L’ABOMINATION DE LA DÉSOLATION SÉVIT AU VATICAN! C’EST UNE CERTITUDE!

Nous osons espérer que nous n’apprendrons rien aux lecteurs amis de Pro Fide Catholica sur les scandales et apostasies perpétuées presque à longueurs de journées par le Vatican avec les encouragements de l’imposteur qui se sert de la renommée du siège de Saint-Pierre pour cela.

Mais nous ne pouvons encore une fois de plus ne pas rester insensibles, indignés et bouleversés sans vous faire partager la publication de “Life Site News” par les toutes dernières déclarations de Mariana Mazzucato établissant un lien positif de l’avortement avec le Bien-Commun tel qu’il est définit par Saint-Thomas-d’Acquin; tout cela , bien-sûr, avec l’agrément de François Bergoglio!

13/02/2024

UNE ATHÉE NOMMÉE AU VATICAN DÉCLARE QUE LES OBJECTIFS DE L’ONU EN FAVEUR DE L’AVORTEMENT DEVRAIENT CONSTITUER LA BASE DU “BIEN COMMUN”.

Mariana Mazzucato, membre de l’Académie pontificale pour la vie, a proposé un “cadre” redéfini pour le bien commun, s’alignant sur les objectifs de développement durable des Nations unies et faisant écho aux sentiments mondialistes exprimés par le prétendu “Pape-François”.

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) – Le membre controversé de l’Académie pontificale pour la vie, Mariana Mazzucato, a déclaré hier à l’académie que le “bien commun” de la société doit être basé sur les Objectifs de développement durable pro-avortement des Nations Unies et que l’enseignement du christianisme a contribué au “changement climatique”.

Les déclarations frappantes de Mme Mazzucato ont été faites le 12 février lors de sa présentation à l’assemblée annuelle de l’Académie pontificale pour la vie (PAV), dont elle est membre ordinaire depuis 2022. Lors d’un bref exposé sur le “bien commun”, Mme Mazzucato a présenté une vision du bien commun totalement dissociée des principes de la religion ou de la finalité surnaturelle de l’homme, tout en s’attaquant à l’enseignement du christianisme en termes d’impact perçu sur le climat.

Le “bien commun” défini par les objectifs de développement des Nations unies

Interrogée sur la manière dont la société devrait se mettre d’accord sur ce qu’est le bien commun, afin de construire le nouveau “cadre” proposé par Mme Mazzucato, elle a indiqué que les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies en constituaient la base.

“Commencez par les ODD”, a-t-elle déclaré. Le “principe de subsidiarité est essentiel”, a-t-elle ajouté, avant de poursuivre. “La première réponse à la question, ce sont les ODD, et nous devrions les prendre aussi au sérieux que la guerre”, lorsque de l’argent est gagné ou trouvé, a-t-elle déclaré.

En employant des thèmes et des mots tirés de l’enseignement social catholique, tels que le “bien commun” et la “subsidiarité”, Mazzucato a réorienté ces concepts d’une nouvelle manière, entièrement basée sur un fondement irréligieux et les principes de moralité établis par l’ONU.

Les ODD de l’ONU – comprenant 17 objectifs et 169 cibles – sont liés à l’Agenda 2030 et sont fondamentalement pro-contraception et pro-avortement. L’objectif #5.6 est celui de ” parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles “, et comprend l’objectif suivant : ” Garantir l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits en matière de procréation “, une phraséologie couramment utilisée pour faire référence à l’avortement et à la contraception.

Un tel soutien aux ODD n’est pas surprenant. Mme Mazzucato est favorable à l’avortement et a en outre fait partie du Comité des politiques de développement des Nations unies de 2019 à 2021. Son alignement sur de telles entités mondialistes fait partie de ses activités normales, puisqu’elle contribue régulièrement au Forum économique mondial (WEF).

En outre, Mme Mazzucato n’est pas la seule au Vatican à citer les ODD comme fondement d’une nouvelle structure mondiale. Ces dernières années, le pape François n’a cessé de promouvoir les ODD, appelant même les religions du monde à orienter leur travail vers la promotion des ODD.

François a également lancé sa propre initiative avec l’ONU et les entreprises mondialistes afin de promouvoir un nouveau “système économique” du capitalisme et d’assurer la réalisation des ODD. En effet, ses discours et ses écrits sur l’économie s’inspirent des travaux de Mazzucato.

Entre autres aspects, les partenariats du pape promeuvent des “modes de vie durables”, l'”égalité des sexes” et la “citoyenneté mondiale”, tandis que les ODD eux-mêmes promeuvent les “services de santé sexuelle et reproductive”. Le nouveau “Conseil pour un capitalisme inclusif avec le Vatican” s’engage fondamentalement à promouvoir des “mesures environnementales, sociales et de gouvernance” afin de “réaliser les objectifs de développement durable des Nations unies”.

Ces liens de plus en plus étroits avec les entreprises et les dirigeants mondialistes renforcent l’idée que le pape François s’aligne sur l’appel à une “grande remise à zéro”. Il a fait référence à un “bien commun supranational” et a déclaré qu'”il est nécessaire d’avoir une autorité spéciale légalement constituée capable de faciliter sa mise en œuvre”.

Le christianisme contribue-t-il au changement climatique ?

La dernière question posée par l’assemblée du PAV à la suite de l’intervention de M. Mazzucato était aussi surprenante que sa réponse l’était. “Le christianisme a-t-il contribué au changement climatique en prêchant notre supériorité sur les animaux ?

Mazzucato a répondu : “Je ne pense pas qu’il s’agisse uniquement du christianisme, je pense que globalement nous avons tout simplement échoué à mettre le bien commun au centre”, a-t-elle déclaré.

Celle qui se décrit comme athée a cité un atelier récent auquel elle a participé, aux côtés d’éminents politiciens internationaux, au cours duquel ils ont examiné “à quoi cela ressemblerait si non seulement les gens étaient présents à l’assemblée générale de l’ONU, mais aussi les rivières, les forêts, les plantes, les animaux !”

Ayant déjà noté que “toutes les crises sont interconnectées”, Mme Mazzucato a réitéré ses appels en faveur d’un “cadre différent” à l’échelle internationale, en se basant sur sa description du bien commun tel qu’il découle des objectifs du Millénaire pour le développement, qu’elle considère comme essentiels si la société souhaite “faire mieux”.

Saint Thomas sur le bien commun

Alors que les textes catholiques modernes sur le bien commun ont tendance à présenter le bien commun comme une forme irréligieuse de justice sociale – même tel qu’il est présenté dans le catéchisme moderne – la tradition de l’Église présente un enseignement différent.

Dans le De Regno, saint Thomas d’Aquin note que le bien commun de la société ne peut être dissocié de l’aspect surnaturel de la vie, ni le rejeter catégoriquement :

Il est cependant clair que la finalité d’une multitude rassemblée est de vivre vertueusement. En effet, les hommes forment un groupe dans le but de bien vivre ensemble, ce que l’homme isolé ne pourrait pas atteindre. Or, la vie bonne est une vie vertueuse ; la vie vertueuse est donc la fin pour laquelle les hommes se rassemblent… Or, par la vie vertueuse, l’homme est encore ordonné à une fin plus haute, qui consiste dans la jouissance de Dieu, comme nous l’avons dit plus haut. Par conséquent, puisque la société doit avoir la même fin que l’homme individuel, la fin ultime d’une multitude rassemblée n’est pas de vivre vertueusement, mais d’atteindre, par une vie vertueuse, la possession de Dieu.

Tant lors de la conférence de presse au Vatican que dans son propre discours à la PAV, les mots de Mme Mazzucato semblaient faire écho à ceux du pape François, le pape qui – comme elle l’a déclaré plus d’une fois hier – est pour elle une source d’inspiration. À leur tour, les mots de François suivent de près les sentiments exprimés par le grand mondialiste et fondateur du WEF, Klaus Schwab, dont la proposition de “grand redémarrage” anticatholique est étayée par un programme financier “vert”, puisqu’il mentionne le “retrait des subventions aux combustibles fossiles” et un nouveau système financier basé sur des “investissements” qui font progresser “l’égalité et la durabilité”, ainsi que la construction d’une “infrastructure urbaine ‘verte'”.

François a signalé son intimité avec Schwab en adressant un discours au WEF cinq fois en dix ans de pontificat et en autorisant une table ronde annuelle du Vatican lors de la conférence annuelle du WEF à Davos.

3 Commentaires

  • Très intéressant article qui permet une mise au point sur le sujet de l’avortement.

    Personnellement, je pense que l’avortement est un problème important qu’il ne faut pas résoudre par le tout ou rien binaire. Il y a trop de cas où la grossesse représente une catastrophe qui bouleverse négativement la vie personnelle. L’adolescente enceinte ou la femme violée sont des exemples. Ce qu’il faut, c’est autoriser l’avortement, après expertise, jusqu’à la douzième semaine de grossesse, à savoir la fin de l’embryogenèse où le petit homme en devenir n’est qu’un amas de cellules. Trois mois sont suffisants pour prendre la décision. Après trois mois, il s’agit d’un homicide.

  • BONJOUR , MERCI POUR CET ARTICLE RÉVÉLATEUR . NOUS SOMMES DANS L’ APOCALYPSE ANNONCÉ PAR SAINT-JEAN . PAR CONSÉQUENT LES DÉMONS LES SATANS ET AUTRES MONSTRUOSITÉS SE DÉCHAÎNENT SUR LA TERRE ET S’ INFILTRENT PARTOUT SURTOUT DANS LES MONDES SPIRITUELS CHRISTIQUE . ILS PRÔNENT LA DESTRUCTION SOUS TOUTE SES FORMES , ILS SÈMENT LA MORT ET LE DÉSESPOIR , ILS SONT LA MORT ! CEPENDANT , JUSTEMENT EUX , ILS SONT MORTS . ILS N’ ONT PAS D’ ÂMES , ILS SONT DAMNER , ILS LE SAVENT C’ EST POURQUOI ILS NOUS HAÏSSENT ET VEULENT NOUS ENTRAÎNER DANS LEUR ABÎME ! HEUREUX CELUI QUI CROÎT ET ESPÈRE DANS LA VIE CÉLESTE ÉTERNELLE CAR CELUI LÀ EST DÉJÀ SAUVÉ !!! AMEN ! AVEC TOUTES NOS AMITIÉS . MARIE-CHANTAL ET ROGER

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