Dédarwinisez vous – Les datations radioactives sont-elles des FAITS ?

Les datations radioactives sont-elles des FAITS ?

La réponse est bien entendu NON.

Les faits dont nous disposons sont les taux de désintégration radioactive existant actuellement et les concentrations en isotopes des échantillons que nous souhaitons dater.
Le reste est de l’ordre de l’interprétation, les calculs de datation ne sont pas des FAITS mais une interprétation des faits.

Cette interprétation des faits repose sur des hypothèses non démontrées. En effet, tout calcul géochronométrique est fondé sur les hypothèses suivantes:
1. Taux constant du processus (ou variation fonctionnelle connue du taux de transformation).
2. Système fermé (ou effets externes connus sur le système ouvert).
3. Composants initiaux du processus connus.

Il est intéressant de signaler que pas une seule de ces hypothèses n’est prouvée. On suppose que le taux de désintégration soit resté constant, or trois physiciens ont prétendu dans un article de 2016 voir des variations cycliques dans les taux de désintégration bêta de deux éléments corrélés au flux de neutrinos solaire: http://link.springer.com/article/10.1007/s11207-016-1008-9. Et les taux de désintégration ont été augmentés en laboratoire par des facteurs de milliards de fois: http://creation.com/billion-fold-acceleration-of-radioactiv…
Il est significatif que pas une seule de ces trois hypothèses vitales n’est prouvable ou vérifiable. Par conséquent, aucun calcul géochronométriques ne peut être considéré comme un FAIT irréfutable.

On peut utiliser l’image d’une horloge, on sait à quelle vitesse l’aiguille tourne aujourd’hui et où se situe l’aiguille aujourd’hui mais on ne sait pas d’où elle est partie, si elles a toujours tourné à la même vitesse ou si quelqu’un ne se serait pas amusé à bouger les aiguilles (car de nombreux évènements peuvent venir troubler cette désintégration radioactive).

Les datations radioactives ne sont donc je le répète pas des FAITS mais des INTERPRETATIONS DE FAITS.

https://link.springer.com/article/10.1007/s11207-016-1008-9

Leocatho

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