Sous le titre, Turkey Is Preparing A New Law – Amnesty For Rapists & Pedophiles (La Turquie prépare une nouvelle loi – Amnistie pour les violeurs et les pédophiles), The Eurasian Times du 30 janvier 2020, donne une autre image de la Turquie que celle produite par les journaux conventionnels, servant à préserver le Tigre du Bosphore pour le faire entrer un jour dans l’Europe.
Demandons-nous à ce propos, si dans ce pays des Dönme, ne s’agit-il pas en fait de mettre en application la loi du Talmud, dont l’Islam serait une émanation, comme le suggère par exemple, Harry Freedman dans The Talmud – A Biography (2014) et tant d’autres encore à l’instar de Hanna Zacharias. Pour sa part, la linguiste anciennement musulmane Leila Qadr parle du Coran comme d’un livre ayant connu plusieurs traductions constituant des strates. On est très loin de la légende du prophète.
Dans ce contexte scientifique, linguistique et historique, l’actualité de la Turquie permet donc d’ouvrir plusieurs volets dans un même débat, celui de la Turquie et de la pédophilie.
The Eurasian Times écrit :
« Le Parti conservateur de la justice et du développement de Turquie, dirigé par Recep Tayyip Erdogan, a lancé une deuxième campagne pour introduire une loi qui accorde l’amnistie aux violeurs, du moment qu’ils épousent leur victime. La législation, qui a été proposée pour la première fois par le Parlement le 16 janvier, imposerait aux hommes des peines avec sursis pour des délits sexuels sur des enfants si les deux parties se marient et que la différence d’âge entre elles est inférieure à 10 ans. Les partis de l’opposition et les organisations de défense des droits des femmes ont dénoncé le projet de loi et déclaré qu’il s’agissait d’une manière de légitimer le mariage des enfants et le viol dans un pays. Le Parti de la justice et du développement du président Erdogan a déclaré que le projet était prévu pour traiter le problème répandu du mariage des enfants en Turquie. Les Nations Unies ont averti que la loi légitime le viol d’enfants et conduirait les agresseurs à agir en toute impunité, laissant les victimes encore plus vulnérables. Les députés de l’opposition ont également condamné le projet de loi, avertissant qu’une telle loi conduirait à contraindre les filles à se marier contre leur gré et encouragerait les abus. Le Parti démocratique du peuple (HDP) exhorte le gouvernement à retirer la proposition. Un projet de loi similaire a été présenté au parlement turc en 2016, mais il a été retiré après avoir suscité l’indignation mondiale. La proposition controversée se serait appliquée aux cas de viol statutaire sans recours à «la force, à la menace ou à toute autre restriction du consentement» impliquant des filles âgées de 15 ans ou moins. Le président turc est considéré comme un opposant au principe selon lequel les femmes et les hommes devraient avoir des positions égales dans la société. Il qualifie l’idée d’égalité des sexes de «contraire à la nature». Le dirigeant turc est connu, en particulier, pour avoir appelé les femmes du pays à ne pas travailler, mais à avoir au moins trois enfants. «Une femme qui refuse de devenir mère parce qu’elle travaille nie sa nature féminine», avait un jour déclaré Erdogan. » Quel bon musulman ce Erdogan, grand adepte du double langage.
Nous le constatons, cette Turquie musulmane que l’on flatte en Europe n’est pas celle décrite par cet article.
Un autre fait pourrait compléter cet article de The Eurasia Times :
Joris Demmink, Secrétaire général de la Justice néerlandaise, fréquentait Le festival Bar, bordel néerlandais pour pédérastres. Un de ses proches, le « Néerlandais » Frits Salomonson, avocat personnel jusqu’en 1996 de la reine Beatrix, et amant de son mari, le prince Claus, se rendait aussi dans cet endroit de dépravation sataniste. Or, Demmink s’est rendu officiellement en Turquie en 1996, comme secrétaire aux Affaires internationales du ministère néerlandais. Il fait partie du Comité européen pour la question kurde. La presse a aussi découvert qu’il séjournait dans le Bosphore de 1997 à 2003, et qu’il utilisait plusieurs passeports avec trois pseudonymes. Des agents des douanes ont bien déclaré que Demmink a bien séjourné en Turquie durant ces années, en tant que touriste. Quant aux journalistes turcs, ils ont révélé que Demmink avait beaucoup voyagé dans le monde entier pour satisfaire son hobby de dépravé, et que sa piste avait été retrouvée dans plusieurs hauts-lieux de la pédérastie comme Le Pinocchio bar, à Prague. (…) En Turquie, une des victimes, qui a tenté de porter plainte contre Demmink, a été menacée et passée à tabac par le chef des services secrets, Emin Arslan (qui connaissait bien Demmink). (Cf. Laurent Glauzy, Pédosatanisme et franc-maçonnerie).
La question qui reste à poser est de savoir si la Turquie pourrait constituer une terre d’asile pour les pédosatanistes de haut niveau ? Un pédosataniste entretenant par ces activités des comptes bancaires off-shores, et se faisant passer pour un nationaliste, un prétendu adversaire de la franc-maçonnerie (un idéaliste bon ton!), serait-il couvert par Ankara ? Les gens ne sont pas toujours ce que l’on croit ! Bien entendu, ces gens communiqueraient notamment entre eux par des notes de musique…
En tout cas, cet article de The Eurasian Times pourrait cacher une réalité bien plus profonde sur cette terre d’Islam.
