Il y a 30 ans (18 décembre 1994, des explorateurs dirigés par Jean-Marie Chauvet se sont aventurés dans une étroite fissure dans la paroi d’une falaise de la vallée de l’Ardèche, dans le sud de la France. Ce que lui et ses amis ont trouvé à l’intérieur a choqué le monde entier.
Sur les parois était peint le monde perdu de la France paléolithique. Lions, rhinocéros, mammouths vivent en images sur les parois de la grotte.
Les peintures sont magnifiques et d’une ancienneté inimaginable. La datation au radiocarbone prouve que nombre d’entre elles ont été réalisées il y a plusieurs milliers d’années. Ces dates et la beauté de l’art mettent fin à l’idée que les hommes du paléolithique étaient cognitivement primitifs. De plus aucun dessin d’art pariétal n’est à l’entrée d’une grotte, mais dans des endroits sombres et inaccessibles. Jean Clotte, phéhistorien ariégeois, disait que l’on serait incapables aujourd’hui de reproduire ces dessins. Nous découvrons également que les grottes ont une accoustiques parfaites.
TOUTES LES REPONSES SONT DANS LE LIVRE DE LAURENT GLAUZY : LES GEANTS ET L’ATLANTIDE – REVELATIONS DE L’ARCHEOLOGIE INTERDITE (300 pages + 70 pages en couleur) (existe en versions anglaise et allemande)
