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L’OMS et les Etats-Unis ne veulent pas de passeport vaccinal. La Suisse met fin aux négociations sur ses relations avec l’Union européenne.

Ils sont Obligé de reculer face à la pression populaire des internautes sur les Réseaux Sociaux qui votent CONTRE à toute tentative de dictature.


Article du 4 Mai 2021

L’OMS a déconseillé l’utilisation d’un passeport vaccinal. La Maison-Blanche a assuré aux américain qu’ils n’auraient pas à montrer de passeport vaccinal pour voyager…

Alors que l’Union Européenne planche sur un passeport vaccinal au mépris de la représentativité démocratique, le Secrétaire en charge de la presse à la Maison-Blanche, Jen Psaki a assuré début avril que le gouvernement américain n’émettrait pas de passeport vaccinal a rapporté Bloomberg.

« Le gouvernement ne le fait pas aujourd’hui et ne soutiendra pas une procédure qui exige de porter sur soi des preuves (NDLR : de vaccination). Il n’y aura pas de base de données fédérale ou de mandat fédéral exigeant chacun d’obtenir une preuve de vaccination » a déclaré Jen Psaki à des reporters. Il a assuré que l’administration voulait protéger la vie privée des américains et ne voulait pas que les passeports vaccinaux soient utilisés contre les gens…

Cette déclaration a été faite alors que de nombreux états sont opposés au passeport vaccinal dont le Texas.  Le gouverneur du Texas a notamment fait passer une loin interdisant aux entreprises d’exiger une preuve de vaccination.

L’Union Européenne penche du côté de la Chine avec le passeport vaccinal

Au contraire la Chine comme l’Union Européenne semblent pencher pour un passeport vaccinal au mépris des règles de libre-circulation. Un passeport qui serait de plus discriminatoire alors que toute la population ne peut pas ou ne veut pas être vaccinée. Ce passeport pose par ailleurs de multiples questions quant à la vie privée et aux données de santé.

L’OMS s’oppose au passeport vaccinal

L’Organisation Mondiale de la Santé s’est également opposée à cette idée de passeport vaccinal. Elle a indiqué « ne pas être favorable » au passeport vaccinal pour les voyages internationaux.

Les experts de l’OMS recommandent de « ne pas exiger de preuve de vaccination comme condition d’entrée » et ceci sur des critères scientifiques.

L’OMS rappelle « que les preuves sont limitées concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission et étant donné l’inégalité persistante en matière de distribution des vaccins ».

« Les Etats parties sont vivement encouragés à reconnaître que l’exigence d’une preuve de vaccination peut aggraver les inégalités et favoriser une liberté de circulation différenciée » rappelle l’OMS dans son communiqué d’avril suite à la réunion de son 7ème comité sur le Covid-19.

 Pas de pass sanitaire  et des vaccins recommandés pour les plus de 65 ans uniquement pour la grippe

Bizarrement un pass sanitaire n’a jamais été exigé pour la grippe qui tue pourtant des milliers de personnes, un virus qui est pourtant de la famille des coronavirus comme le Sars-Cov-2.

Les vaccins contre la grippe ciblent d’ailleurs depuis toujours les personnes susceptibles d’avoir une grippe sévère ou dangereuse soit les plus de 65 ans. D’autant que comme le Sars-Cov-2 le virus mute beaucoup ce qui nécessiterait de vacciner chaque année l’ensemble de la population : une aberration.

92% des décédés du Covid ont toujours plus de 65 ans

Or justement le Covid-19, tue toujours et quasi exclusivement les plus de 65 ans et les décès sont de plus très souvent associés à des comorbidités. Ainsi selon les chiffres publiés en avril, 92% des décès depuis le mois de mars 2020 sont des personnes âgées de plus de 65 ans (tableau 12 page 46 du rapport Santé Publique Covid-19 n°61 du 29/04/2021).

Pourquoi vacciner alors l’ensemble de la population ce qui n’a jamais été fait pour la grippe car les formes graves touchaient les plus de 65 ans? L’OMS recommande d’ailleurs de vacciner en priorité les groupes à haut risque définis par le Groupe stratégique consultatif d’experts sur la vaccination (SAGE).

Rappelons que les tests PCR ne sont pas non plus la panacée alors qu’ils ont été conçus au départ pour détecter des parties de gènes et non une infection. Il reste à prouver la contagiosité réelle des personnes testées positives alors qu’un résultat positif est un indicateur d’une potentielle contagiosité (mais qui n’est pas sûre).

Trouver des débris ARN de virus et être contagieux ce n’est pas du tout pareil surtout quand on sait le niveau de cycle d’amplification pratiqué.

Pourquoi ne pas adopter un seuil épidémique pour rétablir la libre-circulation entre pays de l’UE ?

A partir du moment où le taux de contamination sera inférieur à un danger pour la population comme lors de la première vague on ne voit pas pourquoi la libre-circulation des personnes en Europe ne pourrait pas être rétablie.

En France depuis 1985 et jusqu’en 2018 le seuil épidémique pour les virus respiratoires a constamment oscillé entre 150 et 200 cas pour 100000 habitants.

Durant l’été 2020, l’épidémie en France était bien en dessous des seuils épidémiques des virus respiratoires comme dans le reste de l’Union Européenne.

On ne voit pas donc à partir du moment où il n’y a pas de franchissement du seuil épidémique cet été pourquoi on obligerait des populations à utiliser un passeport vaccinal.

Comme l’a fait la Suisse une grande partie de l’an passé, il serait bien plus simple d’autoriser la libre-circulation en fonction de seuils épidémiques comme l’avait proposé initialement la Commission Européenne avec sa carte de l’European Center for Disease Prevention.

Business France Traveler : https://www.businesstravel.fr/l-oms-et-les-etats-unis-ne-veulent-pas-de-passeport-vaccinal.html


Aujourd’hui, 26 Mai 2021, Philippe Gosselin, Député “En Marche” annonce la Fin du Pass Sanitaire au 30 Septembre 2021 avec opposition à toute prorogation.

ET

La Suisse tourne le dos à l’Union européenne après des mois de négociations sur leurs relations

L’Union européenne et la Suisse négociaient depuis de longs mois pour homogénéiser le cadre juridique concernant la participation de la Suisse au marché unique de l’UE et mettre en place un mécanisme de règlement des différends. Les discussions achoppaient sur l’interprétation de la libre circulation des personnes et le droit du travail. La Suisse a annoncé ce jeudi 26 mai mettre un terme aux négociations.

La Suisse, après des mois de tergiversations, a mis un terme aux négociations sur ses relations avec l’Union européenne, a annoncé mercredi le gouvernement, qui risque ainsi de susciter le courroux de Bruxelles.

S’exprimant en conférence de presse, le président suisse Guy Parmelin a annoncé que la Confédération mettait un terme ​à ses négociations sur l’accord visant à homogénéiser le cadre juridique concernant la participation de la Suisse au marché unique de l’UE et instaurer un mécanisme de règlement des différends.

La principale pierre d’achoppement pour un accord entre l’Union européenne et la Suisse était l’interprétation divergente de la libre circulation des personnes.

L’UE et la Suisse négociaient depuis plusieurs mois pour homogénéiser le cadre juridique concernant la participation de la Suisse au marché unique de l’UE et instaurer un mécanisme de règlement des différends. Mais l’UE avait fait de la signature de l’accord institutionnel la condition préalable à la conclusion de tout nouvel accord bilatéral d’accès à son marché.

L’Union européenne « regrette » la décision suisse

Cette annonce fait suite au sommet à Bruxelles le 23 avril entre Guy Parmelin et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Les deux parties n’étaient alors pas parvenues à se rapprocher sur les points litigieux (salaires, libre-circulation des personnes et aides publiques).

Cet accord institutionnel aurait « apporté un changement fondamental dans les relations entre la Suisse et l’UE », nécessitant un « compromis important » en Suisse, a expliqué le ministre suisse des Affaires étrangères, Ignazio Cassis, lors de la même conférence de presse.

L’accord était réclamé depuis plus de dix ans par l’UE, mais les négociations n’ont commencé qu’en 2014. Plusieurs points continuaient de poser problème à Berne, mais Bruxelles refusait tout compromis supplémentaire depuis fin 2018.

« Nous regrettons cette décision, étant donné les progrès réalisés au cours des dernières années pour faire de l’accord-cadre institutionnel une réalité », a réagi la Commission européenne, dans un communiqué.

Enjeu économique

Le champ d’application de cet accord-cadre aurait été limité aux cinq accords d’accès au marché existants (libre circulation des personnes, transports terrestres, transport aérien, obstacles techniques au commerce et agriculture), ainsi qu’aux futurs accords d’accès au marché (par exemple dans le domaine de l’électricité).

Cet accord institutionnel est sensible pour la Suisse, car l’UE avait fait de sa signature la condition préalable à la conclusion de tout nouvel accord bilatéral d’accès à son marché.

L’enjeu est de taille pour la Suisse : l’Union européenne est le principal partenaire économique du pays alpin, qui gagne un franc sur trois par ses échanges commerciaux avec l’UE.

Mais les Suisses craignaient que ce texte ne nuise à la protection des salaires suisses, plus élevés que dans l’UE en raison du coût de la vie.

Libre circulation des personnes

Le Conseil fédéral suisse avait également demandé des clarifications sur deux autres points : les dispositions européennes relatives aux aides publiques, et la directive sur la libre circulation des citoyens qui pourrait in fine élargir l’accès des Européens aux prestations sociales suisses.

« Le point d’achoppement des différends avec l’UE est l’interprétation divergente de la libre circulation des personnes. Pour la Suisse, il s’agit essentiellement de la libre circulation des employés et de leur famille ; pour l’UE, il s’agit de la libre circulation de toutes les citoyennes et de tous les citoyens de l’Union européenne », avait expliqué M. Cassis fin avril.

Une reprise intégrale du droit de l’UE aurait entrainé « un changement de paradigme sur la politique de migration, […] de plus cela aurait des conséquences sur l’aide sociale », a-t-il encore déclaré mercredi.

En 2020, le pays alpin a écoulé dans l’UE pour 108 milliards de francs suisses (99 milliards d’euros) de biens et marchandises, selon les relevés de l’administration fédérale des douanes, soit 48,2 % du total de ses exportations.

La Suisse, qui s’appuie sur un puissant secteur pharmaceutique mais aussi sur une importante industrie, notamment dans la fabrication de machines-outils et équipements industriels, entretient des échanges étroits avec l’Allemagne, son plus gros débouché, mais aussi avec l’Italie et la France.

Le pays alpin dépend également fortement de l’UE pour ses approvisionnements, avec 120 milliards de francs de marchandises importées l’an passé, soit 66,3 % de ses importations.

Ouest France : https://www.ouest-france.fr/europe/suisse/la-suisse-met-fin-aux-negociations-sur-ses-relations-avec-l-union-europeenne-af32ea80-be2a-11eb-9275-98e4438bf9bf


La Tour de Babel à été construite pour être Détruite.

“Les Français ont subi un viol démocratique en 2008 pour leur imposer de force l’Union européenne !”

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