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Ca y est ! une nouvelle technologie pour lire dans les pensées. Interdiction totale de prier.

Il y a une semaine, nous avons publié l’article ci-dessous sur la législation britannique qui voulait interdire de prier chez soi. Beaucoup, fort naïvement, par manque de recul, et présageant qu’ils étaient au courant des avancées technologiques, et surtout des technologies ultra-confidentielles, pensaient que c’était impossible. Le présent article expose que c’est faux, on peut bien lire dans les pensées et cette technologie antichristique va bientôt arrivée. Mais gageons que ce ne soit déjà le cas, et à notre insu. Donc ette loi visasnt à interdire de prier chez soi, préfigure d’une interdiction totale de prier.

La soif de données ne connaît pas de limites. L’historique de la localisation, le comportement du navigateur et les communications ne suffisent plus depuis longtemps à l’économie de la surveillance. Les entreprises technologiques ont désormais une nouvelle frontière en ligne de mire : votre corps – et votre esprit.
Une parabole sur la cupidité

Le mythe grec du roi Erysichthon pourrait être considéré comme une métaphore parfaite pour l’ère numérique actuelle. Erysichthon était si avide qu’il a abattu des arbres sacrés pour construire sa salle de réception – malgré les avertissements divins. En guise de punition, la déesse Déméter lui a infligé une faim insatiable. Plus il mangeait, plus il avait faim, jusqu’à ce qu’il finisse par dévorer son propre corps.

Tout comme Erysichthon, les entreprises technologiques actuelles sont poussées par une soif insatiable de données. Et maintenant, le corps humain est au centre de l’attention.
L’Internet des corps (IoB)

Le terme d’Internet des corps (IoB) vient de la RAND Corporation, un groupe de réflexion influent qui a influencé de nombreux développements technologiques depuis la Seconde Guerre mondiale – y compris les satellites, l’intelligence artificielle et maintenant les biocapteurs.

Un rapport de la RAND datant de 2020 prédisait un avenir rempli d’appareils médicaux connectés à Internet qui surveilleraient nos données de santé en temps réel. Définition : appareils contenant un logiciel et un traitement de données contiennent des logiciels et un traitement de données, sont connectés à Internet et peuvent collecter des données de santé ou biométriques, voire modifier des fonctions corporelles.

L’IoB collecte en permanence des données corporelles – à des fins d’analyse, de transmission à distance et d’intervention sur le comportement et la santé.

Exemples : les données de santé : Puces implantables contenant des données personnelles

Capteurs de santé portables pour le rythme cardiaque, le sommeil, les mouvements
Reconnaissance des émotions via l’analyse des expressions faciales et de la parole
Neurodispositifs stimulant ou surveillant le cerveau
Suivi de l’attention via l’activité cérébrale et les mouvements oculaires

Ce qui ressemble à de la science-fiction est depuis longtemps en cours de développement – et partiellement utilisé.
Dangers de l’IoB

Le rapport RAND mentionne certes des risques tels que des dysfonctionnements ou des attaques de pirates, mais passe sous silence des dangers centraux pour la santé : par exemple l’effet des champs électromagnétiques (CEM) ou des matériaux toxiques dans les appareils qui agissent directement dans le corps. Des études prouvent depuis longtemps les effets nocifs de tels rayonnements.

Les prétendus « avantages » de l’IoB – comme le suivi de la santé ou l’optimisation du style de vie – sont sans commune mesure avec les risques encourus.

Certains appareils médicaux – par exemple les stimulateurs cardiaques – fonctionnent en toute sécurité et sans connexion directe à Internet. Cela montre que : Nous n’avons pas besoin de la technologie IoB pour traiter les problèmes de santé.
Biosurveillance – insidieusement vers la normalité

De nombreux biocapteurs pourraient théoriquement fonctionner localement et hors ligne. Mais de plus en plus de produits tels que les montres intelligentes, les bagues de fitness ou les traqueurs de sommeil obligent désormais les utilisateurs à utiliser le cloud et à télécharger des données.

Les fonctions corporelles quotidiennes sont ainsi externalisées – comme si nous n’étions plus en mesure de réagir nous-mêmes à la faim, aux émotions ou à la fatigue. « Oups, j’ai eu une alerte poop. Mieux vaut aller aux toilettes. Oh non, mon taux de dépression atteint le niveau de base – il est temps de prendre une nouvelle dose de Soma ».

De tels scénarios sont anti-humains. Ils nous séparent de notre instrument de mesure le plus naturel : le corps lui-même.
Objectif : le contrôle – pas la santé

Selon Yuval Noah Harari (conseiller du WEF), l’IoB vise à « pirater » l’expérience humaine – par la surveillance des pensées, le feedback émotionnel, les interventions automatisées. « Imaginez la Corée du Nord dans 20 ans : Tout le monde porte un bracelet biométrique qui mesure en permanence la pression sanguine, le pouls et l’activité cérébrale. Vous écoutez le “Grand Leader”, applaudissez et souriez – mais si vous êtes intérieurement en colère, le lendemain matin, vous êtes au goulag ».

Comment Apple fait avancer l’IoB

Apple a annoncé en février 2025 une vaste étude Apple Health Study, qui collecte des données sur la santé et le corps via l’application Research – par le biais des iPhones, des Apple Watches et des AirPods.

Les données sont collectées : Activité, cardiovasculaire, sommeil, métabolisme

Menstruations, psychisme, respiration
Cognition, vieillissement, mobilité – et bien plus encore

Les participants doivent donner leur accord – mais 130 millions d’utilisateurs américains représentent un gigantesque réservoir de données.

Problème : Apple a un contrôle total sur ces données. Les directives de protection des données autorisent la transmission aux autorités, à la police, aux ministères de la santé – ou à « d’autres » si Apple le juge nécessaire.
Projets de santé secrets & surveillance du cerveau

Apple investit des milliards dans des projets de santé top secrets – dont un lecteur de glycémie non invasif qui fonctionne sans prise de sang. Des startups comme Rockley Photonics et TSMC sont financées pour développer des capteurs photoniques.

Plus inquiétant encore : de nouveaux AirPods pourraient bientôt mesurer les ondes cérébrales – avec des électrodes intégrées pour l’EEG, l’ECG et d’autres mesures. Un brevet Apple de 2023 décrit exactement cette technologie.
Lire dans les pensées n’est pas de la musique d’avenir

En février 2025, Meta (Facebook) a annoncé une percée : en collaboration avec un institut neurologique espagnol, Meta a entraîné une IA appelée Brain2Qwerty, capable de prédire des phrases entières à partir de données EEG – uniquement grâce aux ondes cérébrales.

Cette technologie est déjà en cours de développement pour des appareils portables. La pensée privée – le dernier rempart de la liberté humaine – devient techniquement vulnérable.

Quelle sera la prochaine étape ?

Apple prévoit d’investir 500 milliards de dollars au cours des quatre prochaines années dans des centres de données, des centres de contrôle de l’IA et des installations de production aux États-Unis – précisément pour ces technologies de surveillance.

L’ère de l’IoB est imminente. Et elle ne sera pas volontaire – elle sera vendue comme une tendance, un confort, un progrès.

Mais nous le savons aujourd’hui :
La biosurveillance est le premier pas vers une surveillance complète.
Conclusion : vous avez le choix

Ces technologies ne menacent pas seulement votre vie privée, mais votre humanité. Vos pensées. Votre liberté.

DON : paypal (laurent-blancy@neuf.fr); renseignement (laurentglauzy1@gmail.com)

RELIGION CATHOLIQUE TRADITIONNELLE : SEULE RELIGION DES MIRACLES – IL N’Y A AUCUN MIRACLE DANS LES AUTRES CROYANCES : TOUS CEUX QUI ONT VU LA SAINTE VIERGE COMME SAINTE BERNADETTE ONT LEUR CORPS COMPLETEMENT INTACT PLUSIEURS SIECLES APRES LEUR MORT. AU VIIIe S, L’HOSTIE DE LANCIANO SE TRANSFORME EN CHAIR RESTEE INTACTE 12 SIECLES PLUS TARD.

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