Site icon Pro Fide Catholica

L’Ours Russe place les Turcs sous la statue de Catherine II de Russie qui les a écrasé 11 fois.

Erdogan s’est rendu en Russie pour NEGOCIER.

N E G O C I E R ! ! !

 

Le “projet” pour la Syrie de Bachar Al Assad ayant été de la réduire à néant et de “chasser son dictateur” ou de le tuer.

Erdogan n’a pas encore bien compris que les Cartes ont été redessinées par Vladimir Poutine.

Je ne poste pas une vidéo dans laquelle l’on voit des Djihadistes dans l’armée d’Erdogan tuer des syriens sur Idlib, les égorger et jouer avec leurs têtes.

La RUSSIE est en EUROPE. Europe dans laquelle Erdogan veut déverser tous les gens qu’il ne veut pas après avoir fait détruire leurs villages en Syrie, et assassiner leurs proches car “Qui ne dit Mot, Consent”.

Vladimir Poutine lui explique donc comment redevenir Raisonnable.

Car dans les Troupes d’Erdogan sur Idlib se sont introduits des Terroristes, des Djihadistes qui détruisent les maisons des Syriens pour les repousser de leurs Terres afin de s’approprier le territoire de cette partie de la Syrie qui bénéficierait à …………………………ERDOGAN !!!

Et la Russie de Poutine élimine les “Terroristes”, les “Djihadistes” dans les Troupes d’Erdogan qui tuent, pillent et repoussent les Syriens loin de chez eux.

 

Et désormais, Erdogan jette les déportés Syriens vers les Frontières Grecques.

 

Le Temps : https://t.co/XrBlaH5pMD?amp=1

A Moscou, la reculade de Recep Tayyip Erdogan

SYRIE

La Turquie et la Russie proclament un cessez-le-feu à Idlib, dans le nord de la Syrie. Un accord qui sonne comme une défaite pour Ankara.

Après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, l’ONG Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a fait état d’un calme «relatif» dans la province d’Idleb, marqué notamment par un arrêt des frappes aériennes russes et syriennes.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a émis l’espoir que cet accord de cessez-le-feu mène à «une cessation des hostilités immédiate et durable», tandis que le Conseil de sécurité a prévu une réunion vendredi à partir de 18 h suisses, à la demande de la Russie.

Il aura fallu près de six heures de discussions, dont trois heures de tête-à-tête. Recevant à Moscou le président turc, Recep Tayyip Erdogan, Vladimir Poutine a finalement pu annoncer un accord sur la Syrie. Les armes, ont assuré les deux hommes, devaient se taire dans la région d’Idlib, dans le nord du pays, à partir de jeudi minuit. Au-delà de ce cessez-le-feu, les positions détaillées par la suite par leurs ministres restaient particulièrement vagues. Elles semblaient, faute de mieux, se centrer sur l’établissement de «patrouilles communes» censées maintenir le calme le long d’une autoroute, la M4, qui coupe en deux la province syrienne.

Au nord de cet axe: la Turquie et les milices syriennes qu’elle contrôle. Au sud: les forces loyales au président Bachar el-Assad, les Russes et les Iraniens. Malgré sa démonstration de force de ces derniers jours, et malgré des succès militaires réels accomplis principalement grâce à des attaques de drones, la Turquie recule et se trouve en position défensive. Elle obtiendrait certes, si l’accord venait à tenir, une espèce de «zone protégée» qu’Ankara appelait depuis longtemps de ses vœux. Mais cet espace est actuellement peuplé d’un million de réfugiés syriens qui, selon cet accord, n’auraient pratiquement plus la moindre chance de retourner dans leurs foyers, désormais reconquis par un régime syrien qui a tout fait pour les en déloger.

Bombardements en Syrie

En parallèle de ces très longues discussions, qui se concluent par une sorte de capitulation turque, les combats s’étaient poursuivis tout au long de la journée de jeudi, notamment autour de l’importante ville de Saraqeb, qui est à présent détenue par l’armée syrienne et ses alliés. Au moins 15 personnes, dont plusieurs enfants, ont été tuées lors du bombardement de la petite ville de Maarat Masrin par l’aviation russe.

Auparavant, Erdogan avait reçu un semblant de soutien tardif de la part des Etats-Unis, le secrétaire d’Etat, Mike Pompeo, appelant Bachar el-Assad à retirer ses troupes en deçà des lignes qui prévalaient avant l’offensive lancée ces dernières semaines. Pompeo avait affirmé le «plein droit» de la Turquie à se défendre et affirmé que les Etats-Unis «évaluaient» la possibilité de procurer de nouveaux armements à Ankara.

Cet accord s’est conclu en l’absence des Syriens à Moscou, bien qu’il ait suscité, ensuite, une certaine satisfaction de la part d’analystes proches du régime de Damas. Au-delà du sort d’Idlib, et de ses centaines de milliers de réfugiés, la Turquie entend aussi conserver d’autres zones en Syrie, plus à l’est, occupées par l’armée turque lors d’opérations militaires précédentes et destinées principalement à empêcher l’établissement d’un «territoire kurde» continu à sa frontière.

Adversaires en Libye

Alors que la Turquie et la Russie n’étaient pas loin, ces dernières semaines, d’un affrontement direct, les deux pays continuent d’entretenir des relations pour le moins compliquées, puisqu’ils ont conclu des accords commerciaux (à propos notamment d’un gazoduc destiné au sud de l’Europe) et militaires (l’achat par la Turquie de missiles russes). Moscou et Ankara restent néanmoins adversaires en Libye, où ils participent dans des camps opposés à cette autre guerre qui, progressivement, prend les allures d’une extension du conflit syrien.

*****

Afin de montrer à Erdogan qu’il n’existe AUCUNE VICTOIRE TURQUE POSSIBLE, Vladimir Poutine présente à Erdogan et à sa Délégation l’Impératrice Catherine II que Voltaire aimait tant pour lui avoir fabriqué un chariot avec Roue pour écraser les ottomans” !

Voltaire appelait L’Impératrice : “Ma Cath”. !

Catherine II, pourtant Amie des “Lumières” sera une contre-Révolutionnaire acharnée.

Catherine II, Impératrice de Toutes les Russies :

https://www.histoire-pour-tous.fr/biographies/3800-catherine-ii-de-russie-1729-1796-biographie.html

 

 

 

Et les Turcs qui connaissent l’Histoire sont Conscients que Face à la Russie, il ne feraient pas de vieux Os :

 

Poutine les a placé devant la statue de la reine Katarina, qui a battu les Ottomans 11 fois. Le message est clair, les petits-enfants ottomans sont-ils en ligne” ?

 

Le message de Poutine adressé à Erdogan a été très clair :

“Soit tu signes un cessez-le-feu, soit tu assumes d’être défait car l’armée Russe a pour ordre d’aider la Syrie à exterminer les terroristes cachés à Idlib”

Erdogan a signé.

Quitter la version mobile