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Un Bâtard Turc séfarade sorti du rectum de Satan insulte et diffâme Dieu, la Très Sainte Vierge Marie Mère de Dieu et Saint Joseph.

Ceux qui ne comprennent pas pourquoi nous, Français Catholiques, dégagerons de France toute la boue allogène puante de la république maçonnique et Talmudiste, comprendont peut-être mieux avec les écrits du bâtard Metin Arditi.

Ce bâtard reprend trait pour trait les délires des rabbins contre Notre Seigneur et la Sainte Famille.

Interdire la Langue Française aux allogènes qui salissent et qui souillent la France Catholique en son Roi Jésus-Christ et les Français de Sang voués à Dieu sera une LOI que nous promulguerons dans la CONSTITUTION CATHOLIQUE dans laquelle les 10 Commandements de Dieu régiront la Société.

Les vomissures de ce vieux croûton anti-France contre la Sainte Famille lui vaudraient LA PEINE DE MORT en France Catholique.


Avec « Le bâtard de Nazareth », Metin Arditi révèle le courage du Christ

Dans son nouveau roman « Le bâtard de Nazareth », Metin Arditi réinterprète avec audace l’enfance et l’apostolat de Jésus-Christ. Grâce à une langue lumineuse et des chapitres limpides, la plume de l’auteur genevois offre un éclairage nouveau et universel.

Réécrire l’histoire de Jésus-Christ, une gageure? Pas pour Metin Arditi qui se plonge dans la vie de Jésus-Christ alors qu’il est en train de terminer l’écriture d’un autre roman. Une fiction dans laquelle l’écrivain souhaite raconter la manière dont les moniales d’un monastère grec autour des années 1950 reprennent possession de leur corps en acceptant de se faire photographier. « Comme toujours quand on fait des recherches, on ne tombe pas sur ce que l’on recherchait », partage avec malice l’écrivain à la RTS.

« Le bâtard » de Daniel Marguerat

Afin de comprendre le rapport entre le corps charnel et la foi, le romancier se lance dans la lecture des évangiles et des épîtres et y découvre des passages sublimes. Notamment dans la première épître aux Corinthiens de l’apôtre Paul, qui le subjugue. Puis, par hasard, il tombe sur un article écrit par l’historien et théologien lausannois Daniel Marguerat, un texte qui va lui faire « tilt ». Dans l’extrait, l’exégète suisse évoque un Jésus mamzer, « bâtard » en français. Et l’idée d’un Jésus conçu hors mariage, d’un Jésus bâtard, séduit alors notre écrivain.

Joseph savait à quoi s’attendre. Dans un mois, deux au plus, Marie ne pourrait plus cacher sa grossesse. Il n’y avait pas eu de noces, et chacun au village saurait qu’elle attendait un « mamzer ». Un bâtard.Extrait de « Le bâtard de Nazareth » de Metin Arditi

La couverture du roman « Le bâtard de Nazareth » de Metin Arditi. [Grasset]Des miracles réinventés

Parmi les grands épisodes de la vie de Jésus-Christ, Metin Arditi a choisi d’en adapter certains, un choix qui lui a semblé naturel: « Je me laissais guider par la plume. Il y avait malgré tout certains évènements avec lesquels je n’étais pas d’accord, tels qu’ils sont écrits dans les évangiles », confie-t-il avec audace.

Parmi eux, il y a la rencontre de Jésus enfant à Jérusalem, avec les docteurs de la Loi. Un moment-clé dans la vie du Christ étant donné qu’il impressionne la foule, à l’âge de douze ans. Les docteurs, éblouis par son charisme, sa révolte et ses idées novatrices lui feront un accueil favorable.

Dans la version d’Arditi, les paroles que Jésus profère à l’encontre des Lois n’obtiennent aucunement le retour positif escompté et il se fait chasser, avec Joseph et Marie, de Jérusalem.

Un Judas bienveillant

Autre exemple, les quarante jours dans le désert. Arditi transforme ces quarante jours en un tête-à-tête singulier entre Jésus et…. Judas! Un long mois durant lequel ce dernier tente de convaincre l’enfant de Marie d’agir en révolutionnaire et de se rendre devant les grands prêtres de Sanhédrin pour s’opposer aux lois d’exclusion des Juifs « bâtards ».

En effet, les deux hommes partagent la souffrance commune d’être traités comme des pestiférés, des mamzer. Un statut auquel ils ne peuvent pas se soustraire et qui les maudit sur dix générations. Attristé par la mort d’Elie, un jeune enfant lui aussi mamzer, Jésus décide de se présenter devant les prêtres pour plaider sa cause et celle de Judas. Après la crucifixion du Christ, Judas se révèle alors bien plus qu’un simple disciple et ami, peut-être son successeur…

RTS : https://www.rts.ch/info/culture/livres/13902789-avec-le-batard-de-nazareth-metin-arditi-revele-le-courage-du-christ.html


Voilà à QUI la république donne toute visibilité !

Que la Grâce de Dieu nous donne un Décret Hillard/Livernette/Benedetti pour nous débarrasser de pareilles engeances.

Ainsi soit-il.


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