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Les farines d’insecte : une première étape vers le cannibalisme.

B17 & VITAMINE C : A la lecture de cet article, traduction du site italien disinformazione.it, nous pouvons supposer pourquoi la vitamine B17 est introuvable en France, alors qu’elle est vantée par des oncologues allemands qui parlent même comme Ali Zayen de « chimiothérapie naturelle » et que nous allons vers une vraisemblable interdiction de la vitamine C. A titre personnel, j’ajoute que la B17 de qualité a fait disparaitre toute perturbation urinaire nocturne. (INFO : laurentglauzy1@gmail.com)

Le nouveau livre de Laurent Glauzy CES VITAMINES INTERDITES est devenu un instrument de résistance. La lecture du présent article démontre aussi que derrière ce projet, il s’agit de rendre l’humanité malade, de l’affaiblir génétiquement et de la plonger dans des troubles psychologiques. Lorsque cette première étape sera franchie et acceptée, nous passerons au cannibalisme qui comme Walt Disney l’affirmait est la quintescence du satanisme. Tout est décrit dans le film SOLEIL VERT tourné en 1973 (tiré du roman Make Room! Make Room! de science-fiction de Harry Harrisson publié aux Etats-Unis en 1966) mais se déroulant en 2023. En 1979, Jacques Attali a d’ailleurs écrit sur le cannibalisme pour soi-disant montrer son implantation culturelle dans des sociétés traditionnelles, intitulé de manière élogieuse L’ORDRE CANNIBALE, alors qu’il s’agit bien d’un désordre satanique. En octobre 2019, le scientifique suédois Magnus Söderlund, favorable au cannibalisme, a provoqué une controverse en questionnant les freins symboliques, économiques et sanitaires entourant le cannibalisme. Pour promouvoir les insectes et ensuite le cannibalisme, deux mensonges sont mis en avant : le réchauffement climatique démenti par John F. Clauser (prix Nobel de Physique en 2022) ; et la surpopulation (seulement 1% des terres sonhabités).

Les insectes destinés à l’alimentation humaine qui ont été approuvés par le gouvernement sous forme congelée, séchée ou en poudre sont au nombre de quatre :

Tenebrio molitor (mouche de la farine jaune) ;

Locusta migratoria (sauterelle) ;

Acheta domesticus (criquet) ;

Alphitobius diaperinus (petite mouche de la farine).

Ils apparaîtront dans la liste des ingrédients avec leur nom scientifique, par exemple : « farine partiellement dégraissée d’Acheta domesticus ».

Il est intéressant de noter que la loi italienne (n° 283 du 30 avril 1962, article 5 d) stipule qu' »il est interdit d’utiliser dans la préparation d’aliments ou de boissons, de vendre, de détenir en vue de la vente ou d’administrer à titre de gratification à ses employés, ou en tout cas de distribuer pour la consommation, des substances alimentaires qui sont : souillées, envahies par des parasites, en état d’altération ou en tout cas nuisibles »…

Le vrai problème, c’est l’EFSA
L’EFSA est l’Autorité européenne de sécurité des aliments, fondée en 2002.
Son travail consiste à analyser les dossiers soumis par les industries.
N’ayant pas de laboratoire propre, l’EFSA ne peut pas mener de recherches indépendantes, elle se base donc UNIQUEMENT sur les données officielles (souvent falsifiées) fournies par les industriels. Vous voyez où est le problème?

Les industries se cachent en effet derrière le « secret industriel ». Voici ce que dit le site de l’EFSA à ce sujet : « Le demandeur (c’est-à-dire l’industrie productrice d’insectes) a présenté à la Commission une demande de protection des données scientifiques exclusives pour un ensemble de données soumises à l’appui de la demande, à savoir : la description détaillée du processus de production, les résultats de l’analyse immédiate, les données analytiques sur les contaminants, les résultats des études de stabilité, les données analytiques sur les paramètres microbiologiques, les informations sur les ventes du nouvel aliment par la société, les résultats du test de solubilité du nouvel aliment pour l’étude de génotoxicité, les résultats des études de digestibilité des protéines et l’étude de cytotoxicité/toxicité cellulaire « .

Ainsi, les experts de l’EFSA, contraints de protéger le secret industriel, se bouchent le nez et autorisent la commercialisation du produit !

Quels sont les problèmes posés par les farines d’insectes ?
Tout d’abord, il faut savoir que 30% de la farine d’insectes est composée de l’intestin et de son contenu. Seuls les oiseaux et les reptiles ont un système digestif adapté à la digestion des insectes.
Les personnes qui utilisent ce type de malbouffe mangent donc l’intestin de l’insecte avec tout ce qu’il contient : caca et bactéries telles que Salmonella, Escherichia Coli, Campylobacter, etc.

Allergènes : Voyons ce que le Journal de l’EFSA rapporte sur les allergènes chez les arthropodes (et donc aussi chez les insectes) :

Prions, bactéries et mycotoxines
Les prions représentent un risque important. En effet, les insectes peuvent agir comme vecteurs de prions provenant de substrats dérivés de ruminants, ce qui peut constituer un risque pour les humains et les animaux domestiques !
Outre les prions, les insectes peuvent également transporter des bactéries telles que Enterobacteriaceae, Proteus, Escherichia coli, Pseudomonas, Salmonella, Staphylococci, Streptococci, Bacilli, Acinetobacter, Listeria monocytigenes

Sans parler des mycotoxines qui ne peuvent être dégradées par la température. Les mycosporides peuvent présenter des risques pour la santé des consommateurs.

Ainsi, les produits finis à base d’insectes peuvent être contaminés par des mycotoxines, telles que le déoxynivalénol, qui peuvent entraîner des dysfonctionnements gastro-intestinaux (vomissements, diarrhées, etc.), l’inhibition de la synthèse des protéines et des acides nucléiques, l’altération de la structure membranaire et du fonctionnement des mitochondries, l’apoptose, l’activation des cytokines et le dysfonctionnement du système hématopoïétique.

Il n’est pas rare que des échantillons de poussière ou d’insectes contiennent des levures et des moisissures à raison d’environ 10 000 unités par gramme. Des moisissures telles que ASPERGILLUS, PENICILLIUN, FUSARIUM, CLADOSPORIUM et FICOMICETI ont été détectées à la fois dans le tractus intestinal d’insectes frais et dans des insectes entiers séchés. Tous ces organismes produisent des mycotoxines…

Parasites
Vient ensuite l’énorme problème des parasites : les insectes peuvent être les intermédiaires d’agents pathogènes, notamment de ténias, de douves du foie et de nématodes, ainsi que de PROTOZOÏDES. Ce n’est pas un hasard si 30 % des insectes d’élevage contiennent des parasites particulièrement nocifs pour l’intestin et les poumons de l’homme.

Conclusion
Cette explication est suffisante pour comprendre que l’utilisation de farines d’insectes dans l’alimentation n’est pas une folie, mais un projet satanique précis ayant pour but d’affaiblir la génétique et de prédisposer l’homme à une énorme série de déséquilibres pathologiques.

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LA B17 INTERDITE EN FRANCE ET DEFENDUE PAR DES ONCOLOGUES ALLEMANDS (INFO : laurentglauzy1@gmail.com)

LES GEANTS ET L’ATLANTIDE – REVELATIONS DE L’ARCHEOLOGIE INTERDITE – 300 PAGES + 70 PAGES EN COULEUR – 30€ (existe en versions allemande et anglaise) (Info : laurentglauzy1@gmail.com)

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