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Agression sexuelle, harcèlement… le calvaire des étudiantes en pharmacie.

Selon les résultats d’une enquête publiés ce mercredi par l’Association nationale des étudiants en pharmacie (Anepf), la moitié des futures pharmaciennes font état de harcèlement sexuel au cours de leurs études et un quart disent avoir subi une agression sexuelle.

« Les constats sont affligeants et déplorables », a déclaré ce mercredi le président de l’Anepf (l’Association nationale des étudiants en pharmacie), Numan Bahroun, lors d’une conférence de presse, affirmant sa « volonté de briser l’omerta ».

L’enquête, menée entre novembre et décembre 2021 auprès de 2 103 étudiants en pharmacie jette une lumière crue sur une filière imprégnée par les violences sexistes et sexuelles – qui touchent sans surprise deux fois plus les femmes que les hommes.

Plus d’une sur deux (55%) a ainsi déjà fait l’objet de remarques sexistes, de la part d’autres étudiants mais aussi de professeurs, par exemple sur la place des femmes « dans la cuisine », le recours à la pilule du lendemain ou à l’avortement.

Des messages déplacés, des caresses sur les cheveux…

Près de la moitié des étudiantes (48%) rapportent également des faits de harcèlement, souvent par d’autres potards mais aussi de la part d’enseignants, certains témoignages évoquant l’envoi de « messages déplacés » ou des « caresses sur les cheveux » pendant les cours.

Un climat vicié, propice au passage à l’acte : plus d’une sur quatre (27%) a subi des agressions sexuelles, principalement lors de soirées étudiantes.

« Cette banalisation des actes entre étudiants a été une surprise », a souligné Théo Vitrolles, porte-parole de l’Anepf, étonné aussi de retrouver un tiers d’étudiantes harcelées dans les officines, où « on ne s’attendait honnêtement pas à retrouver ce genre de violences ».

« Ces violences sont plus répandues dans le milieu de la santé »

Pas de stupéfaction en revanche à l’hôpital, où les résultats « choquants » (28% d’étudiantes harcelées) font écho aux conclusion « similaires » d’une enquête réalisée début 2020 par l’association des étudiants en médecine (Anemf).

Ce qui confirme que « ces violences sont plus répandues dans le milieu de la santé que dans les autres filières universitaires », a ajouté Théo Vitrolles, expliquant cette différence par le poids des « traditions » et un « effet de mimétisme » favorisé par un apprentissage « en vase clos ».

DNA : https://www.dna.fr/societe/2022/02/02/agression-sexuelle-harcelement-le-calvaire-des-etudiantes-en-pharmacie?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1643812845-1


Répétons-le encore une fois, le Rôle des femmes n’est pas d’être des Starlettes dans les labos ni Nulle part ailleurs.

Le Rôle de la Femme est d’être une Mère au Foyer qui élève ses enfants.

En appliquant les LOIS DE DIEU, telles qu’elles étaient du Temps des Rois, plus aucune femme ne sera agressée au travail du fait qu’elle s’affairera aux tâches du Foyer Paternel. Elle recevra un salaire mensuel pour s’occuper et élever ses enfants bien tranquillement dans son environnement paisible et sécurisé grâce au Père de famille.

Il faut se rappeler que s’est la Mise en place des femmes sur le marché du travail qui a créé LE CHÔMAGE que l’oligarchie voulait à tout prix mettre en place, au Nom de “L’EGALITE”, bien entendu.

Le CHÔMAGE étant un Marché Commercial à lui seul.

Le DIVORCE étant, lui aussi, une variable d’ajustement adulé par le CONSUMERISME.

Sans parler de l’AVORTEMENT qui est le pilier des femmes qui préfèrent leurs carrières professionnelles à l’Amour des enfants.

Il faut Défaire ce qui a été fait par l’Oligarchie dont le seul but est de faire Eclater les Sociétés et d’en tirer des profits.

Avec la femme revenue au Foyer, Adieu le CHÔMAGE, le MERCANTILISME qui va avec ainsi que les Jeunes Gens Isolés et désoeuvrés qui s’abandonnent dans les tourments ravageurs que leur offre cette société aux familles éclatées.

Avec la Femme revenue au Foyer, Adieu toute la panoplie “Eprouvette, PMA/GPA, Procréation In Vitro and Co, Conception de l’enfant hors de l’utérus …” de l’Oligarchie Sanguinaire Luciférienne.

Pour l’Heure présente, nous listons les Publicains qui ont oublié le Serment d’Hippocrate.


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