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Liste d’arguments évolutionnistes démontés un par un par Dédarwinisez-vous

Voici une liste non exhaustive d’arguments évolutionnistes. Nous allons tenter de les démonter un par un, de montrer que ces faits (quand ils sont vrais) sont tout à fait cohérents avec la théorie créationniste.

• Tout le vivant montre une unité fondamentale dans les mécanismes de réplication, héritabilité, catalyse, métabolisme.
=# cela ne prouve rien du tout. Dieu a tout créé avec une économie de moyens et utilise des mécanismes similaires pour tous les êtres vivants. Dieu créé les choses parfaites, si un système est parfait il est inutile voir impossible d’en créer un autre.

• L’hypothèse de descendance commune prédit un modèle de hiérarchies imbriquées, autrement dit de groupes au sein d’autres groupes. Nous voyons effectivement un tel arrangement au sein d’une hiérarchie unique, cohérente, bien définie : l’arbre du vivant.
=# une homologie n’implique pas une descendance. Ce n’est pas parce que des êtres se ressemblent qu’ils ont un ancêtre en commun. Par ailleurs le modèle créationniste admet par exemple que toutes les espèces de chiens (loups inclus) descendent d’un même type primordial. L’église a toujours défendu le monogénisme pour l’espèce humaine alors que différentes races existent.

• Différents éléments de preuve donnent la même disposition de l’arbre du vivant. Nous obtenons essentiellement les mêmes résultats si nous considérons les traits morphologiques,biochimiques ou génétiques.
#= une homologie ne prouve pas une descendance commune. Dieu a créé des êtres se ressemblant plus ou moins et certaines races descendent bien d’un même type primordial.

• Les animaux fossiles s’inscrivent dans le même arbre du vivant. On trouve plusieurs cas de formes de transition nette dans les archives fossiles.
=# on trouve en réalité très peu de fossiles pouvant être interprétés comme des fossiles de transition. Le statut de forme de transition est tout à fait discutable car les caractères de ces formes sont tout à fait fonctionnels, ils ne sont pas en train de se transformer. On n’a jamais observé un fossile avec un aile en train d’apparaître, avec une écaille en train de se transformer en plume etc.

• Les fossiles apparaissent dans un ordre chronologique, montrant des transformationscompatibles avec une origine commune sur des centaines de millions d’années et incompatibles avec une création soudaine.
=#C‘est faux. Les fossiles sont par contre tout à fait compatibles avec l’hypothèse d’un déluge universel. L’ordre dans lequel nous retrouvons les fossiles n’est pas un ordre chronologique mais est fonction du milieu de vie des espèces lors de leur fossilisation pendant le déluge. Les couches basses correspond d aux êtres vivants dans les fonds marins au moment du déluge et on remonte petit à petit vers les terres et les hautes terres. De très nombreux sites fossiles sont inexpliquables selon les théories évolutionnistes, comme par exemple des sites avec des milliers de fossiles les uns sur les autres.

• De nombreux organismes montrent des caractères vestigaux rudimentaires, comme des yeux sans vision associée ou des ailes ne permettant pas le vol.
=# il s’agit donc de perte de caractère, d’évolution régressive, ce qui n’est pas nié par le modèle créationniste. Ce qui pose problème ce sont les apparitions de caractères.

• Des atavismes se produisent parfois. Un atavisme est la réapparition d’un caractère présent chez un lointain ancêtre, mais perdu dans les ancêtres immédiats de l’organisme. Nous ne voyons que des atavismes compatibles avec l’histoire évolutive des organismes.
=# Encore une fois, il s’agit donc de la perte de caractères qui peuvent réapparaître. Il n’y a donc pas production de nouveauté.

• L’ontogenèse (embryologie et biologie du développement) donne des informations sur l’histoire évolutive de l’organisme. Par exemple, les baleines et les embryons de serpents développent des membres postérieurs qui sont réabsorbés avant la naissance, l’expression ciblée et forcée de certains gènes (Hox notamment) entraîne le développement partiel ou total de membres ou structures inexistants chez l’organisme, mais rattachées sans équivoque à l’histoire évolutive de l’organisme (dents de type reptilien chez le poulet, pattes de type reptilien chez le serpent, etc.).
=# les poulets primordiaux possédaient peut être des dents qui ont disparu, il s’agit donc d’une perte de caractère. Pareil pour le serpent, par ailleurs la genèse précise que les serpents avaient des pattes au commencement…
Ce que l’on considère comme des organes vestigiaux qui se développent chez les embryons n’en sont pas forcément. On a longtemps soutenu que les embryons de mammifères développaient des branchies. Ceci est faux, il s’agit d’une structure ressemblant à des branchies mais n’ayant rien à voir avec cet organe.

• La répartition spatiale des espèces est conforme à leur histoire évolutive.
Par exemple, les marsupiaux sont principalement limités à l’Australie, et les exceptions sont expliquées par la dérive des continents (dont la théorie a permis confirmation). Les îles éloignées ont souvent des groupes d’espèces qui sont très différents dans les comportements et l’apparence générale, mais étroitement liés génétiquement. Cette cohérence est encore assurée lorsque la répartition des espèces fossiles est inclus.
=# cette observation est tout à fait en adéquation avec le modèle créationniste: repeuplement de la terre après le déluge et microévolution permettant à de nouvelles races d’apparaître au sein d’une espèce.

• L’évolution prédit que les nouvelles structures sont dérivées d’autres structures qui existaient déjà, et que la similitude dans les structures doit par conséquent refléter l’histoire de l’évolution plutôt que la fonction. Nous le constatons souvent. Par exemple, des mains humaines, des ailes de chauve-souris, les pattes des chevaux, les nageoires des baleines ont tous une structure osseuse similaire en dépit de leurs différentes fonctions.
=# cette observation est tout à fait en adéquation avec le modèle créationniste. Et encore une fois, une homologie ne prouve pas une ascendance commune.

• Le même principe s’applique à un niveau moléculaire. Les humains partagent un grand pourcentage de leurs gènes, probablement plus de 70 pour cent, avec une mouche de fruit ou un ver nématode.
=# une homogie n’implique pas une ascendance commune.

• Lorsque deux organismes développent la même fonction de manière indépendante, différentes structures sont souvent recrutées. Par exemple, les ailes des oiseaux, des chauves-souris, des ptérosaures et des insectes ont tous des structures différentes. Le vol plané a également été mis en œuvre de bien des façons différentes. Encore une fois, ceci s’applique également à un niveau moléculaire.
=# ceci ne prouve rien.

• Les contraintes de l’histoire évolutive conduisent parfois à des structures et des fonctions sous-optimales. Par exemple, la gorge et le système respiratoire humain, qui rend impossible de respirer et avaler en même temps et nous rend susceptibles d’étouffement.
=# argument évolutionniste très fréquent et complètement subjectif. Qui sommes-nous pour juger de cela? Était-il réellement possible de faire mieux? Par ailleurs, l’évolution est régressive, certains défauts existant aujourd’hui n’existaient pas au commencement.

• Cette suboptimalité apparaît également au niveau moléculaire. Par exemple, une large part de l’ADN est non fonctionnelle.
=# argument complètement faux plus la science progresse plus elle se rend compte que tout l’ADN est fonctionnel, notamment via les progrès en épigénétique. Le fameux junk DNA est un mythe. Ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas la fonction de quelque chose que cette chose est inutile.

• Certains éléments d’ADN non fonctionnel, comme certains transposons, pseudogènes, et tout virus endogène, montrent un mode de transmission indiquant la descendance commune.
=# c’est faux. Ces éléments ne sont pas non fonctionnels, plus la science progresse et plus elle découvre des fonctions à ces séquences qui ont peut-être toujours été présentés.

• La spéciation a été observée.
=# c’est faux. On n’ jamais observé l’apparition d’une nouvelle espèce, ni d’un nouveau caractère. L’espèce ne se limite pas à l’interfécondabilité.

• Les observations actuelles de l’évolution ; on voit se produire à des taux compatibles avec une origine commune des altérations génétiques héréditaires, des variations et changements morphologiques, des modifications fonctionnelles, la dérive génétique et la sélection naturelle.
=# microévolution.

En outre, les différentes sources de données sont compatibles et pointent tous vers le même schéma global. Par exemple, la mise en évidence de duplications de gènes dans le génome de la levure montre que sa capacité à fermenter le glucose a évolué il ya environ quatre-vingts millions d’années. Les indices fossiles indiquent que les fruits capables de fermenter se sont répandus à la même époque. Les indices génétiques de changement majeur à cette époque se retrouve également dans les plantes à fruits et mouches des fruits.
=# biais d’interprétation. On peut tout à fait conclure au créationnisme à partir de ces éléments.

De la même façon, la paléoparasitologie permet de reconstituer, à travers l’analyse génétique des différentes variétés d’un même agent parasite des hommes, les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; l’analyse génétique de différents haplogroupes humains dans diverses localisations permet de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; les données archéologiques permettent de reconstituer les mouvements des populations humaines à travers la préhistoire ; ces différentes reconstitutions indépendantes donnent des résultats très proches les uns des autres.
=# microévolution. L’église a toujours défendu le fait que tous les humains dérivent d’un même couple donc ces données sont tout à fait conformes au modèle créationniste.

Leocatho.

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