Librairie de Pro Fide Catholica
Nouveau livre édité par Pro Fide Catholica : ROYALISME ET RECONQUETE, par Pierre-Philippe Blancher :
Qui, en tant que royaliste, ne s’est jamais posé la question de savoir pourquoi en ce début de XXIe siècle le royalisme n’est pas une force politique puissante au portes du pouvoir, ou tout simplement, pourquoi sommes-nous encore en république ?
Pour répondre à cette question, Pierre Philippe Blancher vous propose une analyse empirique sue l’évolution du royalisme en France depuis la IIIème république jusqu’à aujourd’hui. L’objectif étant de comprendre pourquoi le royalisme en France a périclité aussi lamentablement, et quelles sont les solutions possibles pour une reconquête efficace du Royaume des Lys.
L’objectif de cette analyse est de faire en sorte à ce qu’en l’an 2089, il n’y ait pas de tricentenaire de la révolution qui soit fêté en cette terre de France. Donnons-nous cet objectif de faire en sorte à ce que la république et son système idéologique soient évincés à jamais du pouvoir, avant cette date anniversaire ! En 1989, lors du bicentenaire, les écoles de la république recouvrirent cyniquement les têtes de nos enfants de bonnets phrygiens, à la gloire d’une idéologie qui n’a de esse de nous détruire, un plus chaque jour. Ne faisons pas subir cet affront vis-à-vis des générations futures qui connaîtrons l’année 2089. Faisons en sorte à ce que les enfants de cette génération arborent tous un Sacré-Cœur sur la poitrine, pour la plus grande gloire de Dieu, la France et le Roi !
MEURTRE PAR INJECTION de Eustace Mullins, préface de Laurent Glauzy – Edition Pro Fide Catholica
Ce remarquable ouvrage nous interpelle sur les réalités cachées d’une santé américaine en déclin.
Il faut comprendre que le système de santé américain est entre les mains des Rockefeller depuis plus d’un siècle, ayant réussi, à la manière de la mafia, à créer un monopole médical en infiltrant toutes les organisations fonctionnelles de la pharmacologie.
Tout d’abord, l’AMA American Medical association) est dirigée par deux sbires des Rockefeller, à savoir Simmons et Fishbein.
Rockefeller finance le New York Cancer Hospital qui devient l’ASFCC (American Society For the Control of Cancer). Notez bien le mot “Control” ! Tous les membres du conseil d’administration de l’ASFCC sont liés de près ou de loin à Rockefeller.
Eustace Mullins nous informe du danger des vaccins à ARN qui sont de véritables bombes à retardement et des campagnes mensongères contre la polio. de fait, l’auteur nous fait entrer dans l’ignominie des hommes du pouvoir, et expose le scandale du fluor ou du fluorure de sodium, issu de la fabrication de l’aluminium.
Ces pages nous apprennent également que la famille Rockefeller , William, le père de David, a vendu des bouteilles de pétrole Rock Oil ou Seneca Oil à prix d’or pour soi-disant lutter contre le cancer. David Rockefeller a toujours promu la révolution communiste (c’est lui qui versera personnellement quelques milliers de dollars à Léon Bronstein Trosky avant son départ en Russie… Rockefeller est un fervent soutien au système communiste, car c’est le monopole ultime de toutes les organisations qui gèrent un pays :le contrôle des écoles et particulièrement de médecine, l’énergie, la santé, l’argent avec le détournement astucieux de l’argent public qui octroie celui-ci à des consultants parasites, les fondations dont les dons ne servent jamais le bien commun.
Enfin,, ce livre est bourré de révélations portant sur les liens de la CIA, du trafic de drogue et de Big Pharma, sur les tests vaccinaux et médicamenteux effectués sur les soldats et dans les prisons. Il est à rappeler que les médecins de l’Allemagne national-socialiste jugés au procès de Nuremberg ont affirmé avoir copié sur les médecins américains qui ont pratiqué dés 1915 des expérimentations sur des prisonniers sans leur consentement ! Et, dans ce schéma mentionnons Louis Pasteur aussi, qui selon le Dr Ancelet, dans “Pour en finir avec Pasteur”, l’accuse d’expérimentations dans les prisons du Brésil. Tout comme aujourd’hui, le Pr Fourtillan accuse l’Institut Pasteur et certains ministre d’avoir créé le soi-disant Coronavirus dans un but de dépopulation par le vaccin. Meurtre par injection est donc d’une actualité criante.
Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial par Johan Livernette
L’objet de cette « synthèse du mouvement révolutionnaire mondial » est de saisir le « sens de l’histoire » en informant sur ses ressorts cachés, ses faits notables, ses dates importantes, ses acteurs majeurs et surtout le fil conducteur des diverses guerres et révolutions ayant jalonné ces derniers siècles.
S’instruire du passé permet ainsi de comprendre le présent et d’anticiper le futur, le mécanisme du mouvement révolutionnaire induisant une récurrence de l’histoire, laquelle ne cessant de tourner autour d’un même axe.
Cette étude historique veut dévoiler le rôle déterminant de la finance apatride aidée des arrières-loges de la franc-maçonnerie dans l’avancée des plans mondialistes. Occulter la conspiration diabolique de la “Synagogue de Satan” – selon l’expression de l’Apocalypse de Jean – équivaudrait à passer à côté du sujet… et de l’Histoire.
De cette accumulation de faits historiques complétée d’analyses doit se dégager une grille de lecture spirituelle tant le caractère antireligieux de cette révolution mondiale fut et reste omniprésent.
Nul doute que cette brochure historique profitera par la densité de ses informations et analyses à un large public, lui donnant ainsi des bases solides dans la compréhension des événements de ce monde.
Une loge maçonnique dirige le Vatican par Johan Livernette
Véritable réquisitoire de soixante ans d’Eglise post-conciliaire, ce livre passionnant établit le bilan de l’entreprise de destruction de l’Eglise romaine. Une diabolique conspiration des loges maçonniques dont les conséquences d’avèrent dramatiques pour les âmes.
Une loge maçonnique dirige le vatican démontre l’emprise de la franc-maçonnerie sur l’Eglise issue de Vatican II. Froidement et chirurgicalement, il passe au peigne fin le dernier concile oecuménique puis les différents chefs modernistes depuis la mort du pape Pie XII.
Après avoir terminé ce livre explosif, le lecteur ne regardera plus le Vatican et ses dirigeants actuels de la même manière. Il comprendra mieux la profonde crise humaine sévissant dans l’Eglise officielle à Rome.
Une loge maçonnique dirige le Vatican est le septième ouvrage de Johan Livernette.
La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture par Johan Livernette
Arrachez à la franc-maçonnerie le masque dont elle se couvre et faites-la voir telle qu’elle est », avait écrit le pape Léon XIII en 1884 dans son encyclique Humanum genus. À l’occasion du tricentenaire de la franc-maçonnerie, Johan Livernette a suivi cette recommandation à la lettre.
Démasquer la secte maçonnique sous tous ses aspects fut le cheval de bataille de cet auteur catholique engagé. L’action des sociétés secrètes étant décisive dans l’avancée du mondialisme, son étude s’inscrit dans la continuité de son précédent ouvrage Le complot contre Dieu.
Rigoureuse et structurée, elle se base sur une abondante documentation et des faits historiques irréfutables.
La franc-maçonnerie, 300 ans d’imposture est certainement l’un des livres les plus complets ayant été écrits sur le sujet.
Le complot contre Dieu par Johan Livernette
Le chrétien ne devra jamais perdre espoir en son salut ni dans le règne social de Jésus-Christ, et faire confiance en la providence comme le rappelait monseigneur Delassus : « Toujours Dieu est venu, d’une manière ou d’une autre, au secours des siens, au moment où ils désespéraient le plus de son intervention. »1 Cette espérance en des jours meilleurs, le pape Pie XII la traduisit si magnifiquement : « Et s’il peut sembler un moment que triomphent l’iniquité, le mensonge et la corruption, il vous suffira de faire silence quelques instants et de lever les yeux au ciel pour imaginer les légions de Jeanne d’Arc qui reviennent, bannières déployées, pour sauver la patrie et la foi. »
Même si à vue humaine, tout semble perdu, le croyant ne peut penser le monde que sur des bases purement terrestres car l’Histoire a démontré que Dieu faisait ce qu’Il voulait, quand Il le voulait et comme Il le désirait. Qu’Il intervenait à sa guise lorsqu’Il le jugeait nécessaire. Et ce même lorsque la partie semble terminée et perdue. Jacques-Bénigne Bossuet poussera le raisonnement jusqu’au bout en écrivant : « Quand Dieu veut faire voir qu’un ouvrage est tout entier de sa main, il réduit tout à l’impuissance et au désespoir, puis il agit. »2 L’action humaine est ainsi limitée. L’activisme sera une tentation. Et la providence, une nécessité.
Tout un chacun a souvent entendu parler d’unité, de vivre-ensemble, de réconciliation entre les hommes. Mais personne n’a précisé sur quels principes initiaux devaient reposer ces idées. Dans la république juive maçonnique, le vivre-ensemble est voué à l’échec. La preuve se vérifie par les faits. En revanche, le vivre-ensemble dans une nation unie par la chrétienté est parfaitement réalisable. Comme l’affirma autrefois le cardinal Pie, s’il doit y avoir une réconciliation, ce n’est pas de l’homme à l’homme qu’elle doit s’effectuer, sur le plan simplement terrestre et humain, mais entre la terre et le ciel, plus exactement de l’homme à Dieu. De la créature au Créateur. Un peu à la manière d’un fils ayant délaissé et déçu son père, et qui, revenant demander humblement pardon, se réconcilie avec lui.
Un jour viendra où l’humain sera tellement dégoûté de l’humain -et le juif de lui-même-, qu’il se retournera vers Celui à qui il doit son existence. Ce sera un signe de la fin des temps et c’est le gros effort que doit fournir l’humanité. Ce retour aux sources passera par la foi descendant du Très-Haut en direction des cœurs et de la vertu d’humilité élevant les âmes.
[1] Le problème de l’heure présente de monseigneur Delassus, 1904, éditions Saint-Rémi.
[2] Le problème de l’heure présente de monseigneur Delassus, 1904, éditions Saint-Rémi.
Dernier livre de l’abbé Rioult : La clef des écritures
Dans l’antiquité, ils s’appelaient Marcion, Celse, Manès, Fauste… De nos jours, ils se nomment Soral, Timmerman, Guyénot, Hindi, Soler, Römer, Finkelstein… Tous, pour diverses raisons, sont des détracteurs de l’Ancien Testament et rejettent son origine divine. La lecture partiale, grossière et charnelle qu’ils en font, même quand c’est pour la condamner, correspond en fait à la lecture pharisaïque codifiée par les talmudistes et assumée de manière mythique par les sionistes.
Malgré la différence de leurs principes, le sophisme philosophique et la superstition juive aboutissent aux mêmes conséquences : la négation de l’unité du plan divin. Les juifs soutiennent que le Christ n’a pas pu être annoncé par les prophètes de l’Ancienne Alliance au prétexte que l’Évangile qu’il a prêché contredisait leur Loi qui les obligeait de se séparer des non juifs. Et les hérétiques, eux, soutiennent que l’Évangile, la Bonne Nouvelle du salut pour tous les peuples sans distinction, ne peut avoir aucun rapport avec l’Ancienne Alliance puisqu’il a justement aboli le mur de séparation qu’était la loi juive.
L’Église catholique récuse ces interprétations erronées, qu’elles soient judaïques ou hérétiques. Pour les Pères, ces « ennemis des saintes Lettres montrent une égale ignorance de l’un et de l’autre Testament. » Car le mosaïsme bien compris, mais non sa trahison talmudique, n’a été que la préparation du christianisme. Tertullien, Origène, saint Irénée, saint Hilaire, saint Augustin et bien d’autres ont démontré contre les hérétiques la divinité de la loi mosaïque, et contre les juifs son abrogation ou son accomplissement. Là où les hérétiques imaginent une antithèse, il y a harmonie parfaite ; et là où les juifs rêvent d’un Messie à venir, ou plutôt de sa caricature tribale, il y a l’œuvre universelle et spirituelle du Christ, déjà réalisée comme annoncée par les prophéties.
Pour comprendre les Saintes Écritures, il faut donc dépasser l’intelligence de la lettre et en saisir l’esprit. « L’Écriture sainte, dit saint Grégoire le Grand, par la manière même dont elle s’exprime, dépasse toutes les sciences ; car, dans un seul et même discours, tout en racontant un fait, elle livre un mystère. » Adam, Abel, Noé, Abraham, Isaac, Jacob, Juda, Joseph, Moïse, la sortie d’Égypte, l’Alliance du Sinaï avec ses sacrifices et ses fêtes, Josué, David, Salomon, avec le temple et son grand prêtre, l’endurcissement même de Juda et la ruine de la nation-religion israélite, tout cela forme un seul et même grand mystère que ce Traité va dévoiler, pour la confusion des uns et l’instruction des autres. Les paroles de Dieu sont en effet “ esprit et vie” (Jn 6, 53). Or, “la lettre tue mais l’esprit vivifie” (II Cor 3, 6).
De la sainteté de la Maison Royale de France par le Marquis de la Franquerie
Marquis de la Franquerie : Camérier Secret de Sa Sainteté Pie XII, Membre des Académies Pontificales de
l’Immaculée Conception, du Panthéon et des Beaux-Arts,Lauréat de l’Académie Française.
Conférence donnée à Versailles le 3 Mai 1951 au Château de Madame Élisabeth de France à Montreuil, mis aimablement à la disposition de l’Association Marie-Élisabeth de France, par Son Excellence l’ancien Ministre de Suisse et Madame BURCKHARDT.
Jamais Maison Souveraine n’a été passionnément aimée par son peuple comme l’a été et le demeure encore la Maison de France, mais aussi aucune n’a été digne et n’a autant mérité de l’être. Sa sainteté en est la preuve la plus magnifiquement émouvante.
C’est qu’en vertu des grâces de son Sacre le Roi de France était sur terre le représentant de Dieu dans l’ordre politique et le Fils Aîné du Sacré Cœur et de Sa Divine Mère.
Le sac de Jérusalem : La justice de Dieu par Dom Guéranger – L’année liturgique
LA JUSTICE DE DIEU : 7ème dimanche après la Pentecôte
LE TEMPLE DE JÉRUSALEM : 8ème dimanche après la Pentecôte
LE SAC DE JÉRUSALEM : 9ème dimanche après la Pentecôte
Il est bon en 2022 de méditer avec dom Guéranger sur la Justice de Dieu et le sac de Jérusalem.
Cette Justice est Juste : elle est divine !
Elle arrive en Son temps.
Soyons prêts car alors le temps de miséricorde est clos.
Rendez-moi compte de votre administration.
« Il sera réclamé beaucoup à qui l’on a donné beaucoup ; et il sera demandé plus à qui l’on aura confié davantage » (Luc, XII, 48).
Malheur au temps dans lequel les dispensateurs de la parole sainte ne laisseraient plus tomber sur les âmes, avec des principes diminués ou faussés, qu’une semence atrophiée ! L’Esprit n’est point tenu de suppléer par lui-même à leur insuffisance ; et il ne le fera pas d’ordinaire, respectueux qu’il est de l’ordre établi par l’Homme-Dieu pour la sanctification des membres de son Église.
Seul un petit nombre sera protégé :
les vrais chrétiens…
La semaine sainte réformée sous PIE XII par l’abbé Rioult
En c, à titre d’essai, la célébration de la Vigile pascale au cours de la nuit. Puis en 1955, il rendait obligatoire une réforme de toute la Semaine sainte.
Le problème est que la principale cheville ouvrière de la commission
qui a œuvré à cette réforme ne fut autre que son secrétaire : Mgr Annibale Bugnini. Ce “fossoyeur de la Messe” qui en 1969, avant de tomber en disgrâce en 1975, pouvait se « rendre dans le bureau » de Paul VI « et lui faire signer tout ce qu’il veut ».
Comment le Père Carlo Braga, bras droit de Bugnini et directeur d’une célèbre revue liturgique, pouvait-il écrire au sujet de la réforme qu’elle était « un bélier qui a pénétré dans la forteresse de notre liturgie » ?
Pourquoi Mgr Gromier, éminent liturgiste et cérémoniaire papal sous Pie XII s’était-il permis, publiquement, d’en faire une critique sans concession ?
Pourquoi même les meilleurs, et parmi eux l’Abbé Berto futur théologien de Mgr Lefebvre au concile Vatican II, n’ont-ils pas vu que la question de l’horaire de la Vigile n’était qu’un prétexte pour bouleverser les rites séculaires de la Semaine Sainte ?
Quels ont été ces changements substantiels opérés depuis le dimanche des Rameaux jusqu’à la Vigile pascale ?
Le bref examen, aussi court et précis que possible, se propose de faire la synthèse critique de cette réforme qui déstabilisa la liturgie romaine dans ses jours les plus saints de l’année.
L’Apothéose humaine par l’abbé Rioult
Une idole au cœur du mythe de la modernité Outre ces 16 chapitres, de dix à vingt pages, l’ouvrage contient aussi de précieuses annexes, courtes, synthétiques et didactiques sur quelques notions ou événements capitaux : LE 14 JUILLET, LA GUILLOTINE, DE LA LIBERTÉ, DE L’ÉGALITÉ, DE LA FRATERNITÉ, DES DEUX MARSEILLAISES, DES DROITS DE L’HOMME, DE SAINT PIE X ET DES FAUX CATHOLIQUE.
Après « Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide. Aspect moral d’un acte politique », M. l’abbé Olivier Rioult vient de publier un nouveau livre aux éditions des cimes.
Il y a près de six ans que ce travail était prêt et à l’époque, un directeur d’école de la FSSPX avait souhaité, si ce livre était publié, de l’offrir à tous ses élèves après leur baccalauréat, tandis qu’une mère de famille, après en avoir assuré la relecture, avait conclu que ce livre était un « Pour qu’Il règne » simplifié et réactualisé.
De quoi s’agit-il ?
De l’Apothéose de l’homme. Peu de gens s’en rendent compte, mais notre société vit sur un mythe mensonger : celui de la divinisation de l’homme, ou plus précisément, celui de l’homme devenu l’idole de l’homme.
L’ouvrage se divise en trois parties.
1) des faits que tout le monde peut constater.
L’auteur porte successivement un regard sur l’école, la famille, les métiers et l’économie. Dans tous ces domaines de la vie humaine, le constat alarmant, venant d’ailleurs aussi bien des gens pour que des gens contre, est le même : notre société souffre d’une incapacité « récente » à transmettre le patrimoine humain. Et le syndrome en cause dans les quatre domaines étudiés est identique, à savoir celui de la Liberté-Egalité-Fraternité.
2) des causes que tout le monde peut comprendre.
Dans cette deuxième partie l’auteur cherche les causes morales, philosophiques, politiques, historiques et psychologiques de ce phénomène.
Les causes morales concernent la piété filiale. Transmettre un patrimoine exige des qualités aussi bien de celui qui donne, et il s’agira de la fidélité, que de celui qui reçoit, et il s’agira de la docilité. Les causes philosophiques et politiques seront étudiées à travers les concepts de révolution et de bien commun. La transmission d’un patrimoine dépend en effet de l’idée qu’on se fait du bien humain. Soit ce bien humain est complet et il englobe les biens spirituels, soit il est mutilé et il se borne aux biens matériels. Les causes historiques, elles, se limiteront principalement à une vue de la Révolution de 1789. Bien plus qu’une révolte, la grande révolution a prétendu changer la nature humaine, elle a voulu construire une civilisation fondée sur des principes « nouveaux ». C’est pourquoi après une phase nécessaire de destruction de « l’ancien » monde, elle a voulu reconstruire un monde « moderne » où la volonté humaine aura valeur de volonté divine. Le chapitre sur l’Être et le néant montrera le lien logique et mortifère qui existe entre d’une part l’impiété, l’ingratitude, le refus de se reconnaître débiteur, et d’autre part la fuite du réel, la négation de Dieu et la mort de l’intelligence par l’absurde.
Fort de ces aspects, on pourra juger sous son vrai jour la Liberté-Egalité-Fraternité, devise et syndrome qui caractérisent la civilisation moderne : il s’agit bien-là d’une divinisation de l’homme dans ce qu’il a de plus matériel et de plus déréglé. Après ce travail d’analyse, une synthèse montrera la dimension théologique du syndrome Liberté-Egalité-Fraternité qui méritera le qualificatif d’Idole des idoles.
Il restera ensuite à bien cerner son influence sur chaque homme, dans l’Eglise et dans la société. Un chapitre sur la laïcité manifestera pourquoi l’idole Liberté-Egalité-Fraternité, malgré le sentiment religieux de l’humanité, engendre nécessairement un monde sans Dieu. Le chapitre sur “les deux cités” nous montrera que la lutte inévitable entre ces deux mondes a ses racines dans une lutte interne entre l’esprit et la chair. Un chapitre montrera rapidement comment cette idole a, peu à peu, infesté l’Eglise elle-même en pénétrant le sanctuaire lors du concile Vatican II. Et enfin, « le culte des idoles étant le principe, la cause et la fin de tout mal », il restera à voir pourquoi le refus du divin entraîne la disparition même de l’humain ? Ou, autrement dit, pourquoi la modernité n’est en fait qu’une dissolution de la société humaine où la transmission de la vie, du savoir, du savoir-faire et de la prospérité est rendue de jour en jour plus difficile ?
3) des remèdes que tout le monde peut suivre.
Dans cette troisième partie, l’auteur expose les remèdes à cette tendance maladive et idolâtrique de l’homme qui se résument en fait à un seul : l’amour de la vérité. Le rédempteur du genre humain exposait lui-même ce double aspect médicinal de sa mission : « Je suis né et je suis venu au monde afin de rendre témoignage à la vérité » et « Je suis venu apporter le feu sur la terre et que veux-je, sinon qu’il s’allume ».
C’est dans cette vérité et cette charité qu’il faut puiser pour restaurer l’homme et la société dans leur vraie dignité. L’auteur illustrera cette réalité à travers plusieurs vies qui l’ont manifesté : Monsieur d’Elbée, Monsieur de Charette, Sainte Thérèse de Lisieux, Le colonel Jean Bastien-Thiry, Mgr Marcel Lefebvre, les Sailland d’Epinatz, Joseph Darnand, Garcia Moreno…
Chrétien ou marrane par Louis-Hubert Rémy
ÉDITION 2020 COMPLÉTÉE
Une petite brochure mais que de découvertes ! Irréfutable !
Nous avons connu les catholiques révolutionnaires condamnés par Mirari Vos.
Nous avons connu les catholiques libéraux condamnés par Pie IX.
Nous avons connu les catholiques modernistes condamnés par saint Pie X.
Nous avons connu les catholiques progressistes condamnés par Pie XII.
Nous avons connu les catholiques blêmes (BLM) bourgeois libéraux mondains qui ont tout abandonné à Vatican II.
Tous ont en commun de ne pas être : Est, est ; Non, non.
Nous découvrons depuis les catholiques marranes, ceux qui sont DOUBLES : VOULOIR ÊTRE CATHOLIQUE DANS LA STRUCTURE CONCILIAIRE. Eux aussi ne sont pas : Est, est : non, non.
Ils n’ont pas compris que les ennemis de Vatican II supportent tout, pourvu qu’on reconnaisse leur autorité. Autrefois il fallait plier le genou devant Baal, ou mettre un grain d’encens, actions banales apparemment, mais graves car c’était la reconnaissance de l’autorité.
Il en est de même aujourd’hui. On ne rejettera que ceux qui ne reconnaissent pas l’autorité de Rome.
Un homme est responsable de ce choix : Jean MADIRAN.
« SOIS JUIF À LA MAISON ET UN HOMME AU-DEHORS »
La civilisation chrétienne était UNE. Cette notion d’unité est très importante.
Elle vient du Credo : « credo in UNUM Deum… et in UNUM Dominum Jesum Christum… et UNAM catholicam ecclesiam… UNUM baptisma, et se répète dans la doxologie : …qui vivis et regnas cum Deo Patre in UNITATE Spiritus Sancti. »
Les toutes dernières paroles de Notre-Seigneur avant Sa Passion en sont le fondement : afin qu’ils soient UN comme nous sommes UN, Moi en eux, et Vous en Moi, afin qu’ils soient parfaitement UN (Jean, XVIII, 22).
Cette Unité vient donc du Mystère de la Très Sainte Trinité, unité en trois personnes, mystère ineffable, le plus grand mystère. Tout alors vivait dans l’Unité : Papes, Rois, société, vie courante, économie, hiérarchies, classes sociales, clercs, laïcs, saints, catéchismes, enseignement, culture, pensées, etc… L’homme était lui-même, Un dans sa vie, sa religion, son âme, sa mémoire, son intelligence, sa volonté, sa pensée, son comportement, son oui, son non, etc… Le bien et le mal s’avéraient clairs et précis immuablement, ils ne changeaient pas ; de même le vrai et le faux ; de même la grille amis/ennemis. Tous étaient UN, comme Notre-Seigneur et tous les Saints, et à l’image du Créateur, les créatures vivaient dans la Vérité. Ainsi vécut la société restée chrétienne.
À cette civilisation chrétienne s’est substituée LA CIVILISATION MARRANE, OÙ L’HOMME DEVIENT DOUBLE, il est oui et non. « Sois Juif à la maison et un homme au-dehors », signifie sois juif et chrétien, ou sois juif et musulman, sois juif et français, sois juif religieux et laïque, aies deux vies, une sociale, une autre à la maison, deux langages, un privé, un politiquement correct, etc…
Sois oui et non, sois vrai et faux, sois bien et mal, sois ami et ennemi en même temps : l’être humain et la société vivent dans le mensonge !
Cette dualité se retrouve dans le combat actuel. Les libéraux qui ont envahi nos milieux et qui se veulent catholiques et conciliaires, suivent la civilisation marrane, deux religions incompatibles, deux Credo, deux Fois incompatibles.
La mission et la vocation de la France d’après le cardinal Pie
Préface de L-H REMY – Auteur : Cardinal PIE – 238 pages, nouvelle édition – Vocation de la France
« Saint Pie X en parlant du cardinal Pie, précisait : “Mon Maître” et consultait régulièrement ses Œuvres en permanence sur son bureau, comme il en a fait la confidence plus tard à un évêque de Poitiers. D’ailleurs, plus d’une fois, saint Pie X reprend à son compte les déclarations mêmes de Mgr Pie.
De ce dernier, les éditions Saint-Remi ont rééditées toutes les Œuvres : Sacerdotales, 2 tomes ; Épiscopales, 10 tomes ; plus sa correspondance avec Mgr Cousseau, évêque d’Angoulême, après sa direction du Grand Séminaire de Poitiers. Tout est à lire, mais en premier la biographie du cardinal Pie (2 tomes), écrite par Mgr Baunard, sous la direction attentive de Mgr Gay, coadjuteur du Cardinal Pie.
Le cardinal Pie est bien connu pour être l’apôtre du Règne Social de Notre-Seigneur Jésus-Christ (lire “La Royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après le cardinal Pie”, par le RP Théotime de Saint-Just, ouvrage fondamental).
Mais on sait moins qu’il a conçu cet enseignement en méditant la vocation de la France, en particulier la mission de sainte Jeanne d’Arc. Féru d’histoire, aussi bien religieuse que profane, il a puisé aux meilleures sources. Son discours de 1844 (il avait 29 ans !) est étonnant. Spécialiste de sainte Jeanne d’Arc, je me demande où il a trouvé certains renseignements. »
La citée oubliée, manuel pour reconstruire la civilisation, par l’abbé François CHAZAL
« Il faut le rappeler énergiquement, disait saint Pie X, dans ces temps d’anarchie sociale et intellectuelle, où chacun se pose en docteur et en législateur, on ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l’a bâtie ; non, la civilisation n’est plus à inventer... »
Certes, mais il ne suffit pas d’invoquer Dieu pour que la Cité tienne debout. Il ne suffit pas de proclamer que le système mondialiste nous conduit au chaos… Il faut encore connaître les bases naturelles et traditionnelles sans lesquelles aucune cité ne peut s’édifier. Et il faut, de plus, avoir soin de respecter ces lois qui gouvernent la nature.
C’est pour nous encourager au travail, et faciliter cette tâche, que l’abbé François Chazal a voulu mettre à la disposition du public “La Cité Oubliée” qui est un véritable “Manuel de civilisation” pour construire une Cité heureuse.
Ce Manuel de survie politique donne à la fois les principes théoriques et leurs conséquences pratiques.
Un simple regard sur la table des matières suffira pour s’apercevoir qu’aucun problème de société n’a été négligé ou écarté :
Sociétés et forme politique. Corps intermédiaires. Démocratie. Ploutocratie et règne des média. Autorité et bien commun. Église et Droits de Dieu. Abus de l’État. Séparation des pouvoirs. Guerre et ennemis intérieurs de la cité. Peine capitale. Port d’armes. Soulèvement et sédition. Subversion. Contre-révolution. Censure. Capital. Prêt à intérêt. Juste crédit. Fisc. Marché et but du commerce. Biens de consommation. Épargne, assurance et Bourse. Question sociale. Juste salaire. Industrialisation. Petits métiers. École. Civisme. Femmes…
Tout ce qu’il faut savoir pour comprendre et agir se trouve réuni en une merveilleuse synthèse unissant à la fois la Philosophie d’Aristote et l’Evangile de Jésus-Christ, à la fois l’ordre naturel et l’ordre surnaturel. Le tout étant illustré par l’inégalable KonK.
De la modestie, par l’abbé Rioult
“L’ignorance peut seule expliquer la déplorable extension prise de nos jours par une mode si contraire à la Modestie, le plus bel ornement de la femme chrétienne”, disait en 1919 le Pape Benoît XV.
Tel est le but de la présente plaquette : un effort pour réduire cette ignorance, encore plus répandue au XXIe siècle qu’elle ne l’était au début du siècle précédent. C’est une méditation sur des sources morales et théologiques de cette éminente vertu qu’est la Modestie.
En la proposant dans cette édition, d’accès et de lecture faciles, nous espérons offrir au public les moyens de formation sérieux sur ce sujet.
Petite histoire de Notre Dame du cap et du pont de glace dit “Pont des chapelets”, par l’abbé Nicolas Pinaud
Certains d’entre eux sont si célèbres qu’ils nous viennent immédiatement à l’esprit : la bataille de Lépante du 7 octobre 1571, l’Autriche libérée de la menace communiste en 1946 ou encore le Brésil préservé de ce même fléau en 1964.
Et pourtant comment expliquer que l’une des plus merveilleuses interventions célestes due à la récitation fervente du chapelet – tout aussi prodigieuse que les précédentes – demeure presque totalement ignorée en dehors de l’Amérique du Nord, et si mal connue même au Canada, où elle eut lieu, du mercredi 19 au mercredi 26 mars 1879 ? Il était nécessaire d’en publier le récit à nouveau.
Cet événement surnaturel ne laissera personne indifférent et nous incitera tous à la fidélité dans la récitation quotidienne de notre chapelet.
Holzhauser et autre prophéties, interprétation de l’apocalypse, par Louis Hubert Rémy
INTERPRÉTATION DE L’APOCALYPSE par le Vénérable Barthélemy HOLZHAUSER.
Choix et annotations de L-H REMY. 146 pages.
“Tout est dans Holzhauser”, Jean Vaquié. De beaucoup les plus importantes prophéties. Extraits concernant les cinquième et sixième âges, suivis de quelques autres prophéties concernant les temps que nous vivons de saint Pie X, Cardinal Pie, saint François d’Assise, Augustin Lemann, les vénérables Eliza- beth Canori Mora, Anna-Maria Taïgi et Catherine Emmerich, Marie-Julie Jahenny, Père Nectou et bienheureuse Catherine de Racconigi.
“A toutes les époques, dit saint Thomas d’Aquin, il y a toujours eu quelques personnes favorisées de lumières surnaturelles, non pour révéler une nouvelle doctrine de foi, mais pour la direction de la conduite humaine” Machiavel a écrit que “jamais il ne s’est produit dans le monde de grands événements qui n’eussent été prédits de quelque manière”. Savait-il qu’il traduisait le verset d’Amos auquel la constitution conciliaire du pape Léon X semble avoir fait allusion ?
“Le Seigneur ne fait rien sans qu’il ait révélé Son secret à Ses serviteurs, les prophètes” Amos, III, 7 “Donnez-vous bien garde, dit saint Paul, d’éteindre l’esprit, et de mépriser de parti pris toute espèce de révélations. Mais soumettez-les à l’épreuve, et retenez ce qui est bon”. I Thess, V, 19 à 21. Ainsi fait l’Église. Elle a appris de saint Jean “qu’il ne faut pas se fier à tout esprit, mais qu’il faut éprouver si les esprits proviennent de Dieu” I Jean, IV, 1.
La religion Noachide, l’enseignement d’Elie Benamozegh, le sanctuaire inconnu, ma conversion au judaïsme, par Aimé Pallière
Né sur les pentes de la pieuse colline de Fourvière, bercé par sa mère dans les douceurs de la foi catholique, discipliné par les enseignements de l’école religieuse, destiné au séminaire et à l’Église par la vocation de son adolescence, M. Aimé Pallière accomplit ce prodige de concilier en lui les aspects les plus opposés d’Israël, mais il réalisa cet autre miracle d’avoir pu adopter une religion nouvelle sans rompre avec celle qu’il quitta. Jamais hérétique, apparent ou réel, ne fut moins excommunié. M. Pallière conserva à l’égard de Rome l’attitude d’un fidèle reconnaissant, et les
fidèles de l’Église ne lui retirèrent aucune de leurs sympathies. On a vu des ecclésiastiques, introduits par lui dans les milieux juifs, accepter de parler sous son patronage et une publication catholique reproduire un sermon qu’il avait prononcé dans une synagogue.
C’est que, découvrant en Israël le porteur d’une idée qui intéresse toute l’humanité, M. Pallière, disciple de l’illustre rabbin italien Élie Benamozegh, a conçu le judaïsme comme un véritable catholicisme qui, sans exclure l’autre, le dépasse, car il groupe autour de lui, en une vivante synthèse, toutes les familles religieuses de la terre.
Edmond Fleg
Préface et notes critiques au fil des pages par Louis-Hubert REMY. « Nous ne pouvons mieux faire que de citer ici quelques lignes d’un célèbre rabbin du XIXe siècle, Elie Benamozegh qui a exposé cette doctrine de façon à ce qu’on ne puisse se méprendre : “La religion de l’humanité n’est autre que le Noachisme… Voilà la religion conservée par Israël pour être transmise aux gentils… Le noachide est bel et bien dans le giron de la seule église vraiment universelle, fidèle de cette religion comme le Juif en est le prêtre, chargé, ne l’oubliez pas, d’enseigner à l’humanité la religion de ses laïques, comme il est tenu, en ce qui le concerne personnellement, de pratiquer celle de ses prêtres » (Lettres d’Elie Benamozegh citées par Aimé Pallière : Le Sanctuaire Inconnu, Paris, 1926).
Les juifs dans la révolution française, par l’abbé Joseph Léman
Jésus-Christ Hors la Loi ! La fille aînée de l’Église apostasie.
« Il ne règne plus par les bienfaits de Sa présence, mais par les méfaits de son absence » (saint Pie X citant le cardinal Pie).
Tel est le résultat de la Révolution Française.
Mais qui est à l’origine de cette infamie ? Un prêtre juif converti, l’abbé Joseph Lémann, nous l’explique, nous donne des documents inconnus et nous explique jusqu’où tout cela nous conduira.
Un livre prémonitoire, très actuel qui permet de comprendre ! Il n’y a que deux camps, celui de Notre-Seigneur et celui de l’Adversaire. Tous ceux qui ne sont pas dans le camp du premier sont dans le camp du second.
Selon Joseph Lémann, l’acte de naissance de l’intégration de la communauté juive au sein de la société française peut se rédiger ainsi : “Est née des Droits de l’Homme et de la France déchristianisée, dans le local de l’Assemblée Nationale : du 14 août 1789 au 27 septembre 1791.” L’auteur poursuit : “À Jéricho, les droits de Dieu marchaient devant Israël, avec le bruit des trompettes ; en France, ce sont les droits de l’homme, avec la hache révolutionnaire, qui lui frayent la voie.”
Faisant suite au célèbre Entrée des israélites dans la société française, ce nouvel ouvrage décrit, avec une grande précision, par quelles démarches les Juifs ont obtenu le titre de citoyen et l’égalité des droits. L’auteur étudie en détail les liens tissés entre les Juifs et les sociétés secrètes, ainsi que les nombreux et très divers moyens mis en œuvre pour venir à bout des résistances de l’Assemblée Nationale et du peuple français.
L’initiation dans les sociétés secrètes, l’initiation maçonnique, par Charles Nicoullaud
Charles Nicoullaud était le directeur de la « Revue Internationale des Sociétés Secrètes » et son ami Mgr Jouin lui écrit dans la préface :
“Sans apparenter généalogiquement la Maçonnerie moderne au culte païen des faux dieux, vous avez distingué l’organisation des Loges et des Orients, de date assez récente, de l’initiation transmise, selon le F∴ Blatin, par les alchimistes du moyen âge, Juifs pour la plupart, qui en puisèrent les secrets dans le Talmud, la Kabbale, et jusque dans les mystères isiaques et mithriaques. Et toujours, sous l’extérieur religieux de ces cérémonies et de ces symboles mystiques, derrière le dieu caché, se trouve Satan, avec ses trésors, sans cesse promis, rarement dispensés, malgré l’accomplissement obligé de l’inexorable condition : Si cadens adoraveris me, si tu te jettes à terre, si tu te prostitues corps et âme en m’adorant !”
Mgr JOUIN
Citant un ancien maçon, Nicoullaud indique :
Dans l’état actuel de la maçonnerie deux pour cent à peine des Maîtres connaissent la signification diabolique de leur grade… » et comme le dit Sédir : « l’action de la Société secrète est liée au rattachement de ses membres à l’Invisible, et que dans l’Invisible se déroule une bataille perpétuelle entre les soldats du Christ et ceux de l’Adversaire.
L’école moderne de l’ésotérisme chrétien, par Jean Vaquié
Nous entreprenons l’étude d’une école de pensée qui n’est pas encore très connue et dont il convient de préciser la place, d’abord par rapport au progressisme qui a inspiré le Concile, mais aussi par rapport, au traditionalisme qui anime les adversaires du Concile. Reportons-nous, pour saisir l’enchaînement des circonstances à son début, aux dernières années du XIX° Siècle. Le MODERNISME, un instant contenu et refoulé par les prises de position très nettes des Papes Grégoire XVI dans “Mirari Vos”, Pie IX dans “Quanta Cura” et le “Syllabus”, et Pie X dans “Pascendi”, le modernisme donc a repris une grande vigueur après la tourmente de la deuxième guerre mondiale de 1939-1945. Il s’est alors légèrement modifié pour s’incorporer les thèses socialistes triomphantes à cette époque et il a pris, à cette occasion, le nom de PROGRESSISME. Ce sont les thèmes progressistes qui ont été officialisés par les Déclarations et les Constitutions conciliaires de Vatican II.
Un prophète luciférien Léon Bloy, par Raymond Barbeau
« Peut-être faudra-t-il cent ans avant que l’on ne porte sur Léon Bloy, je ne dis pas un jugement équitable, mais une appréciation de satisfaisante vérité. Cent ans avant que l’auteur du DÉSESPÉRÉ, de LA FEMME PAUVRE, de L’EXÉGÈSE DES LIEUX COMMUNS, du SALUT PAR LES JUIFS soit restitué à son vrai plan », ainsi s’exprimait, en 1933, un disciple de Léon Bloy qui, de son vivant, aurait certes goûté une telle prophétie ; elle aura, au moins l’avantage, assez rare, de se réaliser… mais un peu plus tôt que prévue. Il est vrai que sa “famille divinatoire” a tout tenté pour pénétrer son prophétisme, mais les meilleurs résultats sont négatifs, illusoires, car on a voulu exorciser sa doctrine, la faire passer de force par la porte étroite du catholicisme dogmatique. On s’est attardé aux éléments extérieurs, aux anecdotes, aux accidents d’une vie tapageuse, à ses pratiques dévotieuses pour garantir l’intégrité de sa “mission”. Personne ne s’est avisé de comparer méthodiquement l’ensemble de ses pensées d’ordre paraclétiste avec l’enseignement pneumatologique officiel de l’Église.
Bien plus, on lui a même refusé le droit d’être occultiste. S’il n’y a pas de théologie, au sens précis du mot, dans son œuvre, on y reconnaîtra tout de même une “science de Dieu” mais elle est à rebours, hors du domaine fréquenté par le public : elle a une place toute désignée dans le royaume obscur des initiés.
Raymond Barbeau
Le sacrement de pénitence
Comme la pureté de l’âme, qui est la fin de la vie purgative, s’obtient particulièrement par l’usage de la confession, nous avons jugé à propos de placer ici quelques Méditations dont on pourra se servir pour se préparer à recevoir dignement le sacrement de la Pénitence. Elles apprendront en même temps aux commençants en quoi consiste cette préparation, et elles leur inspireront l’estime du remède que Dieu nous a laissé pour notre salut.
EXAMEN DE CONSCIENCE À PARTIR DU CATÉCHISME DE LA FAMILLE CHRÉTIENNE Du Père Emmanuel
ch. 3 Les Commandements de Dieu.
CH. 5 LE PÉCHÉ – REMÈDES AU PÉCHÉ.
Précédés des trois méditations du Père Du Pont sur la Pénitence
MANIÈRE DE SE CONFESSER
MARIE ENFANT dite Santissima Maria Bambina
par le Père Ange Brazzoli
Pour redécouvrir un trésor de spiritualité méconnu : la dévotion à Marie Enfant.
Traduit de l’italien sur la seconde édition de 1891
ÉDITION conforme à l’édition de 1895
Belle édition – Couverture rigide et Cahiers reliés cousus.
Un livre de qualité 38 €, vendu seulement 28 € !
Pour redécouvrir un trésor de spiritualité méconnu : la dévotion à Marie Enfant. Elle remonte à 1007, année où l’église Santa Maria Fulcorina de Milan fut consacrée au « Mystère de la Nativité de Marie ». En 1884, une jeune novice des Sœurs de la Charité fut guérie par son intercession puis d’autres guérisons suivirent. L’auteur nous propose d’imiter Marie dans notre vie quotidienne grâce à des méditations sur les promesses et les prophéties relatives à la naissance de la Très Sainte Vierge tout au long de l’Ancien Testament. Puis il relate ensuite les nombreuses guérisons tant corporelles que spirituelles. Une neuvaine à Marie Enfant termine le livre.
AU LECTEUR
« Pieux lecteur, un bouquet de fleurs cueillies dans le jardin de la Madone vous est ici présenté sous forme d’opuscule.
Pénétré d’une tendre dévotion envers Marie Enfant, l’humble auteur n’a pu se refuser au désir de quelques personnes de piété qui, animées d’un ardent amour pour la Vierge au berceau, et voyant déjà épuisée la première édition du MOIS composé en son honneur, l’ont engagé à en publier une seconde, afin de satisfaire aux demandes qu’on en fait incessamment.
« Cette seconde édition présente encore un autre avantage : outre la correction des quelques errata qui se trouvaient dans la première, les exemples précédemment cités se sont enrichis d’une trentaine d’autres tout récents. Ce perfectionnement ne peut qu’être agréable aux dévots de Marie, dont la pieuse avidité cherche surtout à connaitre combien la Sainte Enfant est empressée et libérale à répondre par des grâces nouvelles à la confiance que lui témoignent ses fidèles serviteurs.
« Une dernière observation, c’est que le MOIS DE MARIE ENFANT, sous la forme qu’il reçoit dans cette seconde édition, peut facilement servir pour le mois de mai, et c’est précisément dans ce but qu’aux trente considérations données pour le mois de septembre, il en a été ajouté une trente et unième.
« LE CHRIST QUI EST ROI DE FRANCE »
(saint Pie X) Par Pierre Virion
“La vraie cause de ces maux (la révolution et ses suites), c’est l’abandon de notre Foi religieuse et nationale. Ces deux choses appliquées à la réalité française n’en font qu’une. L’une et l’autre, quoique distinctes, ne sont pas séparables.”
Le Christ est Roi. Étant Roi universel, il l’est de tous les peuples mais il est plus particulièrement Roi de France selon la phrase de saint Pie X, reprise comme titre de cet ouvrage.
Cette royauté divine marque de façon indélébile l’Histoire de France et trace sa vocation : fidèle, elle est comblée de dons et accomplit les “gestes de Dieu” ; lorqu’elle perd de vue sa vocation, chacun de ses égarements se voit sanctionné par des catastrophes.
Études sur l’Occultisme
par Henri de GUILLEBERT R.I.S.S.
Revue Internationale des Sociétés Secrètes
Partie Occultiste sous la direction de Monseigneur JOUIN
La saine philosophie et la véridique histoire établissent, d’un commun accord, que la séparation morale et religieuse de l’Église d’avec l’État est la principale cause de l’esclavage des hommes et des peuples. L’affranchissement des peuples, pour en donner une définition au rebours des logomachies révolutionnaires, est la réalisation des conditions naturelles, grâce auxquelles le moindre enfant du peuple jouit, au plus haut degré possible, du pouvoir extérieur de faire ce qui est honnête, utile et juste, agréable et décent.
Henri Jean Baptiste Marie de Guillebert des Essars écrivait dans la R.I.S.S. et fut pendant l’entre-deux guerre le directeur de cette Revue Internationale des Sociétés Secrètes (RISS), une revue anti judéo-maçonnique.
Fondée en 1912 par Mgr Jouin, docteur en théologie et en philosophie, cette publication anti-libérale (la R.I.S.S.) dénonçant les sectes et les sociétés secrètes de toutes tendances, parut jusqu’en 1939. Pendant les années de 1928 à 1933, Mgr Jouin à développer une partie réservée à l’étude de l’Occulte.
“On ne peut envisager une étude sérieuse de l’occultisme sans avoir la connaissance de ces textes.” (Mgr Jouin)
La partie OCCULTISTE de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes de Mgr Jouin fait plus de mille pages…
Au Sommaire
R.I.S.S. – Revue Internationale des Sociétés Secrètes – Partie Occultiste, N° 1 – 1er janvier 1928, p. 7 – 25.
I – Judéo-Maçonnerie
II – LE JUIF
R.I.S.S. – Revue Internationale des Sociétés Secrètes – Partie Occultiste, N° 2, 1er février 1928, p. 37- 53.
III – La Cabale
IV – LA SCIENCE OCCULTE
R.I.S.S. – Revue Internationale des Sociétés Secrètes – Partie Occultiste, N° 3 – 1er mars 1928, p. 69 – 81.
HÉBRO-PAGANISME
R.I.S.S. – Revue Internationale des Sociétés Secrètes – Partie Occultiste, N° 3 – 1er mars 1931, p. 61 – 70.
SOUS LE SIGNE DU TÉTRAGRAMME
R.I.S.S. – Revue Internationale des Sociétés Secrètes – Partie Occultiste, N° 8 – 1er août 1928, p. 237 – 243.
ÉTUDES SUR L’OCCULTISME
LA GUERRE MAÇONNIQUE
par Monseigneur Jouin
Articles parus dans LA FOI CATHOLIQUE, de Décembre 1918 à Janvier-Février 1920
C’est dans la Foi Catholique que notre éminent et très cher collaborateur, Mgr Jouin, publie la Guerre Maçonnique. L’ouvrage, dont le premier volume lui mérite du Souverain Pontife un nouveau et très significatif suffrage, se présente comme un extrait de notre Revue.
Quand on a lu la Guerre Maçonnique de Mgr Jouin, ses objurgations énergiques aux « mauvais catholiques », aux « distraits », aux « endormis », aux « aveuglés », qui « ne veulent comprendre ni le danger ni leur devoir », on mesure toute la portée de cette approbation et de cette exhortation venues de Rome.
En la fête du Sacré-Coeur de Jésus, 27 juin 1919.
Chanoine B. Gaudeau (B. G.) directeur de La Foi Catholique
La Foi Catholique, numéro du 30 juin 1919
Le Magistère Ordinaire de l’Église et ses organes
par Jean-michel-Alfred Vacant
Cette étude s’adresse à des lecteurs catholiques ; elle n’est pas écrite pour réfuter les erreurs des Protestants, des Grecs schismatiques ou des Gallicans sur l’autorité de l’Église et l’infaillibilité du corps épiscopal ou du Souverain Pontife. Qu’on n’y cherche donc point la démonstration des principes admis aujourd’hui par tous les enfants soumis de l’Église Romaine ! On n’y trouvera qu’un simple exposé de la doctrine de cette Église sur son magistère ordinaire, avec quelques éclaircissements au sujet des difficultés que cette doctrine soulève.
Sommaire :
- Introduction
- Idée générale du magistère ordinaire et universel de l’Église
- Ministres qui servent d’organes et d’instruments au magistère ordinaire
- Comment le magistère ordinaire de l’Église s’exprime
- Obligations que le magistère ordinaire impose, en matière de doctrine
- Autorité doctrinale de la majorité des évêques dispersés
- Part que le Souverain Pontife prend personnellement à l’exercice du magistère ordinaire
- Conclusions
Le fond du présent travail est une dissertation envoyée au concours théologique que M. l’abbé J.-B. Jaugey, directeur de La Controverse, avait ouvert dans cette revue. Le jury, composé de plusieurs professeurs de la Faculté de théologie de Lyon, a bien voulu décerner le prix à cette dissertation.
Nous essayerons d’abord de donner une idée générale du Magistère Ordinaire et Universel de l’Église que le concile du Vatican (1) a déclaré une règle de la foi divine et catholique ; puis nous dirons quels sont les organes par lesquels ce magistère s’exerce, de quelles manières il s’exprime, quelles obligations il impose en matière de doctrine ; enfin nous étudierons, en particulier, la part qui revient aux évêques dispersés dans l’exercice de ce magistère et celle qui appartient au Souverain Pontife.
Abbé Jean-Michel-Alfred Vacant
[1] : Vatican (1er) s’entend… le second n’a jamais existé ce fut un ‘conciliabule’ de la secte Conciliaire… (NDE)
De la question juive
par Mr l’abbé Olivier Rioult
Pour aider le juif à retrouver un sommeil paisible et pour protéger celui des autres, il fallait remonter aux origines du mal-être juif, analyser ses manifestations et en faire la synthèse. Le résultat est sidérant et une fois de plus la réalité dépasse la fiction. Appuyée sur des faits indéniables, fondée par des citations autorisées donnant la parole aux juifs comme aux non-juifs et justifiée par des milliers de références, cette étude donne une synthèse de la Question juive aussi complète et précise que possible. Tous les points importants ont été traités, sans haine, sans faiblesse et sans tabou : de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations… Deux mille ans d’histoire chaotique qui ont abouti “au siècle juif” qui, selon la formule d’un propagandiste, a vu les juifs devenir « les chouchous de l’Histoire ».
TALMUD – Voyage au bout de la nuit
par Juda le prince et préfacé par Mr l’abbé Rioult
Le Talmud est le Livre des juifs. Il a été « le moule de l’âme juive, le créateur de la race selon Bernard Lazare. Quand les rabbins le comparent à la Bible, celle-ci n’est que de l’eau ; mais celui-là est un vin précieux. En Israël, la loi oblige chaque ville à disposer d’un tribunal rabbinique dont les juges sont payés par l’État. Pour saint Jérôme. le Talmud est rempli de « fables honteuses » et « de puérilités ridicules ». Pour Mgr Freppel, outre ses « folles imaginations », il recèle « l’ouvrage le plus abominable qui soit sorti de la main des hommes » et aussi une « casuistique qui étouffe tous les sentiments d’humanité, qui mérite plus de pitié que d’indignation ». Étonnamment, cette loi juive parle beaucoup de nous, les goyim, les non-juifs… Le Talmud contient en effet des « préceptes égoïstes, féroces et nationaux dirigés contre les étrangers » concède Bernard Lazare. Au cours de l’histoire, un nombre incalculable d’exemplaires furent livrés aux flammes par des rois, comme saint Louis en 1242, par des papes, comme Paul IV (1555-1559) et, fait remarquable, les plus zélés à poursuivre leur destruction étaient des juifs convertis. Si vous voulez mieux connaître ce formidable Talmud, son rejeton (la Cabale), et sa cousine germaine musulmane (la Sunna), ce livre est pour vous. Il est le fruit d’un travail persévérant de Juda le prince. Un goy qui a presque tout lu : le Talmud de Jérusalem et celui de Babylone, Maïmonide, le Zohar et ses épigones, la Sira et les hadiths, les commentaires des commentaires… Plus de 30.000 pages dont l’essentiel, après avoir été publié en articles pour le journal Rivarol, vous est livré aujourd’hui en un seul volume. Cet ouvrage vous permettra de découvrir ce que les auteurs du Talmud auraient préféré que vous ne sachiez jamais…
L’ECRAN – Poison du corps de l’âme et de l’esprit
par Mr l’abbé Olivier Rioult
L’écran, un voleur de temps, une cause d’isolement social, une source de paresse intellectuelle, un agent de stérilité cognitive et vecteur de destructuration psychique…
La présente étude offre une synthèse des connaissances nécessaires pour estimer à sa juste valeur ce phénomène moderne. Ces conclusions sont basées sur les résultats de nombreuses expériences scientifiques, sur les principes de la saine philosophie et de la théologique catholique classique.
Ce livre nous aidera, nous et nos enfants, à réfléchir à deux fois avant d’allumer un écran…
Au sommaire :
- La télévision et notre corps
- Le corps : Morphée n’est plus – Manger plus, bouger moins – Fumer et boire
- Le concupiscible : La tyrannie des sens, un esclavage honteux
- L’irascible : La violence, c’est bon pour les affaires – on ne naît pas libre, on le devient !
- La télévision et notre âme
- La mémoire : saturation de l’imagination – destruction de la perception du réel
- La raison : la mort de l’intelligence – Une gigantesque erreur !
- La volonté : une drogue abrutissante
- La télévision et l’esprit
- Entre surinformation et désinformation
- Les écrans de Big Brother
- Conclusion
L’Eglise & l’Apostasie
par M. l’abbé Olivier Rioult
Les ténèbres couvrent Rome. Que faire ?
« L’instauration de cette “église conciliaire” imbue des principes de 1789, des principes maçonniques, est une imposture inspirée par l’Enfer […]. C’est donc un devoir strict pour tout prêtre et tout fidèle voulant demeurer catholique de se séparer de cette église conciliaire, tant qu’elle ne retrouvera pas la tradition du magistère de l’Église et de la foi catholique. » (Itinéraire spirituel)
Tel fut le testament de Mgr Lefebvre, ancien archevêque de Dakar, délégué apostolique, supérieur des Spiritains, Président du Coetus – le groupe des pères opposés à la révolution lors du Concile Vatican II – et fondateur de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X.
En 1984, Mgr Lefebvre devait “en conscience affirmer que le pape Jean-Paul II”, “inspiré par le diable et au service de la Maçonnerie”, “n’est pas catholique”. En 2014, ce même Jean-Paul II a été “canonisé” par François.
Sur quels arguments se fondait Mgr Lefebvre pour refuser sa communion avec cette église conciliaire ? Comment ses héritiers ont-ils poursuivi son combat ?
Comment l’autorité suprême de l’Église pourrait-elle répandre un enseignement défaillant, une liturgie bâtarde, des saints scandaleux et des lois dangereuses ?
Saint Matthieu, Saint Pierre et Saint Jean parlent d’un soleil noir à la fin des temps. Que peut bien signifier cette éclipse solaire ? Comment concilier l’heure des ténèbres annoncée par l’Écriture et la victoire promise par le Christ et annoncée dans l’Apocalypse de saint Jean ?
C’est à ces questions fondamentales que l’ouvrage tentera de répondre en donnant un éclairage tout à la fois conforme aux faits de la réalité et à la vérité de la parole révélée.
Cet essai contient la totalité des articles, revus, corrigés et augmentés, de l’étude de M. l’abbé Olivier Rioult sur la secte conciliaire, le Lefebvrisme et l’Église romaine.
L’apothéose humaine
par Mr l’abbé Olivier Rioult
Une idole au cœur du mythe de la modernité
“Au son de la fanfare démocratique et dans un tintamarre assourdissant, l’homme, enivré de ses Droits, s’est donné une nouvelle loi digne de sa personne.
Sa volonté s’est déclarée souveraine.
Ceci a été proclamé à la majorité et gravé pour la postérité.
Mais pour arriver à ce couronnement et à cette élévation qui lui valent désormais les honneurs divins, l’homme a dû tuer son être intérieur, il a dû étouffer et sa raison et sa conscience.
Cette prétention et ce pouvoir nouveaux sont les signes d’une mort certaine : celle de l’âme.” »
Dans cet essai solidement documenté, l’abbé Olivier Rioult touche aux domaines politique, philosophique et religieux pour étudier et dénoncer la triste réalité de notre époque.
Il explique comment le monde moderne, dirigé par la trinité idolâtrique « Liberté – Égalité – Fraternité », va vers le chaos.
Les courts et synthétiques chapitres de ce livre se proposent comme autant « d’armes efficaces pour comprendre et abattre cette vaine et monstrueuse idole »
Du mépris de la mort – Ecrits sur la mort, la sépulture, le deuil.
Présentés par Mr l’abbé Olivier rioult
Ce petit recueil de philosophie et de théologie devrait être remboursé par la Sécurité Sociale tant les enseignements qu’il contient sont nécessaires à la santé psychique des hommes.
Au fil des pages, le lecteur se libérera du tabou pathogène moderne. Il saisira peu à peu que non seulement la mort n’est pas à craindre mais qu’elle est à accepter et qu’elle devrait même être désirée, comme une fleur désire son fruit…
La mort est le grand tabou de notre époque qui, par une loi non écrite, a jeté son interdit sur elle. Car si le monde techno-industriel sait prolonger la vie des malades, il ne sait pas les aider à mourir.
La majorité des hommes craignent la mort comme le plus grand des maux. Mais n’est-ce pas là une peur irrationnelle semblable à celle de l’enfant qui juge de la bonté des choses selon son plaisir ou son déplaisir ? N’est-ce pas parce que nous sommes habitués à vivre dans l’obscurité que nous craignons de la quitter pour une lumière inconnue ? Comment concilier la nécessité de mourir et ce désir de notre nature qui nous pousse à souhaiter vivre éternellement ? L’idéologie humaniste et matérialiste comme la culture hédoniste et scientiste sont radicalement incapables de nous dire la raison de la mort, ni ce qui arrivera après elle.
Il est donc bon d’enfreindre l’interdit en redonnant la parole à ces hommes qui, par le passé, ont parlé de la mort avec justesse : Démétrios Kydonès, savant laïc grec du XIVe siècle ; saint Augustin, Père latin du IVe siècle ; saint Thomas, docteur commun de l’Église du XIIIe siècle et saint Grégoire de Nysse, Père grec du IVe siècle.
Communion & anathème
par Mr l’Abbé Olivier Rioult
Le 29 mai 2014, devant le mur des lamentations à Jérusalem, François et ses amis, le rabbin Abraham Skorka et l’imam Omar Abboud, se donnaient l’accolade…
L’union sacrée des religions, par le dialogue et pour la paix, est, aux yeux de certains, un projet digne de l’Evangile car l’intolérance est un vice et l’exclusion de l’autre une faute. Pour d’autres, c’est tout le contraire : L’union des religions est sacrilège et monstrueuse car l’intolérance découle d’une nécessité divine et l’exclusion de l’autre est un devoir de la communion catholique.
Pour résoudre ce dilemme, il faut se demander si la notion de communion est une notion vide de sens ou une vérité pleine d’exigence et pour cela savoir jusqu’où doit aller notre amour de Dieu qui est Vérité ?
Dans une première partie, la présente étude s’attachera à prouver que l’amour de la vérité se mesure à la haine de l’erreur, se fondant pour cela sur les saints Evangiles, les saints Docteurs de l’Église et de sérieux auteurs catholiques.
Dans une deuxième partie, elle constatera, par simple comparaison entre l’enseignement passé et présent, que depuis Vatican II, le pasteur s’est fait loup sous peau de brebis. Se posera alors une nouvelle et dramatique question : La brebis catholique peut-elle se dire en communion avec un “pasteur” ami de tous les ennemis de l’Église ?
La troisième partie conclura selon les exigences évangéliques en se fondant sur la charité parfaite qui inclut nécessairement l’exclusion de tout ce qui contredit le bien divin.
Le tout sera complété par quatre annexes abordant : – l’étrange magistère de François, – sa complaisance pour le vice contre-nature, – sa dépréciation de la virginité – le devoir catholique face aux hétérodoxes.
Ce livre sera particulièrement utile à ceux qui se demandent si il est légitime de chercher ou d’accepter un accord juridique et une reconnaissance canonique de la part de Rome et dans quelle mesure une pleine communion avec la Rome actuelle ne serait pas tout aussi contre-nature que l’amicale accolade que François a donnée à ses amis devant le mur des lamentations… »
La double multiplication des pains
par Mr l’abbé O. Rioult
Les Évangiles rapportent que Jésus fit une première multiplication de cinq pains pour nourrir cinq mille personnes et une deuxième avec sept pains pour quatre mille personnes.
Les mêmes Évangiles rapportent que, constatant l’inintelligence des apôtres face aux mystères qu’Il venait d’accomplir, Jésus leur fit ces reproches :
« Votre cœur est-il aveuglé ? Ne comprenez-vous pas encore ? »
Deux mille ans après, notre cœur est-il plus clairvoyant ? Avons-nous vraiment compris ce que le divin Maître a fait et pourquoi il l’avait fait ?
Le présent opuscule espère venir en aide aux intelligences de bonne volonté en leur dévoilant, à la suite des Pères de l’Église, la beauté, la bonté et la sagesse cachées dans ces deux divines multiplications. Car comme le remarquait saint Augustin :
« Dès lors, en effet, que le Christ est le Verbe de Dieu, son action même est pour nous une véritable parole. Puisque ce miracle, dont nous avons entendu le récit, nous paraît si grand, cherchons à en saisir l’étonnante signification. Ne nous arrêtons pas à sa surface, essayons d’en mesurer la profondeur, car le prodige extérieur que nous admirons
a une signification cachée et mystérieuse. Si nous apercevions, quelque part, une belle écriture, nous ne nous bornerions pas à louer le talent de l’écrivain, qui aurait tracé des lettres si belles, à tel point égales, et pareilles les unes aux autres ; nous les lirions aussi pour en connaître le sens. Ainsi doit-il en être de cet événement qui nous apparaît si merveilleux. »
JEAN XXIII & VATICAN II SOUS LES FEUX DE LA PENTECÔTE LUCIFÉRIENNE
Écrit en janvier 1985, par les demoiselles Lebaindre (docteur en théologie) et Grandjean, ce texte, malheureusement, n’a circulé que dans un milieu restreint. Depuis, la réflexion sur l’événement du ‘Concile’ a beaucoup avancé et de nombreux documents nous ont permis de mieux comprendre ce qui s’est passé.
Monseigneur Tissier de Maillerais, dans son discours fameux des ordinations du 27 juin 2002 à Écône, a le mieux synthétisé l’affaire du ‘Concile’, qui se résume ainsi :
« une secte gnostique a éclipsé l’Église, usurpant tout, pour imposer une nouvelle religion. »
Oui, il s’est passé quelque chose de très très grave au début du ‘Concile’. Et comme ce document l’explique et le prouve, Dieu a permis par une juste justice que tous soient aveuglés. Vatican II est un châtiment, châtiment des péchés des clercs qui, depuis la mort de saint Pie X, ne croyaient plus au démon, ne savaient plus ses projets, ne combattaient plus ses troupes, ne veillaient plus, laissaient l’erreur tout envahir, édulcoraient la vérité, dormant paisiblement pendant que les ennemis investissaient la maison. La conséquence fut terrible : Dieu permit que TOUS apostasient et une hiérarchie parallèle gnostique imposa son pouvoir avec insolence, violence, détruisant tout.
Ils étaient docteurs en Vérité, ils connaissaient la vérité, ils l’avaient enseignée, et pourtant !…
L’ÉGLISE EST ÉCLIPSÉE
par Louis Hubert Rémy

Pourquoi la Très Sainte Vierge Marie a-t-elle choisi cet adjectif ? Qu’est-ce qu’une éclipse ? Quelles leçons en tirer ?
Cette brochure a permis à beaucoup de comprendre la crise de l’Église.
Il y a deux astres (astre : corps céleste). L’un est éclipsé. L’autre éclipse. Ce sont deux astres, deux corps célestes différents. La très Sainte Vierge Marie nous dit que l’astre qui est éclipsé est la Sainte Église. La Sainte Église est la société de tous les chrétiens unis par la profession d’une même Foi : la doctrine du Christ, l’observation de Sa Loi, l’usage de Ses Sacrements, et la soumission aux pasteurs légitimes qui sont le pape et les évêques de sa communion. Les quatre notes de la Sainte Église sont l’Unité, l’Apostolicité, la Sainteté, la Catholicité. Elle est composée de l’Église Militante, Souffrante et Triomphante. Donc l’astre qui éclipse n’est pas la Sainte Église. C’est autre chose, c’est un autre corps céleste. Comme il est un autre astre, il ne peut émaner de la Sainte Église qui est UNE. La secte conciliaire n’est pas une, n’est pas sainte, n’est plus apostolique , n’est pas catholique.
La Vocation et la Mission de la France
d’après Dom Guéranger
Parmi les hommes d’Église qui de notre temps se sont le plus distingués par leur religion, leur zèle, leur science et leur habileté à faire progresser les intérêts catholiques, on doit inscrire à juste titre notre cher fils Prosper Guéranger, abbé de Saint-Pierre de Solesmes et supérieur général des Bénédictins de France.
Doué d’un puissant génie, possédant une merveilleuse érudition et une science approfondie des règles canoniques, il s’est appliqué, pendant tout le cours de sa longue vie, à défendre courageusement, dans des écrits de la plus haute valeur, la doctrine de l’Église catholique et les prérogatives du Pontife Romain, brisant les efforts et réfutant les erreurs de ceux qui les combattaient.
PIE IX, PAPE.
Bref Ecclesiasticis viris
À propos du Cardinal Rampolla
suite du livre d’Henri Barbier, Le réseau Rampolla.
Le livre d’Henri Barbier sur Le réseau Rampolla a permis de soulever une sérieuse et grave polémique : Le cardinal Rampolla est-il franc-maçon ? et donc un des principaux responsables de la révolution conciliaire ?
Ce livre a mérité un essai de réfutation par l’abbé Ricossa. Louis-Hubert Remy redonne les articles des pour et contre et surtout démonte la méthode habituelle de l’abbé Ricossa : supprimer les documents qui le gênent. Il n’en sort pas grandi. Qui est cet abbé Ricossa ?
LOUIS-HUBERT REMY
Le livre d’Henri Barbier sur Le réseau Rampolla a permis de soulever une sérieuse et grave polémique : Le cardinal Rampolla est-il franc-maçon ? et donc un des principaux responsables de la révolution conciliaire ?
Henri Barbier, en nous faisant découvrir les confidences de Marc Winckler, en 1977 et 1982, nous en donné la preuve :
« Le lobby qui avait cru au début du siècle réussir son coup avec le Cardinal Rampolla, c’est-à-dire hisser l’un des siens au sommet de l’Église pour la remodeler à sa propre image, ce groupe de pression n’avait pas désarmé.
…grâce à celui qui réussirait là où le Cardinal Rampolla eut le malheur d’échouer…
Toute la destruction qui a suivi, n’est pas le fait du hasard. Il a fallu un plan, des troupes, dissimulées sous un extérieur inattaquable, mais bien satanique, pour arriver à ce but diabolique : détruire la sainte Église de l’intérieur.
Et ce fut, pour Henri Barbier, le début d’une recherche obstinée avec pour but final de démontrer que le “concile” Vatican II (d’Eux) fut une énorme escroquerie ayant pour but : l’éclipse de la sainte Église par des clercs héritiers de Rampolla, ce qui l’amena à faire un travail de recherche exceptionnel, d’où 668 pages et 780 notes. Lisant plusieurs langues, il découvrit des documents inconnus dans différents pays et différentes langues. Il s’appuya surtout sur les travaux de Félix Causa dans la revue Sous la Bannière.
Félix Causas, le premier, fort des confidences de Marc Winckler, du Marquis de La Franquerie, de Félix Lacointa, Jean Vaquié, etc… et fort de découvertes livresques sur cette volonté de substituer à la sainte Église, une secte qui devait tout changer pour tout détruire, partit en guerre contre ces ennemis (en 2005). D’abord repérer leurs œuvres, puis essayer de remonter au vrai réseau des chefs destructeurs. Un vrai travail de police à l’affut du moindre indice et dans un second temps, un travail de réflexion pour bien comprendre le but et les moyens pour y arriver.
À sa grande surprise, étonnamment, un clerc dont nous admirions le savoir et le courage, partit aussitôt en guerre contre Félix Causas, puis contre Henri Barbier. Il s’agit de l’abbé Ricossa.
Voici donc cher lecteur, les documents complets. À vous de choisir et d’en tirer les conclusions.
DE LA PASSION DE NOTRE-SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST À LA PASSION DE L’ÉGLISE
par Louis Hubert Rémy, préfacé par Pierre Hillard
Fondateur des Amis du Christ Roy de France, Louis-Hubert Remy, Catholique Semper Idem (Catholique toujours le même) devient maintenant un des rares qui ont été élevés dans l’Église en ordre. Il a connu tous les combats, toutes les trahisons, en a beaucoup souffert, mais est resté fidèle à la Foi de toujours.
Dieu ne change pas. La sainte Église Catholique ne peut ni se tromper, ni nous tromper.
Une nouvelle épreuve se présente. Elle risque d’être très grave : c’est la Passion de l’Église ; mais on ne peut la comprendre qu’après avoir médité sur la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ. La Passion de l’Église sera terrible avec le même but et les mêmes bourreaux. Hier rendre odieux notre Sauveur, demain rendre odieuse Sa Sainte Église.
Le motif : le péché abominable de sodomie dans l’église. Il est temps de voir et de ne pas se tromper. Un énorme procès se prépare.
Il est déjà très avancé aux États-Unis et les condamnations sont terribles.
Ce n’est qu’un début. Il est donc temps de comprendre pourquoi : saint Paul l’explique dans Rom. I, 18-32.
Préface de Pierre Hillard
La lecture du livre de Louis-Hubert Remy peut heurter de nombreuses personnes. Cependant, elle pourra aussi provoquer un choc salutaire et réveiller les consciences.
DOSSIER sur « LA TRIPLE DONATION » LE PLUS GRAND ÉVÉNEMENT DE L’HISTOIRE DE FRANCE
par Louis Hubert Rémy
Président des Amis du Christ Roi de France et passionné de sainte Jehanne d’Arc, Louis-Hubert Remy donne dans cet ouvrage les documents in extenso de la « Triple donation ».
Lorsqu’en 2012, pour l’anniversaire du 6° centenaire de la naissance de sainte Jeanne d’Arc, nous écrivîmes l’ouvrage «LA VRAIE MISSION DE SAINTE JEANNE D’ARC : Jésus-Christ Roy de France» ce fut pour beaucoup une découverte qui changea la connaissance du message et de la mission de sainte Jeanne d’Arc.
Si aujourd’hui nous revenons sur ce sujet c’est que des “spécialistes” de Jeanne ont essayé de passer sous silence cet événement si important pour la France et le monde, et ont osé écrire : « …elle aurait eu lieu le 21 juin 1429, …le récit aurait été le suivant » ! ! !
JEANNE D’ARC TERTIAIRE DE SAINT FRANÇOIS
par Céline BESSONNET-FAVRE
Membre du Tiers-Ordre
Ouvrage approuvé par Monseigneur l’Évêque de Saint-Dié le 10 octobre 1896
Cet ouvrage, inconnu à ce jour, s’appuie sur les travaux de plusieurs auteurs notamment : du R. P. Grèzes sur Jeanne d’Arc franciscaine, mais surtout du R. P. de Barenton qui, sous le même titre, a des écrits complémentaires à celui du R. P. Grèzes. (Les brochures du R.P. Grèzes et du R.P. de Barenton ont été éditées sous le titre Jeanne d’Arc franciscaine.)
En particulier il raconte que sainte Colette rendait visite régulièrement aux parents de Jeanne, Tertiaires du Tiers-Ordre.
À la naissance de Jeanne, sainte Colette leur offrit l’anneau (que l’on dit donné par le Ciel) dont Jeanne hérita à sa majorité à douze ans.
Le R. P. de Barenton, renvoie au livre de Thomas Friard, « La vie des Saints » (1647). Dans une note il précise :
« Nous n’avons pu trouver cette « Vie des Saints » de Friard pour consulter le texte lui-même. Mais nous avons le témoignage de Mme Bessonnet-Favre dans son bel ouvrage « Jeanne d’Arc tertiaire de saint François ». Elle cite Friard d’après son édition de 1627 ; et, consultée par nous, elle a bien voulu nous confirmer qu’elle avait bien puisé ce témoignage dans la « Vie des saints » de Thomas Friard, édition de 1627, consultée par elle à Poitiers, à la « Vie de sainte Colette », au 6 mars ».
Cet ouvrage mérite une lecture attentive. Mme Bessonnet-Favre n’a pas eu connaissance des travaux du R. P. Ayroles (1828-1921), qu’elle ne cite pas dans sa bibliographie. Rappelons que le R. P. Ayroles a dirigé la commission de béatification de Jeanne et écrit la « somme » sur sainte Jeanne d’Arc. Il précise que, lors de la visite de Jeanne à Chinon, le futur Charles VII refusa d’accéder à sa demande de donner le Royaume à N-S J-C. C’est le R. P. Théotime de Saint-Just, qui nous en précisera la date : 21 juin 1429 à 16h. Or à cette date Jeanne était à Saint-Benoit-sur-Loire.
Dans ce livre, on appréciera l’importance bien comprise de la triple donation et des leçons à en tirer. En ce sens l’ouvrage est très actuel, et il mérite une lecture attentive.
On comprend pourquoi le R. P. de Barenton a parlé de bel ouvrage : c’est pour avoir démontré le rôle, joué par le Tiers-Ordre franciscain, et pour Jeanne d’Arc, et pour les évènements qu’elle a vécus. En ce sens ce livre est nouveau et éclaire un aspect méconnu des biographies de sainte Jeanne d’Arc. Nous laissons à de meilleurs spécialistes le soin d’approfondir le sujet de la thèse franciscaine.
La vraie mission de sainte Jehanne d’Arc : le Christ Roi de France
par Louis-Hubert et Marie-Christine REMY
Le plus important fait de l’Histoire de France.
L’histoire et les leçons de la “Triple Donation” du royaume de France, le mardi 21 juin 1429 à Saint-Benoît-sur-Loire. Suivies d’un Thesaurus.
Il est Roi de France, Il est notre Roi, nous voulons qu’Il règne sur nous.
4è édition, 400 pages. Édition en cahiers reliés cousus, couverture souple pelliculée avec rabats
On croit tout savoir sur sainte Jehanne d’Arc… Et si on n’avait pas compris la raison fondamentale de sa mission ?
Saviez-vous que Jehanne fut Reine de France ? Un acte solennel, connu de tous les historiens, en témoigne. Mais depuis 600 ans, on n’en a pas tiré toutes les conclusions.
Le règne de Jehanne fut bref.
Si bref fut-il, le seul acte qu’elle accomplit est capital pour la France, la Chrétienté et le monde.
Un historien de Jehanne, le plus grand certainement, le R.P. Ayroles, S.J., l’avait compris. On s’est acharné à occulter ses travaux et à détruire sa réputation, pour enfouir sous une chape de plomb cet événement capital.
L-H et M-C Remy ont travaillé plus de dix ans sur ce sujet, à Orléans, Paris, Rome (Archives secrètes du Vatican), en Écosse, etc.
600 ans après la naissance de sainte Jehanne d’Arc, ils vous font partager leur découverte et leurs réflexions dont il ressort un message capital pour notre temps.
Sainte Jehanne d’Arc a bien une mission posthume, mission essentielle pour la résurrection de la France.
LE GRAND MOYEN DE LA PRIÈRE
par Saint Alphonse-Marie de Liguori
Docteur de l’Église catholique – Traduction du R. P. LUPI, c. Ss. R
pour obtenir le salut éternel et toutes les grâces que nous désirons de Dieu.
ŒUVRE THÉOLOGIQUE ET ASCÉTIQUE de grande utilité pour toute catégorie de personnes
« J’ai fait paraître divers ouvrages de spiritualité. Mais j’estime n’avoir rien composé de plus utile que ce petit livre où je parle de la prière, moyen indispensable et sûr d’obtenir le salut éternel et toutes les grâces dont nous avons besoin. Je n’en ai pas la possibilité, mais si je le pouvais, je voudrais imprimer autant d’exemplaires de ce livre qu’il se trouve de fidèles vivants sur la terre et les distribuer à chacun d’eux, afin que tous comprennent la nécessité où nous sommes tous de prier pour nous sauver. »
Voici les premiers mots du livre de saint Alphonse de Liguori, tellement enthousiaste dans l’utilité de son ouvrage. Et il est vrai que si quelqu’un se pose des questions sur la prière, son utilité, son efficacité, il y trouvera les réponses à ses interrogations.
Le livre original est en deux parties, d’intérêt inégal. La première partie est fondamentale et utile à tous. Dans la seconde, on retrouve l’Avocat qu’était saint Alphonse et qui défend la prière contre les attaques de son temps. Parfois un peu rébarbative, cette seconde partie représente néanmoins un travail de qualité.
Nous ne publions donc dans ce petit livret — d’un format pratique pour le garder en poche — que la première partie, fondamentale et utile à tous. La seconde, où l’on retrouvait l’Avocat qu’était saint Alphonse pour défendre la prière contre les attaques de son temps, vraiment rébarbative, n’a pas son objet dans le présent livret. Tout en représentant néanmoins un travail de qualité de ce grand saint.
Saint Alphonse de Liguori (1696-1787), Docteur de l’Église, a publié Le Grand Moyen de la Prière, à Naples, en 1759. L’ouvrage a connu un grand succès : plus de 240 éditions à ce jour.
Le chrétien au combat pour le règne de Dieu
Par le cardinal Pie
« “L’Église, société sans doute toujours visible, sera de plus en plus ramenée à des proportions simplement individuelles et domestiques.” Si cette phrase du cardinal Pie qui date de 1859 est fameuse, l’homélie qui l’a produite l’est beaucoup moins. Il convenait de la faire connaître.
Une autre raison nous pousse à nous intéresser plus particulièrement au cardinal Pie, car selon le cardinal Billot, « dans la pléiade d’hommes vraiment remarquables qui illustrèrent la religion, nul assurément n’était plus digne des honneurs que le grand évêque que fut le cardinal Pie ; nul dont le souvenir pût être ravivé avec plus d’à propos et de profit ; nul dont les gestes, les œuvres, les écrits nous puissent plus sûrement guider à travers les ténèbres de l’heure présente.”
La réception des reliques de saint Émilien et la béati cation de Benoît-Joseph Labre vont donner l’occasion au cardinal Pie de prêcher avec sa profondeur habituelle sur la prière du Notre Père qui renferme « tout le programme et tout l’esprit du christianisme”.
À l’école du mystique et de l’homme de doctrine, nous comprendrons mieux comment le Pater Noster, prière par excellence, est aussi un programme d’action politique pour œuvrer au règne de Dieu sur la terre.