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Un Allemand de 100 ans traduit devant un Tribunal pour “Crime Nazi” tandis que le Génocideur de Juifs George Soros continue sa route avec toutes les plus saintes bénédictions.

THE TIMES OF ISRAËL :

Gohmert, un Républicain texan qui n’est pas juif, a commencé à parler de Soros lors d’une discussion sur un sujet qui n’avait rien à voir, sur le réseau Fox Business. Lui et le présentateur, Stuart Varney, parlaient de Google et de George Orwell.

« Cela me fait aussi penser à un autre George, George Soros, parce que Google est né dans un pays libre et ils vont à l’étranger et oppressent d’autres personnes, aident à oppresser, dans d’autres pays », a déclaré Gohmert.

« George Soros est supposé être juif, mais on ne dirait pas avec tous les dégâts qu’il a infligés à Israël, et le fait qu’il s’en est pris à d’autres Juifs et qu’il a aidé à prendre les propriétés qu’ils possédaient ».

Soros, un soutien majeur des causes libérales, est devenu un bouc-émissaire de l’extrême droite. Les déclarations de Gohmert font écho aux accusations des critiques de Soros sur son financement des groupes de gauche et de défense des droits de l’homme en Israël, et à des allégations infondées selon lesquelles il a collaboré avec les nazis en tant qu’adolescent juif en Hongrie pendant la Shoah.

Soros, qui avait 13 ans en 1944, a survécu à la Shoah grâce à un officiel hongrois dont le travail comprenait aussi de faire l’inventaire des biens confisqués aux Juifs.

Soros a aussi servi pendant deux jours comme courrier pour le Judenrat jusqu’à ce que son père apprenne que son travail était de délivrer des avis de déportation aux Juifs. Ce récit vient d’un livre écrit par le père de Soros, qui a également noté que Soros prévenait les destinataires de ne pas se rendre à l’adresse indiquée.

Beaucoup des théories complotistes contre Soros proviennent d’une interview avec le programme télévisé « 60 minutes » au cours de laquelle le milliardaire a déclaré ne pas avoir ressenti de la culpabilité pour la passivité pleine de sang-froid parfois nécessaire chez un enfant qui espérait survivre au génocide.

George Soros, fondateur et président de l’Open Society Foundations, assiste à la réunion annuelle du Conseil européen des relations extérieures, à Paris, France, le 29 mai 2018. (François Mori/AP)

L’ADL a appelé Gohmet à retirer sa déclaration.

« Il est horrible qu’un élu en place ait propagé des conspirations ridicules sur Soros », a tweeté le groupe. Gohmert devrait immédiatement retirer ses propos. Cette rhétorique est courante dans les cercles d’extrême droite et perpétue l’antisémitisme ».

Gohmert en a rajouté sur sa déclaration dans une lettre adressée jeudi aux Fondations de la Société ouverte de Soros, écrivant que « toute personne avec le minimum d’empathie pour d’autres humains devrait regretter le rôle qu’il a eu pour aider les nazis ».

Varney n’a pas pas repris Gohmert en direct, mais il a ensuite publié un communiqué critiquant fermement l’élu, a annoncé NBC

« Lors de la dernière heure, un de nos invités, l’élu Louie Gohmert, pour une raison difficile à comprendre, a changé de propos pour évoquer George Soros et a fait des déclarations infondées et fausses contre lui, a écrit Varney. Je veux dire clairement que moi, ce programme ou quiconque chez Fox Business ne partageons pas ces positions ».

The Time of Israël : https://fr.timesofisrael.com/elu-republicain-george-soros-sen-est-pris-a-des-juifs/


George Soros avoue lui-même qu’il a aidé les Nazis à rassembler des Juifs pendant l’holocauste et s’en flatte !

Mettez la Traduction :

Lire l’Article complet : https://knowledgefight.com/lie-files/2017/3/18/george-soros-helped-the-nazis-round-up-jews-in-the-holocaust


Ni explications ni pardon. Le plus vieil accusé de crimes nazis, un centenaire dont le procès s’est ouvert jeudi en Allemagne, ne s’exprimera pas sur les faits qui lui sont reprochés, a indiqué son avocat lors de la première audience. « L’accusé ne s’exprimera pas » sur les faits « mais donnera des informations sur sa situation personnelle », a déclaré Stefan Waterkamp, avocat de Josef Schütz, ancien garde d’un camp de concentration et l’un des derniers anciens nazis jugés en Allemagne.

Comparaissant libre, M. Schütz est entré à l’aide d’un déambulateur dans la salle, cachant son visage des photographes d’une pochette cartonnée. Il a cependant répondu d’une voix claire au président du tribunal qui lui demandait de confirmer son identité et sa situation personnelle. L’homme vit dans le Brandebourg, région voisine de Berlin, est veuf depuis 1986 et a expliqué avec fierté qu’il allait « bientôt fêter (son) 101e anniversaire, le 16 novembre prochain ! ».

Cette première des 22 audiences prévues, terminée après seulement une heure en raison de son état de santé précaire, a été consacrée à la lecture d’une partie des 134 pages de l’acte d’accusation par le procureur, Cyrill Klement. Josef Schütz, ancien caporal-chef de la division « Totenkopf » (Tête de mort) des Waffen-SS, est poursuivi pour « complicité de meurtres » de 3 518 prisonniers lorsqu’il opérait dans le camp de concentration de Sachsenhausen, non loin de Berlin, entre 1942 et 1945.

« Un salaud qui refuse la possibilité de culpabilité »

L’accusé avait 21 ans au début des faits. Il est notamment soupçonné d’avoir fusillé des prisonniers soviétiques, « d’aide et de complicité de meurtres systématiques » par gaz de type Zyklon B et « par détention de prisonniers dans des conditions hostiles ». Entre son ouverture en 1936 et sa libération par les Soviétiques le 22 avril 1945, le camp de Sachsenhausen a vu passer quelque 200 000 prisonniers, principalement des opposants politiques, des Juifs et des homosexuels. Plusieurs dizaines de milliers d’entre eux périrent, victimes principalement d’épuisement dû au travail forcé et aux cruelles conditions de détention.

Sa volonté de ne pas s’exprimer sur les faits et notamment le refus d’un éventuel pardon a été accueilli froidement par les parties civiles. « Je suis ému. Cela fait 80 ans que j’ai perdu mon père et ce type est un sale mec, un salaud qui refuse la possibilité de culpabilité », s’est exclamé auprès de l’AFP Antoine Grumbach, 79 ans. Ce Français assiste à l’ouverture du procès en mémoire de son père, engagé dans la résistance gaulliste et assassiné en mars 1944 à Sachsenhausen.

L’avocat de 11 des 16 parties civiles, dont sept survivants, Thomas Walther, s’est voulu plus confiant : « Pour les plaignants, le fait qu’il se soit présenté à son procès est déjà un signe positif et (…) quelque chose peut arriver. Peut-être un tel homme arrivera-t-il à la conclusion avant sa dernière heure qu’il veut encore s’expliquer sur son passé ». Ce procès se déroule une semaine après celui avorté d’Irmgard Furchner, 96 ans, ancienne secrétaire d’un autre camp de concentration nazi. La lecture de l’acte d’accusation a été reportée au 19 octobre après une rocambolesque tentative de fuite de la nonagénaire.

Jusqu’à 3 ans de prison, en théorie…

Depuis dix ans, l’Allemagne a jugé et condamné quatre anciens SS en élargissant aux gardiens de camps et autres exécutants de la machinerie nazie le chef d’accusation de complicité de meurtre, illustrant la sévérité accrue, quoique jugée très tardive par les victimes, de sa justice. Ainsi Josef Schütz « n’est pas accusé d’avoir tiré sur quelqu’un en particulier, mais d’avoir contribué à ces actes par son travail de gardien et d’avoir été au courant que de tels meurtres avaient lieu dans les camps », explique la porte-parole du parquet de Neuruppin, Iris le Claire.

Théoriquement, il risque au minimum 3 ans de prison mais sa peine sera certainement symbolique vu son grand âge. Le procès se tient exceptionnellement dans un gymnase, près du domicile de l’accusé pour lui épargner de longs déplacements. « La fonction principale de ce procès est mémorielle », explique Guillaume Mouralis, directeur de recherche au CNRS et membre du Centre Marc Bloch à Berlin.

En juillet 2020, un tribunal avait infligé une peine de deux ans de prison avec sursis à un ex-gardien du camp de Stutthof, Bruno Dey, 93 ans. Huit autres dossiers d’anciens SS sont actuellement examinés par différents parquets allemands.

Le Parisien : https://www.leparisien.fr/faits-divers/allemagne-le-plus-vieil-accuse-de-crimes-nazis-ne-sexprimera-pas-sur-les-faits-07-10-2021-YT2KQIB725A77LQYPMDK4ILV4Q.php


“Vous sortez de la guerre civile par le Pardon, pas par le devoir de mémoire.”

Maître Damien Viguier.

Damien Viguier ne se “Fout d’aucune gueule”.

Il explique que ça ne finira pas Mal mais ABSOLUMENT TRES TRES TRES MAL.

François Mitterrand avait déjà prévenu : “Dans 100 ans aussi……”

La hiérarchie catholique à Saint-Jacques de Compostelle en 1937 aux côtés de l’Armée Espagnole du Généralissime Franco qui se battait contre l’hydre républicaine communiste qui voulait s’emparer de l’Espagne.

Le clergé Espagnol se battant au service de Franco contre la république communiste que l’Ennemi voulait implanter en Espagne comme il l’avait implantée en Russie en 1917 après avoir mis la France à Feu et à Sang en 1789.

Elisabeth II enfant avec la Reine Mère, son Père et sa petite soeur Margaret en 1933 :

Le Dernier Avertissement a été lancé par la Jeune Isabel Medina Peralta.

Qu’est-ce que les Gens n’ont pas encore compris ?

Alors que tout est clair et limpide : Ca ne finira pas Mal, ça finira Absolument très très Mal.


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