« Ces gens dont l’âme et la chair sont blessées ont une grandeur que n’auront jamais ceux qui portent leur vie en triomphe. »
« La Foi, c’est la Vie à sa plus Grande Intensité. »
Christian Bobin.
Celui qui ne sait pas QUI il est est déjà mur pour l’esclavage.
L’extermination des Vendéens Catholiques et Royalistes a n’a pas été le désir de quelques uns mais fut un SYSTEME parfaitement organisé pour Détruire l’Âme de la Gaule et de ses Peuples.
« Le vrai pouvoir agit et dirige toujours de manière invisible » : Johan Livernette.
Charlotte Corday, en assassinant Marat, n’a éliminé qu’un petit maillon du puissant maillage qui avait encerclé la France depuis les loges de Londres.
13 juillet 1793 : exécution de Marat par Charlotte Corday
« Adieu mon cher papa, je vous prie de vous réjouir de mon sort. N’oubliez pas ces vers de Corneille : « Le crime fait la honte et non pas l’échafaud » – Charlotte Corday quelques heures avant d’être guillotinée.
Qu’avait été Marat sinon un improvisateur solitaire, » un cerveau brûlé, un fou atrabilaire, ou bien sanguinaire, ou bien un scélérat soudoyé… « , comme ne cessaient de le crier, selon lui, les ennemis de la liberté, c’est-à-dire ses ennemis ? La soif, jamais satisfaite, de châtiment et de sang versé, l’exaltation de la mise à mort qui inspirèrent, dans les mois qui suivirent la mort de Marat, » la grande Terreur « , se passèrent aisément du prophète disparu. Ce que Charlotte Corday n’avait pas vu, n’avait pas su, c’est que, tuant Marat, elle ne faisait, obéissant à son devoir, que massacrer un symbole. Mais il nous faut regarder ce qu’elle a voulu, ce qu’elle a rêvé. Sa mission, son devoir ne pouvaient être de sauver la Révolution, ni même de mettre fin aux crimes qu’exaltait Marat. Ils étaient de punir le » monstre « , de » venger la France » et les Français. Elle l’avait dit fièrement, lors de son procès, répondant aux questions du président Montané : » Le président – Quels sont les motifs qui ont pu vous déterminer à une action aussi horrible ? L’accusée – Tous ses crimes. C’est lui qui entretient le feu de la guerre civile pour se faire nommer dictateur ou autre chose… Je savais qu’il pervertissait la France. J’ai tué un homme pour en sauver cent mille. Le président – Croyez-vous avoir tué tous les Marat ? L’accusée – Celui-ci mort, les autres auront peur… peut-être. » Charlotte Corday savait qu’elle n’avait pas assassiné tous les Marat, et elle ne pouvait être assurée que les » autres Marat » auraient peur. Seulement elle pensait avoir accompli son devoir, comme un héros antique. Elle est Judith, et elle a tranché la tête d’Holopherne. Elle a levé sur César le poignard de Brutus. Devant le Tribunal de Dieu, ou celui de l’histoire, ou celui de sa conscience, elle devait être la » meurtrière de la tyrannie « . Elle ne devait penser ni à ses souffrances ni aux souffrances de ceux qu’elle avait pu aimer. Elle avait « offert sa vie » , sûre d’avoir bien servi l’humanité.
C’est la république des loges Maçonniques, Organisatrice du Génocide Vendéen qui doit être TOTALEMENT DETRUITE.
14 juillet 1793, mort des suites de ses blessures au combat de Jacques Cathelineau dit le Saint de l’Anjou, généralissime de l’armée catholique et royale. « S’il nous faut mourir, que ce soit du moins en combattant les ennemis de Dieu et les nôtres. »
Les trois catégories d’individus dans les sociétés humaines :
