Site icon Pro Fide Catholica

L’ex patronne du parquet financier, Eliane Houlette, dévoile « l’Affaire Fillon ».

Des magouilles, depuis la création de la 1ère  république maçonnique, il y en a des sacs remplis.

Pour écarter François Fillon qui aurait été élu Président, l' »ON » a demandé à Eliane Houlette, alors Patronne du Parquet Financier, d’intervenir contre l’ancien premier ministre, candidat à l’ élection présidentielle de 2018.

Il fallait à tout prix que le Roitelet Zélé soit élu. Pour cela il a fallu « tuer » François Fillon. Ils l’ont fait en demandant à Eliane Houlette de lui flanquer la Morale « Liberté », Egalité » et « Fraternité » notions abstraites des loges si chères à la république maçonnique qui en a fait des Médailles.

C’est ce que nous appelons : LES VALEURS DE LA REPUBLIQUE.


 

Affaire Fillon : Eliane Houlette, l’ex-patronne du parquet financier, révèle des « pressions ».

Eliane Houlette, la patronne du Parquet national financier (PNF) de 2014 à 2019, pointe l’attitude de sa hiérarchie.

Les révélations d’une magistrate jettent la suspicion sur le traitement du dossier Fillon. Entendue le 10 juin par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les « obstacles à l’indépendance du pouvoir judiciaire », présidée par le député Ugo Bernalicis (LFI), Éliane Houlette, la patronne du Parquet national financier (PNF) de 2014 à 2019, dit avoir subi des « pressions ».

On m’engageait à changer de voie procédurale

Usant d’une liberté de ton qui dénote pour un magistrat, Éliane Houlette, première à occuper ce poste de procureur national financier créé à la suite de l’affaire Cahuzac, pointe notamment un « contrôle très étroit » du parquet général sur ce dossier hautement sensible d’emplois fictifs mettant en cause l’ancien Premier ministre, alors candidat de la droite pour l’élection présidentielle, et son épouse Penelope (*).

 

 

Lors d’une réunion organisée le 15 février 2017 au parquet général à Paris, Éliane Houlette se serait, notamment, vue presser d’ouvrir une information judiciaire contre François Fillon, relate Le Point. « J’ai été convoquée au parquet général […]. On m’engageait à changer de voie procédurale, c’est-à-dire à ouvrir une information judiciaire. J’ai reçu une dépêche du procureur général en ce sens », révèle-t-elle aujourd’hui.

Cela pose la question de l’instrumentalisation

Après avoir résisté et évoqué la nécessité d’avoir plus d’« éléments », Éliane Houlette finit par ouvrir cette fameuse information judiciaire le 24 février 2017, mais le parquet général s’oppose à ce qu’elle justifie également la procédure par la réforme de la prescription pénale, alors examinée au Parlement, ce qui pouvait jouer en faveur de François Fillon, selon Le Figaro.

La magistrate décrit également des demandes incessantes et très précises de remontée d’information sur l’avancée des investigations. Une enquête menée par le Parquet national financier jusqu’à la mise en examen qui contribuera, au passage, à torpiller en mars 2017 la candidature de François Fillon. Eliane Houlette quittera, elle, son poste deux ans après, sans pouvoir choisir son successeur, regrette-t-elle.

À qui remontaient les notes ?

Des magistrats, témoignant anonymement dans les colonnes du Point, évoquent, eux, au contraire, le manque de coopération du Parquet national financier. « Quoi que l’on pense des faits reprochés par la justice à M. Fillon, il est incontestable que cette affaire pose la question de l’instrumentalisation de la justice et des liens parquet-pouvoir », a réagi jeudi Olivier Marleix (LR), vice-président de la commission d’enquête, cité par Le Figaro. « À qui remontaient les notes demandées par la procureure générale de Paris ? »

Les députés Les Républicains de la commission demandent désormais l’audition de Catherine Champrenaut, la procureure générale visée, afin qu’elle puisse « s’expliquer ».

MIDI LIBRE : https://www.midilibre.fr/2020/06/19/fillon-une-magistrate-denonce-des-pressions,8939154.php

*****

C’est à dire que si Eliane Houlette a subit des pressions pour faire perdre François Fillon, l’élection de notre Roitelet Préféré est NULLE ET NON AVENUE.

 

Notre Roitelet, ne sachant trop que faire, saisit pour AVIS le Conseil Supérieur de la Magistrature……………………………………dont le syndicat avait magistralement dressé :

UN MUR DES CONS !

 

 

Ce n’est qu’un énième Scandale républicain dont les enfants de la république sont coutumiers.

Et ce n’est, effectivement, que la partie émergée de l’iceberg.

Quitter la version mobile