Les élections ne sont qu’une pantalonnade, un trucage où les bulletins sont « recompter » si nécessaire dans les préfectures. C’est un témoignage que j’ai entendu de personnes ayant occupé des postes dans l’administration. La « démocratie » est le jeu imposé par les puissants après une révolution. L’histoire se fait par ce biais et non par les urnes.
Reprenons cette tirade à dessein de Coluche : « Si les élections étaient utiles, ça fait longtemps qu’elles seraient interdites ».
Et, si par surprise, un candidat réellement anti-système passe entre les mailles du filet, il est assassiné. C’est le cas de Haider en Autriche. En 1890, le maire resté un siècle après sa mort le plus populaire de Vienne, Karl Lueger, pourtant élu par le peuple, ne fut pas adoubé par l’empereur François –Joseph. Les Rothschild faisaient pression sur Vienne par le truchement notamment de spéculations sur les places boursières. Il fallut que ses électeurs descendent dans la rue pour imposer le droit des urnes. Rothschild reculait.
La prochaine élection américaine du 3 novembre n’est pas comme les autres. Donald Trump a déballé sur la place publique les scandales liés au pédosatanisme. Son débatteur Joe Biden resta sans réponse. Trump s’attaque aux Chemtrails (dont la dénonciation coûtèrent la vie du chanteur de pop Prince), aux vaccins et au mensonge du Coronarivus, alors que tous les politiciens, y compris ceux présentés comme nationalistes se taisent sur tous ces sujets essentiels.
L’enjeu du Coronavirus est le « grand resset », c’est-à-dire une refonte de l’économie mondiale imposée par une tiers-mondisation de l’occident, un retour à l’âge de pierre pour faire disparaître les pays de culture chrétienne au bénéfice de nations communistes et athées. Il est d’ailleurs estimé que les mesures du Coronavirus mettront 600.000 Allemands au chômage pour le seul mois de novembre 2020. En revanche, le PIB du géant asiatique a progressé de 3,2 % au deuxième trimestre 2020 par rapport à la même période de l’an dernier. On voit à qui profite le crime. C’est l’exacte réalisation du scénario du film « 2012 » : les Etats-Unis devaient disparaître. C’était notamment le plan du Council on Foreign Relations, groupe d’influence fondé en 1921 par Rockefeller. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les mondialistes poussaient de plus en plus à l’émergence de la Chine (par de faux bilans économiques pour attirer les investisseurs), de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique du Sud et de la Russie. Il était prévu aussi que ces nations soient contrôlées par des mondialistes. Mais le Brésil de Bolsonaro et l’Inde du BJP, parti nationaliste et conservateur du premier-ministre Modi dérogeaient aux ambitions des mondialistes. Les Etats-Unis devaient couler : Clinton et Obama vendaient même des secrets liés à l’armement et à l’industrie au profit de la Chine et de la Russie. Les Illuminati travaillaient donc et depuis longtemps à l’émergence de nouvelles puissances. Moscou devaient même remplacer New York, et sur le plan culturel et sur le plan économique. Et, nous pouvons penser que l’Allemagne, jadis premier exportateur mondial, laissait agir les espions industriels chinois dans ses entreprises. Ses découvertes étaient copiées par Pékin.
La pseudo-ouverture vers l’Ouest des anciennes nations communistes, guidées par la cinquième Perestroïka constituait l’étape finale des mondialistes : le communisme mondial. Nous le constatons, la cinquième perestroïka, comme les quatre précédentes, avait pour but de berner l’occident. La première pérestroïka s’appuyait sur la Nouvelle Politique Agricole de Lénine pour obtenir des subventions de l’Ouest. L’histoire témoigne que cette ouverture n’était qu’une apparence.
La première élection de Trump perturber ces plans, déjà mis en péril dans une moindre mesure par une Inde conservatrice et par le Brésil de Bolsanéro. Trump apporte donc le coup de Grâce de la première puissance mondiale. Une semaine après l’élection de Bolsonaro, les mondialistes tentèrent même d’embraser l’Amazonie par le système Haarp (mais l’humidité à 80% ne permet pas qu’un feu prenne sur plus de deux mètres). C’est dire le désespoir et l’acharnement des héritiers de Weishaupt.
Trump est le seul président à ne pas avoir déclenché de conflit. Bien au contraire. Les Etats-Unis ont renoué avec la Corée du Nord de Kim Jong-un et il a relancé l’économie nationale. L’économie américaine ne s’est jamais aussi bien portée depuis un demi-siècle.
Tous ces signes extérieurs démontrent que Trump mène une lutte à mort contre le camp des mondialistes qui avaient pour but de transformer nos pays en nations du tiers-monde.
Trump n’attendra pas le résultat du 3 novembre. Celui-ci devrait être positif. Mais, par une incroyable surprise, si ce n’était pas le cas, son équipe constituée du Général Flynn, soutenue par Mgr Vigano, ne se soumettra pas à la décision du peuple. Nous assistons à une révolution de droite qui a déjà pris le contrôle de l’administration américaine. Même, au prix d’un coup d’Etat, Trump, soutenu par l’armée, restera. Il est à ajouter que Trump joue sa vie et celle de sa famille. Il ne peux plus reculer !
Les mondialistes et les révolutionnaires de gauche, qui respectent les élections quand elles leur sont favorables, avaient prévu que celles du 3 octobre 2020, seraient les dernières avant la mise en place du Nouvel Ordre Mondial : 3x11x2020 = 66660