LES CRAPULES POLITIQUES ET MACONNIQUES S’ENGRAISSENT SUR DES TESTS FAUSSES (Laurent Glauzy)

Pour la première fois, les responsables des services de microbiologie qui réalisent des analyses sur écouvillons avouent être contraints d’augmenter la charge virale afin d’identifier le virus qui, sinon, se retrouverait dans un pourcentage négligeable !

C’est ce qu’a déclaré le Dr Roberto Rigoli, chef du service de microbiologie de Trévise, ayant coordonné une recherche avec des collègues de Mestre (Vénétie) et de Vérone. « Sur 60 000 écouvillons réalisés depuis le 1er juin 2020, en Vénétie, seuls 3 ont enregistré une quantité importante de virus. Mais, même ces trois personnes infectées par le Covid-19 n’ont développé que des symptômes bénins et aucune n’a été atteinte par une pneumologie ou à une réanimation ». En d’autres termes, la présence du virus a disparu.

Alors, à quoi servent les tampons si ce n’est qu’à enrichir les lobbys ? La logique des tampons : 60 000 écouvillons, 210 positifs, 199 très modestement et n’étaient probablement pas contagieux, 11 positifs avec un signal clair, dont 4 asymptomatiques et 7 symptomatiques, 3 cas dans lesquels la charge virale est comparable à celle de la phase aiguë de l’épidémie. Oser qualifier cette politique de dépistage ou évoquer une stratégie de santé, est tout simplement hors de propos : 60 000 prélèvements dans une seule région pour trouver seulement trois personnes infectées par le Covid-19, qui n’ont développé que des symptômes bénins n’occasionnant aucune pneumologie et ne nécessitant une réanimation. (Cf. Il Coronavirus ormai si è spento. Per trovarlo si amplifica il segnale di positività (Le coronavirus est maintenant éteint. Pour le trouver, le signal de positivité est amplifié) ; site : Rovigooggi.it)

Et au niveau national, il serait alors pertinent de connaître les bénéfices colossaux des fabricants de tampons.  Combien de personnes sont assignées à résidence (quarantaine fiduciaire) pour un faux test ? Combien d’enfants rentrent de l’école pour une positivité fantôme ? Et combien de parents perdront leur emploi à cause de cette distorsion de la réalité ? L’élite politique et maçonnique qui nous dirige réalise de juteux intérêts grâce au Coronavirus, alors que nombreux sont les commerçants, les paysans qui se suicident.

En France, le principal fabricant de masque s’appelle Michaël Fribourg (La vérité si je mens Michaël !) Il est un homme du système qui a fondé le Groupe Familial Fribourg, actionnaire de contrôle de Colombus Holding, aux côtés d’investisseurs institutionnels de long terme. Michaël Fribourg a commencé sa carrière en cabinet ministériel auprès de Renaud Dutreil (2005-2006), alors ministre des PME et du Commerce, avant d’intégrer l’Inspection Générale des Finances, où il a conduit plusieurs missions de conseil auprès du gouvernement et de la Présidence de la République.

En 2011, il est devenu conseiller spécial du Ministre chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, dont il a codirigé le cabinet. Michaël Fribourg est un ancien élève de l’École Normale Supérieure, diplômé de l’IEP de Paris et ancien élève de l’ENA (promotion Willy Brandt), titulaire d’un DEA de philosophie et d’économie, ainsi que d’un Master d’humanités modernes. Il a été nommé en 2009 membre de l’Inspection Générale des Finances. Il est maître de conférences à Sciences-po Paris. (Cf. art. Le secret de la vente des masques, in : L. Glauzy & E. Chopin, Coronavirus, le mensonge, 2020) Cet article expose que le stock de masques a été vendu à la Chine, comme s’il fallait en organiser la pénurie pour laisser le temps au fabricant de réorienter son activité.

En Allemagne, expose le plus célèbre youtuber Olivier Janisch, réalisant des centaines de milliers de vues, et ayant fait ses armes dans la plus grande presse, il s’agit du même schéma, car la femme du ministre-président de Bavière Markus Söder travaillerait pour une société se graissant par la vente de masques. Pour la presse maçonnique, il s’agit bien entendu d’une rumeur, mais qu’elle relaye et tente de contrer sans argument, car cette dernière ne cesse d’enfler. Karin Baumüller-Söder est la fille de l’entrepreneur Günter Baumüller, une des plus grosses fortunes de Bavière. En effet, la présidente (pour la Bavière) du parti nationaliste allemand l’AfD (premier parti dans l’ancienne RDA) et membre du Bundestag Corinna Miazga a diffusé un dessin animé sur Twitter. On y voit deux personnes : à gauche, un jeune homme qui tousse ; des pièces de monnaie et des billets semblent tomber de sa bouche. Markus Söder est représenté à droite. Il rit, tenant dans sa main gauche un sac plein d’argent dans lequel tombent les pièces et les billets de l’homme qui tousse. La question est écrite en gros caractères sur la caricature: « Qui gagne de l’argent grâce à l’exigence du masque ? »

La député nationaliste Corinna Miazga

Deux détails sont importants dans l’image. Sur le sac plein d’argent, il est écrit « Baumüller-Söder », le nom de l’épouse de Söder, Karin Baumüller-Söder, directrice générale de l’entreprise de construction mécanique de Nuremberg Baumüller. Markus Söder a une visière faciale en plastique, un soi-disant écran facial, qui est principalement porté par le personnel médical qui traite les personnes atteintes de Covid 19. Dans le tweet, Corinna Miazga a lié un communiqué de presse de Baumüller mentionnant que le 29 avril la société a remis des écrans faciaux à un hôpital de Nuremberg, ville d’où est originaire Karin Baumüller-Söder !

Le bar de l’assemblée nationale ne semble pas soumis à la fermeture à 22h, il est ouvert toute la nuit. Le masque y est-il de rigueur ?

 

Réservez le prochain livre de Laurent Glauzy et d’Etienne Chopin qui paraît fin septembre : « Coronavirus, le mensonge », 200 pages, 25 € fco de port.

Renseignements : laurent-blancy@neuf.fr

paypal : laurent-blancy@neuf.fr

chèque à l’ordre de Laurent Glauzy (L. Glauzy – BP 25 – 91151 Etampes Cedex)

virement : FR17 2004 1000 0119 6720 4W02 027

 

5 Commentaires

Répondre à hubertAnnuler la réponse.