Site icon Pro Fide Catholica

Agnus Dei : Dieu gâte uniquement la religion catholique (traditionnelle), par Laurent Glauzy

VOUS N’ENTENDREZ CE CHANT MAGNIFIQUE – LORSQUE LES CATHOLIQUES LES MAINS JOINTES VONT RECEVOIR TÊTE BAISSÉE ET RECUEILLIE LA COMMUNION DANS LA BOUCHE ET A GENOUX – QUE DANS L’ÉGLISE TRADITIONNELLE (EX. SAINT NICOLAS DU CHARDONNET). L’EGLISE MODERNE A SUPPRIME CE CHANT, CAR CETTE ALCÔVE SATANIQUE, PROTESTANTE ET MACONNIQUE EST FAITE POUR DÉTRUIRE LA FOI.

 

Dans l’Église Traditionnelle, le chant de L’Agnus Dei est récitée au cours de la messe juste avant la communion. La pratique de ce chant dans le rite romain remonterait au VIIe siècle. Le document le plus ancien de ce texte est le Pontifical romano-germanique du Xe siècle qui contient l’ordinaire de la messe de l’Église romaine.

À la fin du XIIe siècle, Lotario Conti, aussitôt pape Innocent III, mentionnait dans son commentaire de la messe le nom de Serge Ier. D’après Lotario Conti, ce prédécesseur pontifical ordonna que l’Agnus Dei soit chanté par le clergé ainsi que par les fidèles. De surcroît, le futur pape précisait que le chant était exécuté tantôt trois fois selon le texte miserere nobis auprès d’un certain nombre d’établissements y compris au Latran, mais que tantôt les fidèles chantaient déjà le troisième verset avec dona nobis pacem.

La hauteur d’âme de ce chant montre encore que l’Eglise Traditionnelle, et par ses miracles, est celle qui élève l’âme, a contrario de l’église moderne dont la messe, non valide, a été fondée par le franc-maçon, criminel du réseau Rampolla, le « Père » Annibale Bugnini. Vous n’entendrez jamais pareil chant dans les croyances gnostiques, qui derrière la lune et le soleil, et autres apparats mensongers, vénèrent satan.

Il n’est pas une seule pièce constituant l’Eglise Traditionnelle, qui par sa beauté, ne montre son appartenance à Dieu. C’est pourquoi elle est la seule religion attaquée par le camp adverse. L’Agnus Dei témoigne de la profondeur de l’église traditionnelle catholique, la seule menant l’âme au ciel.

Quitter la version mobile