépassés.
Ce qui reste, c’est un « moi européen » déraciné et redéfini, compatible avec les plans d’un ordre mondial.
Dangereuse minimisation des concepts autoritaires
Le projet évite toute distance critique vis-à-vis du mouvement Mourabitoune, qui défend en réalité des idéaux théocratiques et anti-occidentaux.
L’interrogation et l’analyse de leurs écrits ne servent pas à mettre en garde, mais à légitimer cette idéologie de manière subliminale.
Celui qui étudie de manière non critique l’autoritarisme religieux sous de nouveaux habits favorise en fin de compte son acceptation sociale.
Le prix à payer pour l’avenir de l’Europe
WhIsE n’est pas une étude d’érudit inoffensive.
C’est une pièce de mosaïque dans un puzzle bien plus grand :
D’abord, l’ordre social est déstabilisé,
ensuite, on crée un vide artificiel,
et enfin, on propose une nouvelle identité contrôlable.
Une identité qui ne construit plus rien sur les anciens fondements qui se sont développés culturellement – mais qui les remplace entièrement pour former une masse conforme et facile à diriger.
Conclusion :
L’« Islam blanc » est le symbole d’un gigantesque projet de rééducation sociale qui, sous la bannière de la tolérance et de la diversité, sape le cœur de l’Europe.
Ceux qui croient encore qu’il s’agit d’une simple « recherche » se trompent sur la dynamique :
On travaille ici activement au déracinement, à la rééducation et au reformatage de l’Europe – financés par l’argent des contribuables.
L’attaque contre l’identité européenne ne se fait plus en cachette. Elle est institutionnalisée depuis longtemps.
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DON : paypal (laurent-blancy@neuf.fr)
RELIGION CATHOLIQUE TRADITIONNELLE : SEULE RELIGION DES MIRACLES – IL N’Y A AUCUN MIRACLE DANS LES AUTRES CROYANCES : TOUS CEUX QUI ONT VU LA SAINTE VIERGE COMME SAINTE BERNADETTE ONT LEUR CORPS COMPLETEMENT INTACT PLUSIEURS SIECLES APRES LEUR MORT. AU VIIIe S, L’HOSTIE DE LANCIANO SE TRANSFORME EN CHAIR RESTEE INTACT 12 SIECLES PLUS TARD.