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Des bébés avortés transformés en vaccin Corona (Laurent Glauzy)

Cela ressemble à une de ces théories de conspiration qui circulent abondamment sur Internet. Des chercheurs de l’université de Pittsburgh auraient passé dix ans à prélever des tissus sur des bébés nés à terme et avortés peu avant leur naissance, dont certains étaient encore vivants, grâce à des fonds du National Institutes of Health (NIH) (Instituts américains de la santé), faisant partie des institutions gouvernementales américaines.

Cette révélation explosive n’est pas un fantasme, mais bien officielle et a fait l’objet de l’article allemand intitulé « Abgetriebene Babys zu Corona-Impfstoff verarbeitet » (Des bébés avortés transformés en vaccin Corona). C’est ce que révèlent des documents du ministère américain de la Santé, obtenus par Judicial Watch et le Center for Medical Progress à la suite d’une demande d’information et d’une action en justice.

Le talmudiste et l’ancien ministre de la Santé américain Anthony Fauci est en première ligne de l’affaire. Fauci fut depuis 1984 le directeur de l’Insitut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé.

252 pages documentent la manière dont l’Institut national de la Santé (NIH) du Dr Anthony Fauci a dépensé près de 3 millions de dollars pour effectuer des prélèvements sur des embryons avortés, pendant dix ans, des « tissus du foie, du cœur, des gonades, des jambes, du cerveau et du système génito-urinaire, y compris le rein, de l’uretère et de la vessie ».

Selon la demande de l’université de Pittsburgh, l’objectif est de disséquer au moins cinq fœtus par semaine, « de 6 à 42 semaines d’âge » (c’est-à-dire jusqu’au moment de la naissance). Les échantillons de tissus ont été prélevés sur le corps vivant, selon les documents.

Le projet Atlas GUDMAP [GenitoUrinary Development Molecular Anatomy Project] s’est déroulé en collaboration avec des cliniques du Planning familial (lobby pro-avortement financé par l’Union euiropéenne), des maternités et des pathologies, notamment à l’hôpital de l’université de Pittsburgh et de l’hôpital pour enfants de Pittsburgh. Les installations du laboratoire comprenaient une chambre de congélation.

Pour ce projet, l’Université de Pittsburgh a demandé 3,2 millions de dollars sur cinq ans au NIH depuis 2016, dont au moins 2,7 millions ont été dépensés.

En mars 2021, le tribunal fédéral a ordonné au ministère de la Santé de publier des informations plus complètes sur les prélèvements d’organes de fœtus avortés. Selon le tribunal fédéral, la question de savoir si les expériences ont violé les lois fédérales américaines sur la vente de parties de fœtus était ouverte.

En mai 2021, Judicial Watch a publié des documents de la Food and Drug Administration (FDA) américaine montrant que le ministère de la Santé a dépensé des milliers de dollars de l’argent des contribuables pour l’achat de tissus fœtaux provenant de la société californienne Advanced Bioscience Resources (ABR). Entre 2012 et 2018, ABR aurait reçu 96.370 dollars de la FDA pour créer des « souris humanisées » à partir de tissus fœtaux.

Advanced Bioscience Resources collabore avec les cliniques d’avortement du Planned Parenthood pour le prélèvement d’organes, selon le Center for Medical Progress, qui a documenté que des bébés nés et vivants ont été également éviscérés pour permettre ce trafic d’organes. Jon Dunn, employé de Planned Parenthood, a admis dans une vidéo avoir vu des bébés naître que l’on a laissé mourir.

De plus, de nombreux observateurs confessionnels ont déjà exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation de cellules fœtales pour la production de vaccins contre le Coronavirus comme AstraZeneca et Johnson & Johnson. La Bayerischer Rundfunk (télévision bavaroise) a confirmé les faits : « Des cellules embryonnaires sont utilisées dans la production de certains vaccins Covid 19. C’est le cas des vaccins Astrazeneca et de Johnson & Johnson. »

L’UE a versé 18,1 millions d’euros au lobby de l’avortement International Planned Parenthood Foundation depuis 2009. Joachim Kuhs, membre de la commission du budget de l’UE pour le parti nationaliste allemand, l’AfD, a déclaré : « On dirait un film d’horreur. L’UE utilise l’argent de nos contribuables pour soutenir des groupes qui font le commerce d’organes de bébés avortés. Les révélations de Judicial Watch semblent prouver exactement cela. Si cela est corroboré, l’UE doit cesser tout financement de Planned Parenthood. »

LE DEPUTE EUROPEEN JOACHIM KUHS DU PARTI NATIONALISTE AfD ALLEMAND A DENONCE CE TRAFFIC.

Le trafic d’organes est interdit en Allemagne par la loi sur la transplantation et est passible d’une peine d’emprisonnement de cinq ans.

Dans les pays où aucun autre vaccin n’est disponible, il est « moralement acceptable de recevoir des vaccins Covid-19 qui ont utilisé des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés dans leur développement et leur production ». L’utilisation autorisée de ces vaccins n’implique pas « une approbation morale de l’utilisation de lignées cellulaires dérivées de fœtus avortés », a déclaré le Vatican, un des hauts lieux du satanisme dans le monde. La vaccination, affirme cette autorité maçonnique, doit donc toujours être « volontaire », ajoutant : « D’un point de vue éthique, en tout état de cause, la moralité de la vaccination dépend non seulement du devoir de préserver sa propre santé, mais aussi du devoir de poursuivre le bien commun. En l’absence d’autres moyens pour arrêter ou prévenir l’épidémie, la vaccination peut être recommandée, surtout pour protéger les plus faibles et les plus vulnérables. Mais ceux qui, pour des raisons de conscience, rejettent les vaccins produits à partir de lignées cellulaires dérivées de fœtus avortés doivent s’efforcer d’éviter de devenir eux-mêmes porteurs de l’agent infectieux par d’autres moyens prophylactiques et un comportement approprié. »

Le pape François a approuvé la note.

Nous sommes dans ce cas de cannibalisme dans le schéma du film de « science-fiction », « Soleil vert », produit en 1973 et se déroulant en 2022 : pour survivre les rescapés d’une population décimée doit à son insu consommer des galettes composées de chair humaine.

Ce récit ressemble aussi à celui de Pepsi accusé d’avoir utilisé des embryons humains pour fabriquer des exhausteurs de goût (Cf. art. de L. Glauzy “Pepsi et le cannibalisme”) [https://profidecatholica.com/2019/10/18/pepsi-et-le-cannibalisme-par-laurent-glauzy/]

LES LIVRES DE LAURENT GLAUZY

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