Comment les Français se sont fait et se font Dépouiller depuis 1848 : Fraude par le NOM. “Les Lois sont Promulguées par le Roi”. Vidéos.

Cette FRAUDE s’adresse également à TOUS LES PEUPLES. Il est important de comprendre de quelle manière nous sommes devenus des ESCLAVES d’un système qui nous a privé d’être des ETRES SOUVERAINS LIBRES QUE NOUS SOMMES.

Encore une Fois, c’est la Sainte Bible qui nous permet de comprendre comment nous sommes floués.

Tous les Patriarches n’ont qu’un Prénom et sont “Fils de” où “Natifs de”. Aucun patriarche n’a de NOM DE FAMILLE.

Si vous regardez votre déposition de naissance, (les mairies ne veulent plus les donner, et pour cause !) vous pourrez constater qu’il n’y a que votre ou vos prénoms d’inscrits et surtout en minuscule et non en MAJUSCULE et vous êtes “Fils de” ou “Fille de”.

C’est l’ETAT de chaque Nation qui colle à l’enfant un prénom en MAJUSCULE ainsi qu’un NOM DE FAMILLE également EN MAJUSCULE et UNE ADRESSE EN MAJUSCULE. Il devient ainsi une Entité, un Esclave a pouvoir être racketté.

L’enfant passe ainsi d’être souverain qu’il est à UN ESCLAVE DU SYSTEME QUI PEUT ETRE RACKETTE JUSQU’A SA MORT.

Et l’Esclave doit payer POUR TOUT par le CODE MARITIME des LOIS DU COMMERCE parce-qu’il est devenu UNE PERSONNE JURIDIQUE au lieu de rester et Demeurer un ETRE HUMAIN SOUVERAIN LIBRE.

L’Entité Juridique “L’ETAT” peut ainsi racketter a loisir depuis 1848 “l’Homme de Paille” qu’il a créé en se servant de notre naissance par LA FRAUDE DU NOM. D’où la nécessité de différencier ce que nous sommes, des Etres Humains Souverains à l’entité “homme de paille” que l’Etat nous colle à la naissance et qui n’est pas nous.

Les services étatiques s’adresseront Toujours à votre HOMME DE PAILLE et surement pas à vous QUI NE DEVEZ RIEN A PERSONNE et qui n’avez pas demandé à devoir payer des impôts, des assurances, l’eau, l’électricité, le gaz, l’école, des infractions à des lois frauduleuses, etc.

RIEN N’EST LEGITIME EN FRANCE DEPUIS 1848, IL EN EST DE MÊME DANS TOUTES LES NATIONS.

Maître Philippe Fortabat-Labatut :

“Les Lois sont promulguées par le Roi.”

Donald Trump, en abolissant LA CORPORATION “LA COURONNE” qui avait fait main basse sur toutes les Nations de l’Etat Amérique, vient de rendre à nouveau les Américains des ETRES HUMAINS SOUVERAINS en remettant la Vraie Constitution des Nations des Etats-Unis d’Amérique en Vigueur, la deuxième, antérieure à celle de 1871 instituée par “La Couronne” qui avait fait du Peuple : UN ENTITE COMMERCIALE A DEPOUILLER.


Le guide de l’Être souverain – 1ère partie 

Introduction 

Saviez-vous que pratiquement tous les gouvernements du monde opèrent dans un état de faillite ? 

Saviez-vous également que la plupart des gouvernements du monde sont des sociétés enregistrées au registre du commerce et qu’elles font du commerce pour le profit ? 

Aucune monnaie en circulation aujourd’hui (y compris le dollar et l’euro) n’est indexée sur une valeur quelconque et ne vaut donc que le papier sur lequel elle est imprimée (et encore !). 

Savez-vous qu’il n’en a pas toujours été ainsi ?Il fut un temps où vous pouviez aller à la banque et échanger vos Billets contre un montant égal en or ou en argent. (C’est de là que vient le nom, par exemple, de la Livre Sterling qui était autrefois liée à l’argent Sterling, en anglais Sterling silver). 

Saviez-vous que toute monnaie qui est mise en circulation dans un pays est créée par emprunt du gouvernement ? 

Et comme il s’agit d’un prêt, des intérêts sont naturellement ajoutés au capital initial. Donc, si tout l’argent (les billets de dette) est crée par emprunt avec les intérêts en sus, comment pouvons-nous obtenir l’argent pour rembourser le prêt quand l’argent des intérêts n’existe même pas (parce qu’il n’a pas encore été créé) ? 

En fait, la seule façon de rembourser les intérêts est d’emprunter encore plus d’argent.Voyez-vous comment cela mène à l’endettement perpétuel, aux saisies, à la faillite personnelle, à la récession, à la dépression, à la ruine et à la souffrance ? 

Ces facteurs font partie intégrante du système et ne peuvent être évités. Une petite recherche personnelle vous démontrera qu’en fait c’est de cette manière que fonctionne le système financier. N’est-on donc pas sidéré de constater que cela continue ? 

Comment peut-on payer une dette avec une autre dette ? 

Un enfant pourrait tout à fait se rendre compte que les comptes ne s’équilibrent pas ! Il n’y aucune raison pour que cela perdure…Savez-vous ce que les gouvernements utilisent comme nantissement pour obtenir ces prêts de la Réserve Fédérale, du FMI ou de la Banque Centrale Européenne ? Il ne reste aux gouvernements qu’une seule ressource à offrir comme nantissement et, ça, c’est NOUS ! Les hommes et les femmes vivant sur le territoire. Nous sommes réduits à l’état de Ressources Humaines pour acheter, vendre, faire de l’argent et payer les taxes. 

Nous sommes considérés comme des “marchandises”.Savez-vous que (dans la plupart des pays) les tribunaux opèrent sous la juridiction du Droit Maritime qui signifie littéralement “le Droit de la Mer” ou “Droit des Affaires” ?Savez-vous que des Statutsi ne s’appliquent à vous que si vous y consentez ?

Savez-vous que “Comprenez-vous les accusations portées contre vous ?” signifie “Vous soumettez-vous aux accusations portées contre vous ?” 

Ceci signifie que si vous tentez de reconnaître ce que vous dit le juge, cela veut dire que vous lui donnez inconsciemment juridiction sur vous ; et ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres des ruses utilisées contre vous pour obtenir votre consentement. (N’oubliez pas : vous avez le Droit d’être Libre !)

Êtes-vous conscients que ni les policiers, ni les avocats n’apprennent cela dans leurs écoles respectives ? 

DIEU (God) ou le Créateur, “Celui qui nous a créés” – nous faisant donc égaux à tous les hommes, souverains et sous la seule autorité de Dieu ou du Créateur. 

L’HUMANITÉ (Mankind) -Homme et Femme en possession d’un corps et d’une âme vivants. Libres d’exister en paix dans les limites de la Loi Naturelle/la Loi de Dieu en jouissant de tous les droits et des libertés protégés (plus sur les Droit plus loin). 

GOUVERNEMENT (Government) – Créé par l’Homme et la Femme : tout pouvoir et autorité d’un gouvernement est dérivé de ses créateurs (c’est-à-dire l’Homme et la Femme). Ils sont les représentants des Hommes et des Femmes et ont reçu l’autorité de gérer les affaires d’un pays selon la volonté populaire. 

LOIS ET STATUTS (Acts and Statutes) – Les gouvernement utilisent l’autorité qui leur a été concédée par les peuples pour édicter des règles qui régissent une société. Les Lois et les Statuts ont été créés par les Hommes et sont, par conséquent, en dessous de la Loi de Dieu/la Loi Naturelle. Étant donné que vous vous situez uniquement en-dessous de Dieu ou de “Tout ce qui Est”, vous devez consentir à ces règles pour qu’elles s’appliquent à vous. Le gouvernement présume qu’il vous représente dans la mesure où vous ne l’en avez pas informé autrement, et il présume votre consentement aux obligations et Lois Statutaires. 

PERSONNES (Persons) – Ce concept est difficile à saisir au début mais il est la clé de la compréhension du fonctionnement du système. L’Homme a créé le Gouvernement et, par conséquent, le Gouvernement est en-dessous de l’Homme et de la Femme. Donc, pour obtenir une autorité sur vous, il a dû créer une entité fictive connue sous le nom de “Personne”en jargon juridique (le langage du Barreau) et qu’on appelle aussi “Homme de Paille”, “Appellation Commerciale” et “Entité Légale”. 

 On reconnaît ceci par le fait que votre nom apparaît en LETTRES MAJUSCULES sur tous les documents produits par le Gouvernement, vos comptes bancaires, vos relevés et tous autres documents commerciaux officiels, ainsi que vos papiers d’identité. Vous êtes portés à croire que cette cet “Homme de Paille” ou cette “Personne” est VOUS dans la mesure où le nom est similaire, mais CE N’EST PAS VOUS. Il représente une entité commerciale/une fiction légale qui ne possède AUCUN DROIT. Et c’est seulement quand vous, l’Homme ou la Femme, acceptez d’être représentés par cet Homme de Paille que vous abandonnez vos droits (volontairement quoique inconsciemment). 

Précis de Droit 

Statuts / LégislationToute législation statutaire est basée sur des Contrats et on s’en réfère en tant que “Lois”. Vous trouverez sûrement intéressant de prendre note de la définition de “lois” dans le Dictionnaire Juridique Blackii : ‘Loi dans le droit’iii : « une loi qui vise à créer, transférer ou éteindre un droit et qui est rendue effective en droit dans ce but ; l’exercice d’un pouvoir juridique. » ‘Loi du droit’ : « la création, l’extinction ou le transfert d’un droit par une opération de la loi elle-même, sans aucun consentement des personnes visées. »

Le Droit Coutumier : On peut très facilement comprendre le Droit Coutumier par ce principe : “agis avec les autres comme tu voudrais qu’ils agissent avec toi.” Ceci revient à dire que, fondamentalement, les Droits d’un Homme finissent là où commencent ceux d’un autre. Le Droit Coutumier comprend les crimes tels que les blessures physiques, le vol, l’agression, la cause de pertes, le meurtre. C’est pour cette raison qu’on dit d’un meurtre qu’il est illicite et non illégal. 

Statuts / Législation  Un statut est un acte législatif d’une société. L’accord formel écrit qui régit un pays, un État, etc. et qui a “force de loi” ou “apparence de loi”. Une “valeur” monétaire lui est presque toujours associée. Ces lois sont contre l’Homme et restreignent ses libertés. Ce qui est légal : Le Droit Commercial, Le Droit Maritime, Le Droit de l’Offre et de la Demande, Le Droit de la Mer, Les crimes sans victimes. Droit Coutumier  La Loi non écrite de l’Homme ordinaire. Il naît directement du Moi Supérieur/de la Conscience/de l’Intuition. Des codes de conduite religieux, par exemple : les 10 Commandements. Se résume comme suit : « Ne fais de mal à personne. » Ces lois sont en faveur de l’Homme et le protègent. Ce qui est légitime : Le Droit de la Terre. Universel mondialement. Protège ceux dont les droits ont été enfreints. Meurtre, vol, etc. Crime avec victime. 
Le Droit BrehonLe Droit Brehonv est l’ancien et véritable droit d’Irlande. Il existe depuis aussi longtemps que nous et date de plusieurs millénaires. Le Droit Brehon est l’un des plus anciens systèmes juridiques comme l’ancien Droit Védique de l’Inde. Le Droit Brehon a existé jusque dans les années 1700 où il a été éradiqué par un envahisseur étranger et que des lois pénales très répressives lui ont été substituées. Quand l’Irlande est devenue indépendante, on ne sait pourquoi nous avons décidé de garder les systèmes juridique et financier britanniques qui sont toujours en vigueur aujourd’hui.Quand le système juridique Brehon avait cours, il n’existait pas de forces de police, de peine capitale, ni de système judiciaire tel que nous le connaissons aujourd’hui. C’étaient des institutions “inutiles” aux yeux de la population pacifique de ce territoire. Le Droit Brehon est la loi de l’Homme et est supérieur au Droit Coutumier à bien des égards. Le Droit Coutumier est, en fait, une juridiction étrangère et vous êtes en droit de revendiquer le Droit Brehonvi ! Vous êtes encouragés à poursuivre vos recherches et des informations supplémentaires sont données à la fin de cet ouvrage.  

Connaissez vos Droits…“Connaissez vos droits” est une expression que nous avons entendue notre vie durant… mais pourquoi est-elle si importante ? Si vous ne savez pas de quels droits vous êtes dotés, comment pouvez-vous les exercer ? Si vous ne savez pas ce que vous êtes libres de faire et ce à quoi vous avez droit, comment pouvez-vous être libres ? De plus, comment pouvez-vous vous protéger quand vos droits sont bafoués si vous n’êtes même pas conscients de ce qui se passe ?Apprendre ce qui concerne vos droits est très responsabilisant et une fois que vous comprenez vos Véritables Libertés dont vous avez été dotés à la naissance, sans distinction de race, de religion ou de croyance, vous aurez le désir d’exercer et de défendre ces libertés.« L’injustice quelque part est une menace pour la justice partout. » Martin Luther King 

Quelques-uns de vos Droits… 

  • Vous êtes nés égaux et libres (et l’égalité devant la loi est primordiale). 
  • Vous avez droit à la Vie, à la Liberté et à la Sécurité. 
  • Vous avez le droit d’être jugés devant vos pairs. 
  • Vous avez droit à votre intégrité physique. 
  • Vous avez le droit de voyager librement. 
  • Vous avez droit à la liberté d’expression. 
  • Vous avez le droit de réunion. 
  • Vous avez le droit d’association. 
  • Vous avez droit à la liberté de religion. 
  • Vous avez les droits familiaux. 
  • Vous avez droit à la vie privée. 

Constitution irlandaise, article 41.1.1 :« L’État reconnaît que la famille est l’élément de base fondamental de la société selon la Nature, et qu’elle est une institution morale possédant des droits imprescriptibles et invincibles plus anciens et supérieurs à tout autre statut créé par l’homme. » Note : Cet extrait est tiré du document originel de la Constitution qui a été traduit en anglais. La différence entre l’original et les traductions modernes est notable. 

 
Petit Guide de la “Personne” 

La première chose à comprendre en abordant ce concept, c’est que vous n’êtes PAS une personne ! 
Vous AVEZ une personneUne personne n’est pas un Homme ou une Femme, c’est une entité légale similaire à une corporation et elle est utilisée pour tous vos documents commerciaux, administratifs et financiers.La PersonneUne corporation traitée comme ayant les droits et obligations d’une personne. Des pays et des villes peuvent être traités comme une personne de la même manière qu’une corporation. Cependant, les corporations, les pays et les villes ne peuvent avoir des émotions humaines telles que la malice, et par conséquent ne peuvent être responsables de dommages punitifs à moins qu’il existe un statut autorisant l’octroi de dommages-intérêts punitifs.Voici quelques points à noter relatifs à la “Personne” : 

  • La Personne est aussi appelée Entité Légale, Homme de Paille, Entité Fictive ou Raison Sociale. 
  • La Personne nécessite que vous, l’Homme et la Femme de chair et de sang, la représentiez dans ses affaires ; et, de plus, l’État/le Gouvernement (également des entités légales fictives, c’est-à-dire qui ne sont pas de chair et de sang) ne peuvent appliquer la législation qu’à cette Personne quand vous donnez votre accord et acceptez de la représenter. 
  • La Personne ou Homme de Paille a été créé par l’État dans lequel vous êtes né sur du papier Bondvii peu après votre naissance. Votre naissance a été déclarée, ce qui a effectivement cédé l’autorité et la propriété à l’État par écrit. C’est de cette façon que l’État peut revendiquer l’enlèvement de vos enfants (sa propriété) s’il estime que vous ne vous en occupez pas à sa satisfaction. 
  • Comme le Gouvernement/le pays fonctionne en mode faillite, il NOUS utilise, l’âme vivante, en tant que nantissement et fait des prêts sur le dos de cette Obligation (créée à la naissance). Cela est dû aux prévisions que nous produirons un revenu dans notre vie, que nous travaillerons et paierons des impôts, ce qui contribue à la dette nationale. L’acte de naissance est la preuve de l’obligation car il est imprimé sur du papier Bond. 
  • L’Homme de paille n’a ni cœur ni âme. Récupérez votre pouvoir en agissant et en vivant à partir des vôtres ! Déclarez votre souveraineté et soyez libres ! Récupérez votre homme de paille pour accéder à votre souscription d’obligation et au crédit auquel vous avez droit. 
  • Votre Numéro de Service Public Personnel (PPS Number) équivaut à un numéro d’employé. Vous travaillez pour l’État et aussi longtemps que vous travaillerez pour cette société, vous serez soumis à ses règles (ses Statuts) qui s’appliquent à ces employés/Personnes. 

La Société« Une société est un groupe de Personnes rassemblées par consentement mutuel. » (Black’s Law Dictionary).Prenez bien note de cette définition juridique de société et que les Personnes se rassemblent par consentement. Donc, si vous n’êtes pas content de la gestion des affaires, ou si vous en avez marre de l’injustice, vous pouvez y réagir… 

Précis de Jargon Juridique (le langage du Barreau) : Ce que la plupart des gens ne réalisent pas c’est qu’il y a un tout autre langage utilisé dans nos affaires de tous les jours. C’est le langage du Barreau ou “jargon juridique”. Vous voyez, n’importe quelle société peut avoir ses propres langage et jeu de règles, mais si vous ne comprenez pas ce langage comment pouvez-vous comprendre ce qui vous est demandé ? La Personne, Une corporation traitée comme ayant les droits et obligations d’une personne. Des pays et des villes peuvent être traités comme une personne de la même manière qu’une corporation. Cependant, les corporations, les pays et les villes ne peuvent avoir des émotions humaines telles que la malice, et par conséquent ne peuvent être responsables de dommages punitifs à moins qu’il existe un statut autorisant l’octroi de dommages-intérêts punitifs. La Société :

  • Une société est un groupe de Personnes rassemblées par consentement mutuel. 
  • Une société est soit enregistrée au registre du commerce, et donc juridiquement connue, ou alors elle n’est pas enregistrée et reste inconnue juridiquement. 
  • ‘Société Civile’ a généralement une connotation d’État, de nation ou de corps politique. En Droit Civil, société signifie partenariat. 

Le Statut 

  • Une loi votée par la branche législative de l’État. 
  • La loi d’une corporation ou de son fondateur en tant que règle permanente. 
  • Un instrument international qui fonde une agence et qui régule son envergure et son autorité. 

La Loi 

  1. Loi dans le droit. Une loi qui vise à créer, transférer ou éteindre un droit et qui est rendue effective en droit dans ce but ; l’exercice d’un pouvoir juridique. 
  1. Loi du droit. La création, l’extinction ou le transfert d’un droit par une opération de la loi elle-même, sans aucun consentement des personnes visées. 

L’Être Souverain 

  1. Un Être Souverain possède et jouit de tous ses droits civils et politiques sous un gouvernement libre. 
  1. Contraire d’un esclave. 

Les Gouvernements font-ils du commerce pour le profit ? 

  • Tous les Gouvernements et “institutions étatiques” sont enregistrés en tant que sociétés. On peut le vérifier en consultant le site internet de Dun & Bradstreet, une base de données contenant des centaines de milliers d’enregistrements de sociétés qui font du commerce pour le profit. (On peut même acheter les rapports de solvabilité de ses sociétés !). 
  • Quand une de ces sociétés tente de vous extorquer quelque chose ou de vous accuser, elles le fait selon la capacité de L’ENTREPRISE et selon le droit commercial (maritime ou statutaire). Elle ne peut appliquer ses revendications que sur l’Homme de Paille dans la mesure où ces lois ne s’appliquent qu’aux entreprises et non aux Hommes et aux Femmes. 
  • Elle s’arrange pour conclure un contrat avec vous par lequel vous acceptez et consentez (peut-être inconsciemment) à représenter votre Homme de Paille (ou société, ou raison sociale) sous un angle commercial. Ceci lui permet d’appliquer ses frais et revendications au travers de Statuts et de vous dépouiller de vos droits (plus sur les Contrats plus tard). 
  • Quel est le but de toute entreprise faisant commerce pour le profit ? Facile, son but est de faire de l’argent ! Et qu’ont toutes les entreprises ? Des actionnaires. Donc, qui pourraient bien être les actionnaires d’une entreprise nommée “GOUVERNEMENT D’IRLANDE” ? Vous l’avez deviné : les Hommes et les Femmes d’Irlande… et vous pouvez avoir accès au portfolio de vos actions à tout moment. Nous le Peuple, sommes les propriétaires de cette société alors que nous sommes traités comme des employés ! Nous sommes les patrons. 
  • Votre Numéro PPS équivaut à un numéro d’employé, et comme pour tout autre emploi, vous pouvez démissionner quand vous le voulez. Et aussitôt que vous êtes parti, les règles régissant la “Tenue au travail”, ou “Pas de boissons chaudes sur les bureaux”… ne s’appliquent plus à vous : vous êtes libres de toutes obligations. Vous n’êtes plus sous contrat ! En tant qu’Être Souverain sur le Territoire d’Irlande, vous jouissez de tous vos Droits et Libertés. Vous ne pouvez être tenu pour responsable des dettes de l’Homme de Paille ou de ses obligations statutaires. 

Ce qu’il faut se rappeler : nous contribuons tous à notre communauté par notre propre valeur et par nos efforts. Notre force de vie même, notre énergie, “ce que nous sommes” est la seule véritable valeur. Que l’on soit menuisier, enseignant, maçon, femme au foyer, docteur, artiste, poète ou autre, nous contribuons selon notre propre nature. Quel que soit le travail que nous réalisons, quel que soit ce que nous créons, quel que soit ce que nous faisons, nous le faisons les uns pour les autres et pour l’avancement de tous. Enlevez l’argent du tableau… et vous verrez que nous aurons toujours ce que nous avons toujours eu sauf l’avidité ! Par conséquent, cette dette d’argent ne devrait jamais être utilisée que quand nous n’avons rien d’autre à nous offrir les uns aux autres… et il se trouve que nous avons énormément à nous offrir les uns les autres : nos compétences, notre créativité, notre expérience, notre sagesse. Pouvez-vous mesurer à quel point nous avons été asservis à ce système monétaire basé sur la dette qui ne laisse à la plupart d’entre nous aucun choix que d’exercer des boulots vides de sens ? Sans parler du cas extrême de ceux qu’on laisse crever dans les pays dudit Tiers-Monde, du travail forcé des enfants, des innombrables sans abris et des familles qui grappillent de quoi subsister. Nous possédons suffisamment pour nourrir, habiller, éduquer et soigner CHAQUE HOMME, FEMME ET ENFANT. Si nous vivions dans un monde où tout ce dont nous avons besoin était gratuit, les Hommes et les Femmes seraient en mesure d’explorer leur plein potentiel et leur créativité. Qui sait quelles grandes découvertes seraient faites par l’esprit non entravé des Humains dans l’amour, la compassion et l’aventure ? 

Petit Guide des Contrats 

Un contrat est un accord entre deux parties ou plus qui crée des obligations opposables et reconnues par le droit. Pour être considéré comme légitime, un contrat doit avoir quatre critères : 

  • DIVULGATION TOTALE. Ceci signifie que les parties doivent être pleinement conscientes en concevant et en acceptant les détails et les termes du contrat. Les parties ne doivent avoir aucun doute, ni aucune confusion, quant aux termes établis dans le contrat. 
  • RÉMUNÉRATION. Cela peut être “ce qui est offert” dans l’accord. Elle donne aux parties le temps de peser ce qu’elles risquent de perdre ou ce qu’elles peuvent gagner par le contrat. 
  • CONDITIONS GÉNÉRALES. Elles exposent la structure et les critères de l’accord ainsi que les obligations de chacune et de toutes les parties impliquées. 
  • SIGNATURE. C’est la partie la plus importante du contrat et c’est la preuve que l’accord a été accepté. Elle implique également “consensus ad idem”, une rencontre des esprits. Votre signature a beaucoup de pouvoir et vous devez faire attention à ce que vous signez. 

Honneur / DéshonneurLa clé quand on traite de contrats est de rester dans l’honneur. Ceux qui appliquent les politiques publiques tenteront de vous obliger, par la force ou la ruse, à vous déshonorer afin d’être garantis d’une condamnation. Il y a quatre réponses que vous pouvez donner à ceux qui exercent des revendications à votre encontre : 

  • IGNORER. Si vous ignorez une revendication exercée contre vous, vous donnez votre accord (tacitement) par votre silence ou acquiescement. Un défaut de réponse ou de contestation implique votre acceptation. Si vous ignorez une Notification ou une revendication exercée contre vous, vous tombez en Déshonneur. 
  • CONTESTER. Si vous contestez les détails de la revendications à votre encontre, vous soulevez la controverse, c’est-à-dire que vous ne recherchez pas de remède. Là encore, cela vous place en Déshonneur. 
  • ACCEPTER. Si vous acceptez les accusations ou les revendications, vous avez accepté de remédier à la situation en suivant les requêtes faites. Quoique cette option vous place en état d’Honneur, ce n’est certainement pas le choix le plus judicieux et responsabilisant que vous puissiez faire. 
  • ACCEPTER SOUS CONDITIONC’est là qu’est le pouvoir quand on traite des avis de sanctions, des accusations et des assignations au tribunal, qui sont tous, croyez-le ou non, des OFFRES de contrat avec votre Titre Légal ou Homme de Paille. Vous pouvez accepter de façon conditionnelle les accusations ou exigences À LA CONDITION que vos termes soient satisfaits, par exemple : preuve de réclamation que la partie adverse a subi une perte ou qu’elle a une quelconque autorité sur vous. (Davantage d’explications plus tard.) 

Imaginez la scène…Vous écopez d’une contravention pour stationnement illégal (il s’agit de votre voiture). C’est une offre de contrat qui stipule “Votre véhicule était illégalement stationné – toute Personne ayant illégalement stationné doit payer une amende selon la Loi sur la Circulation Routière.” Bien, nous avons déjà établi que vous n’êtes pas une Personne, vous AVEZ une Personne, donc comment cette loi s’applique-t-elle à vous, un Homme ou une Femme ? Elle ne s’applique pas à vous ! Comprenez bien que les autorités n’essaient pas de vous facturer à vous, l’Homme ou la Femme, elles tentent de facturer l’Homme de Paille ou de conclure un contrat avec la Raison Sociale (entité légale fictive) en usant de Statuts commerciaux. C’est parce que vous croyez que cela s’applique à vous que vous acceptez l’offre et la responsabilité ! Mais ce qu’on ne vous dit pas c’est que vous n’avez pas l’obligation d’accepter cette offre…Ci-dessous figure un exemple d’avis de sanction ordinaire que quelqu’un pourrait recevoir ainsi qu’une réponse possible qui utilise L’Acceptation Conditionnelle. Cela devrait vous donner une idée de ce que vous pouvez inclure, mais chaque cas individuel varie. 

Notez que le courrier reçu des autorités irlandaises (dans cet exemple) était adressé à un Monsieur JOHN DOE (en lettres majuscules), ce qui indique que le courrier n’est pas adressé à un être humain mais à une raison sociale, une entité juridique fictive, une entité commerciale. 

Réponse de John de la Famille Doe

L’offre a été acceptée sous condition de preuve de réclamation. Le résultat de la manœuvre c’est de vous placer en état d’honneur tout en les plaçant dans une position où ils sont obligés de réagir pour ne pas tomber en déshonneur. Ces notifications peuvent aller et venir comme une balle de ping-pong, mais si vous restez sur vos positions et acceptez l’offre sous condition que vos termes soient satisfaits, tout en restant honorable dans vos actes, vous réussirez. Si toutefois cette affaire finissait par atterrir sur le bureau du juge, vous auriez, à ce stade, un dossier assez bétonné contre ceux qui exercent des revendications à votre encontre. Si vous faites la démonstration que vous étiez ouvert au dialogue et à la discussion, que vous recherchiez activement un remède et évitiez les conflits (alors qu’eux non), le droit sera toujours de votre côté parce que vous avez raison ! 

Au tribunal 

Il est important de signaler que les services judiciaires, le système des tribunaux de Dublin et le Barreau d’Irlande sont des entreprises enregistrées au registre du commerce et font des affaires pour le profitxii. Ces entités tentent de présenter des réclamations contre vous à titre commercial en appliquant des statuts. Donc, elles tentent de conclure des contrats avec votre Personne ou Homme de Paille. Vous devez apprendre à reconnaître à quel moment elles tentent de le faire afin de contourner la situation.Les choses à se rappeler au tribunal : 

  • Les tribunaux sont une tierce partie dans une dispute commerciale. Leur but est d’en être témoins et de faciliter la sécurité des transactions. Ils nécessitent le consentement des deux parties avant de pouvoir agir. Ils vous offrent un service. Ce service consiste à “être témoin de la dispute, prononcer un jugement et donner des ordres” – mais personne ne vous dit que vous n’êtes pas obligés de profiter de ce service ! Ils vous offrent un avantage auquel vous êtes libres de renoncer, que vous êtes libres de décliner. 
  • N’obéissez à aucun ordre et ne suivez aucune requête. Si vous faites la moindre chose qu’ils vous demandent, vous leur donnez ainsi juridiction sur vous. La façon de contourner cela consiste, là encore, à répondre par vos propres questions ou requêtes, ou d’accepter sous condition ce qui vous est demandé. 
  • Le langage qu’ils parlent est le “jargon juridique” qui sonne comme la langue courantexiii mais dont certains mots ont une signification totalement différente. Il n’y a que deux langues officielles reconnues dans la Constitution irlandaise, ce sont l’irlandais et l’anglais. N’hésitez donc pas à le leur rappeler et insistez pour que l’on parle l’anglais courant si vous le désirez. 
  • Il n’est pas non plus inintéressant de noter que le juge, le procureur, votre avocat – si vous en avez un –, ainsi que tous les “fonctionnaires judiciaires” sont tous membres de la même société : le Barreau d’Irlande. Cette société a ses propres codes, règles et langage et vous n’en n’êtes pas membre. Alors, comment pourriez-vous la comprendre (vous y soumettre) ? Compte tenu de tout cela, croyez-vous vraiment que vous bénéficierez d’un procès équitable ? 
  • Quand vous pénétrez dans un tribunal sous la juridiction du Droit Maritime, c’est un fait acquisxiv que vous avez “enfreint une règle de la société”, autrement dit un Statut, et vous y allez pour recevoir votre punition ou accusation. Vous (ou plutôt votre Homme de Paille) êtes “coupable jusqu’à preuve de votre innocence” et vous devez vous défendre des accusations portées contre vous. 

Voici quelques exemples d’approches que vous pourriez utiliser : 

  1. Il y a 3 questions que vous pourriez poser au juge au tribunal qui pourraient publiquement et officiellement montrer que ce n’est pas dans votre intérêt de conclure un contrat, ni de “jouer au ballon”, ce sont :
  2. a) « Ai-je droit à un procès équitable et honnête aujourd’hui, monsieur le président (ou monsieur le juge) ? » [La réponse à cette question devrait naturellement être “Oui”.]
  3. b) « Pouvez-vous me dire qui est la victime dans cette affaire ? » [S’il est question de lois statutaires, le juge devrait répondre “le ministère public”.] c) Auquel cas vous pouvez allègrement continuer et demander : « Et qui représentez-vous, monsieur le Juge ? » [Là encore, la réponse sera “le ministère public”, donc vous pouvez maintenant souligner que vous ne pensez pas être en mesure d’obtenir un procès équitable aujourd’hui puisque on peut dire que le juge a un intérêt personnel dans l’affaire.] 
  1. Tous les fonctionnaires judiciaires doivent prêter un serment lié à leur fonction, y compris les juges. Toutefois, le juge n’agit pas nécessairement selon son serment quand il siège au tribunal. Or, quand il n’agit pas selon son serment, il ne fait qu’émettre des opinions personnelles. Cela a un poids énorme au tribunal parce qu’on ne dit pas aux gens que le juge est, après tout, un homme comme un autre et n’a aucune autorité sur eux ! Il vous faut faire procéder à l’enregistrement du serment du juge dans les minutes du procès/procès-verbal d’audition !! À cet effet, vous pourriez tout simplement demander au juge : « Avez-vous un serment lié à votre fonction ? » S’il répond Non, alors vous pouvez demandez au policier dans la salle d’arrêter cet imposteur. C’est pour cette raison qu’il répondra probablement “Oui”, et c’est le moment de lui demander : « Votre serment est-il ici aujourd’hui, monsieur le juge ? A-t-il été enregistré dans les minutes ? » C’est à ce moment que cela devient intéressant parce que vous allez réaliser que très probablement il ne l’a PAS été ! Vous devez déclarer clairement et sans équivoque : « Officiellement et pour mémoire, j’accepte votre serment professionnel. » Il est maintenant enregistré dans les minutes ! Quel est le but de la démarche ? Un juge doit prêter serment pour faire respecter la Loi (pas les Statuts), pour exercer de façon impartiale et pour administrer la justice équitablement et sans préjudice. Quand son serment est “enregistré”, le rôle du juge change : il doit vous protéger si on bafoue vos droits. Il doit nécessairement faire respecter la Loi (le Droit Coutumier) et devient une partie désintéressée dont le rôle est de s’assurer que la justice prévaut selon les faits exposés uniquement. Une autre chose, c’est que vous êtes maintenant “innocent jusqu’à preuve du contraire” et il appartient au procureur de prouver votre culpabilité. 
  1. Si/quand le juge demande : « Comprenez-vous (les accusations) ? » Il offre un contrat (cela veut dire « Acceptez-vous les accusations ? ») Vous pourriez répondre « Non, je ne comprends pas. Je ne comprends pas un mot de ce que vous dites… Vous comprenezxv, monsieur le juge ? ». À ce stade, le juge devrait comprendre ce qui se passe (vous faites une contre-proposition) et il devrait faire attention à sa réponse. S’il dit “Oui”, alors il vous donne autorité sur lui en déclarant qu’il vous comprend (en anglais “he stands under you”). Au contraire, s’il dit “Non”, alors continuez et dites-lui « Monsieur le juge, je crois que nous avons eu une proposition et une contre-proposition. Aucune des parties n’est d’accord avec les termes, donc nous ne pouvons pas continuer. Bonne journée à vous ! » 
  1. Une autre approche consiste à ne pas du tout entrer dans leur jeu ! Rappelez-vous qui vous êtes en relation avec votre Créateur : vous êtes le numéro 2 ! Second seulement après Dieu ! Qu’ont ces hommes et ces femmes à faire des réclamations contre vous et à vous accuser alors que vous ne leur avez fait aucun tort ? Vous pourriez accepter conditionnellement en disant : « J’accepte toutes les accusations et les réclamations à mon encontre à condition que le Tribunal ou l’Accusation prouve qu’il a une autorité sur moi pour procéder à ces accusations et ces réclamations. » Voyez-vous, les tribunaux n’ont aucune compétence matérielle, ils n’ont aucune raison d’être impliqués (à part le fait que leur implication vise à tirer profit des accusations qu’on VOUS force à payer !). 

En tenant compte de tout ce que nous avons couvert jusqu’ici, voici un exemple de ce que vous pourriez dire au tribunal après qu’on aura appeler le nom de votre Homme de Paille :« Officiellement et pour mémoire, je suis le/la représentant(e) de cette entité légale. Je suis un être souverain vivant sur ce territoire, et je tends la main en signe de paix au tribunal. Je n’ai causé de tort à personne. Je réserve tous mes droits et ne renonce à aucun d’entre eux. » (« Je décline tous les avantages offerts et libère le tribunal de son devoir d’agir contre rétribution ») ou (« Je fais une apparition spéciale ici aujourd’hui afin de régler cette affaire. J’accepterai volontiers toutes les réclamations contre moi à condition que vous me fournissiez la preuve que vous avez une autorité quelconque sur moi. »)Note : vous pouvez également lire votre Notification de Compréhension et d’Intention et Revendication de Droitsxvi afin qu’elle soit enregistrée au procès-verbal. Ce ne sont là que quelques exemples de ce que vous pouvez faire dans un tribunal pour vous protéger, mais une fois que vous vous souviendrez que c‘est vous le patron, les possibilités sont sans limites ! Ils n’ont aucun pouvoir sur vous ! Traduit par Sylvie C. Buisson (15 septembre 2015)Source : Document PDF (anglais) 

Notes : Les Statuts sont le règlement intérieur d’une entreprise… quels que soient les noms qu’on leur donne.

Exemple : Les Parlements du monde (pour la plupart) sont des entreprises privées, par conséquent, les “lois” qu’ils produisent ne sont que des statuts valables uniquement pour les employés et les clients de ces entreprises.

 Black’s Law Dictionary est une autorité en manière de définitions juridiques dans les pays anglo-saxons. Plusieurs versions sont disponibles en téléchargement au format PDF ou en consultation en ligne. 


Ces traductions sont approximatives :
En anglais, “un-lawful killing”. “Lawful” a plus le sens de légitime et est basé sur la morale, l’éthique, le sens commun plus que sur la loi, auquel cas on dit “legal”.

En français, le terme illicite signifie “interdit par la morale ou par la loi”… 


Les tribunaux –et le système entier– fonctionnent surtout sur la base de présomptions… qu’il est important de réfuter d’emblée pour éviter de tomber dans les pièges tendus.

Il s’agit toujours du jeu de mot sur le terme anglais “to understand” (comprendre ; se soumettre). 

Le Système Bancaire 

Après les échanges et le troc, la forme la plus acceptée de monnaie fut les pièces d’or, d’argent et autres métaux précieux. Les pièces avaient un poids précis et une valeur effective. Il n’était pas toujours souhaitable, ni sécurisant, de trimbaler toutes ces pièces avec soi, donc les gens allaient déposer leurs pièces d’or et d’argent à la banque pour les mettre en sécurité et, en retour, la banque leur remettait des reçus ou Notes de Crédit. Ces Notes de Crédit pouvaient être re-échangées plus tard par la banque. Comme c’était plus commode, les gens ont commencé à utiliser les Notes de Crédit comme monnaie entre eux dans la mesure où elles pouvaient être échangées dans le future contre leur véritable valeur en or ou en argent par la banque (les billets de nos jours sont des billets de dette et ne sont soutenus par aucune valeur). 

Les banquiers réalisèrent très vite qu’ils avaient beaucoup d’or et d’argent dans leurs réserves et qu’il était invraisemblable, ou en tous cas fort peu probable, que tous les déposants viennent réclamer leur or le même jour. Ce qui voulait dire qu’à tout moment il y avait une quantité d’or et d’argent dans la réserve qui n’était pas utilisée. Les banquiers ont donc commencé à prêter cet argent à des emprunteurs en ne gardant qu’une fraction du total des dépôts en réserve, et c’est ainsi que le système de réserves fractionnaires est né ! 

Ceci signifie que les banques n’ont l’obligation que de garder un petit pourcentage des fonds déposés et ne peuvent prêter principalement que l’argent des gens avec intérêts ! Ce n’est pas un fait très connu, mais les banques ne sont pas autorisées à prêter leurs propres actifs ou fonds –seulement ceux des autres gens en plus de ce que VOUS créez avec VOTRE SIGNATURE (plus sur ce sujet plus tard). Saisissez bien cela. Généralement, quand quelqu’un emprunte à la banque, il laissera cet argent sur un compte –plutôt que de retirer le montant total– jusqu’à ce qu’il en ait besoin. Ce nouveau montant que la banque a prêté est ensuite ajouté au montant total des dépôts de la banque qu’elle utilise pour prêter encore davantage… 

Que se passe-t-il quand je fais une demande de prêt ? 

Vous entrez dans une banque et voudriez, disons, un prêt de £1000 (ce que vous dites en réalité c’est que vous voudriez avoir accès à £1000 de votre Crédit). La banque procède à une petite enquête sur vous et à une vérification de votre crédit. Pourquoi donc ? C’est pour s’assurer qu’elle pourra faire de l’argent sur votre dos au travers des intérêts. Une fois que votre crédit est approuvé, la banque vous présente un Contrat qui stipule qu’elle vous prête ce montant et que vous acceptez de le rembourser avec intérêts. Vous signez ce Contrat. (Note : vous êtes le seul signataire du Contrat, celui-ci est par conséquent Unilatéral/Non Contraignant.) À ce moment-là vous croyez que la banque débite ce montant de son “Coffre” pour le créditer sur votre compte. 

Cela peut être difficile à croire mais le système bancaire fonctionne aujourd’hui de façon totalement frauduleuse. 

Voilà ce qui se passe dans la réalité : c’est votre signature qui crée le nouveau crédit. C’est votre signature sur le document/Contrat qui détient TOUTE la valeur de l’accord. Vous êtes en fait en train de puiser dans votre “crédit illimité”. La banque ne fait que jouer le rôle d’intermédiaire entre l’Homme et le Crédit et, ce faisant, elle donne l’impression d’être le “Prêteur”. Elle vous donne l’impression de vous prêter à partir de ses propres actifs et fonds alors que ce n’est pas le cas. Elle vous laisse croire qu’elle risque de perdre de l’argent et qu’elle prend le risque de vous le prêter. 

Compte tenu de tout cela, diriez-vous que les termes de l’accord vous ont été pleinement divulgués ? Bien sûr que non ! Jusqu’ici nous avons couvert deux domaines qui vous donne des raisons d’annuler un tel accord : 

  1. La banque n’a pas pleinement dévoilé les termes de l’accord. La divulgation totale est un critère de Contrat. 
  1. L’accord ne comporte qu’une seule signature : la vôtre ! Par conséquent, l’accord n’est pas contraignant (la signature des deux parties –ou de toutes les parties, le cas échéant– est un critère de contrat, ce qui signifie “consensus ad idem” ou une rencontre des esprits, et lie les deux (ou toutes les) parties. 

En plus de la connaissance de l’arnaque que représente le système bancaire mondial, ceci est une information suffisante pour régler (c’est-à-dire annuler) toutes vos dettes. 

Quel est le processus pour y arriver ? 

C’est très simple, en fait. Tout ce que vous avez à faire est de demander à la banque une preuve de réclamation pour la “dette” en question. Elle déclare que vous lui devez une certaine somme, ce qui implique qu’elle vous aurait prêté cette somme et qu’elle a donc subi une perte. En d’autres termes, elle prétend “en être de sa poche” à cause de vous. Vous pouvez tout simplement lui demander de valider cette dette. 

Voici un exemple de Notification par courrier recommandé que vous pourriez envoyer à la banque pour vérification. Il existe pléthore d’informations sur les moyens à employer pour vous libérer de vos dettes. 

John-David: Doe - Agent autorisé 1

Note : Il est fort vraisemblable qu’une seule de ces notifications ne sera pas suffisante pour mettre un terme à vos dettes car les banques n’abandonnent pas facilement, mais c’est le premier pas dans le processus. Il vous faudra sûrement envoyer une série de notifications/courriers recommandés à la banque pour effectivement annuler vos dettes, mais en envoyant cette notification/lettre recommandée à la banque, vous la mettez en position de devoir vous prouver que vous lui devez de l’argent. Les ressources en fin d’ouvrage vont mèneront à davantage d’informations et aux connaissances nécessaires pour envoyer ces notifications avec confiance et succès, et ainsi annuler toutes vos dettes complètement et de manière tout à fait licite ! 

Petit Guide Amical sur les Relations avec 
les Agents du Maintien de l’Ordre

Voici un court exemple pour vous aider à comprendre la différence qui existe entre les Gardiens de la Paix et les Agents du Maintien de l’Ordre. Examinons trois postes différents qui sont les gardiens de prison, les officiers de police et les agents de la circulation, et voyons comment leurs rôles varient de Gardien de la Paix à Agent du Maintien de l’Ordre. 

  • Gardiens de prison : maintien de la paix uniquement. 
  • Officiers de police : maintien de la paix et maintien de l’ordre. 
  • Agent de la circulation : maintien de l’ordre uniquement. 

Gardiens de la Paix vs Agent du Maintien de l’Ordre 

Il y a approximativement 14 415 gardiens de la paix en Irlande et donc il est fort probable que vous tombiez sur l’un d’eux au cours de votre vie. Avec quelques 500 000 P-V de circulation enregistrés chaque année, il y a des chances que vous soyez contraint de vous arrêter un de ces jours. Alors que faire ? 

Les gardiens sont recrutés pour être nos protecteurs, cependant quand ils font respecter les statuts, ils deviennent des agents du maintien de l’ordre. Leur rôle change de maintien de la paix au recouvrement de créances.  

Les gardiens ne sont pas vos ennemis, mais ils ne sont pas non plus vos amis s’ils agissent comme agents de recouvrement. Ils sont dans une position d’adversaire, comme au jeu d’échecs. Ils veulent gagner, ils veulent obtenir une condamnation (la vôtre !). 

Veuillez noter que vous avez le droit d’enregistrer les gardiens. Quand ils sont libres, ils jouissent de leur droit à la vie privée, mais quand ils agissent dans le domaine public, vous avez le droit de les enregistrer. S’ils vous créent des problèmes à ce sujet, vous pouvez dire « Je rassemble des preuves pour ma défense, officier. » 

Sachez quand et comment exercer vos droits, et n’oubliez pas : vous êtes en train d’agir légitimement ! 

1. Vibrations positives 

La chose la plus importante est d’être aussi amical, sympathique et courtois que possible, cela se révélera payant en fin de compte. Agissez de façon pacifique, respectueuse et éthique à leur égard. Faites-leur savoir que vous les enregistrer, déclarez la date et l’heure, notez leur numéro de badge, demandez-leur leurs noms et leurs cartes de visite. Si cela les vexe, dites-leur que c’est pour votre Sécurité. S’ils vous critiquent sur ce point, demandez-leur «Allez-vous me nier ma sécurité ? » « Avez-vous un problème avec ça, officier ? » Bien sûr que non ! Vraiment ? 

2. Premier contact 

Vous pourriez être en train de conduire votre voiture ou longer une rue. Premièrement, regardez autour de vous pour voir s’il y a des gens à qui demander d’être témoins. La plupart des gens aiment observer de toute façon, et cela vous aidera dans votre défense, au besoin. Si vous êtes en voiture, essayez de vous arrêter près d’eux ou alors appelez-les. Rappelez-vous que vous ne pouvez vous arrêter que si cela ne représente aucun danger, donc cela vous donne un peu de temps. 

Enregistrez, enregistrez, enregistrez 
Presque tous les téléphones ont une fonction enregistrement audio ou vidéo. Si vous êtes bien préparé, vous aurez même un enregistreur ou un caméscope sur vous. Assurez-vous que l’officier sait que vous enregistrez. 

  • Si vous conduisez, vous pouvez choisir de rester dans votre voiture privée (pas votre “Véhicule” qui est un autre terme juridique ou commercial). Faites descendre la vitre juste assez pour permettre une communication aisée avec l’officier de la paix. Restez sur vos positions. 
  • Ou alors vous pourriez choisir de sortir de votre voiture mais, dans ce cas, prenez soin de fermez les portières à clé derrière vous et de mettre les clés dans votre poche. Restez sur vos positions. 

Le fait est que vous contrôlez la situation : vous agissez pacifiquement et légitimement, et protégez vos droits. 

Vous avez le Droit de Voyager (sans être taxé et sans entrave). 

3. L’Art de Poser des Questions 

Les Gardiens sont formés à vous questionner de façon à vous faire admettre la culpabilité. Ils usent normalement d’un ton intimidant et peuvent même vous bousculer un peu. Ne le prenez pas à cœur. 

Vous pouvez contrôler la situation en leur posant des questions (n’oubliez pas d’enregistrer, vous êtes en train de construire votre défense). 

Quelques questions que vous pourriez poser : 

  • « Bonjour, officier, quelle est la nature de la détention visée ? » 
  • « Avez-vous été témoin que j’ai troublé l’ordre ? » 
  • « Selon quelle loi me détenez-vous ? » 

L’officier est obligé d’indiquer les raison de votre détention. S’il n’a pas été témoin que vous avez troublé l’ordre, il n’a pas de “cause probable” et vous n’avez aucune raison de lui parler. Rappelez-vous que “troubler l’ordre ” c’est enfreindre le Droit Coutumier. 

Vous pourriez continuer en disant/demandant : 

« Je réserve mon droit de ne pas parler à un officier qui n’a pas été témoin que j’ai troublé l’ordre. » 

« Suis-je libre de partir ? » S’il dit non, demandez « Suis-je en état d’arrestation ? » et continuez de poser ces deux questions jusqu’à ce qu’il vous laisse partir ou vous arrête. 

Il pourrait arguer qu’il est obligé de vous demander votre nom ou vos papiers d’identité (afin de conclure un contrat avec votre Homme de Paille), mais vous pouvez dire : 

« Suis-je obligé(e) de vous donner cette information ? » Vous n’êtes pas obligé(e) et s’il dit que vous l’êtes, il agit donc de façon illicite et frauduleuse et vous pouvez porter plaintex contre lui. 

Vous avez droit à la vie privée signifie que PERSONNE n’a le droit d’envahir votre vie privée à moins que vous n’ayez d’abord bafoué les droits de quelqu’un d’autre. C’est là qu’un membre de la Garda Siochana est dans sa capacité d’officier de la paix/défenseur/protecteur. 

4. En état d’arrestation 

Si vous pensez avoir épuisé toutes vos options et suspectez qu’on est sur le point de vous arrêter, déclarez clairement : 

« Officier, je suis un homme/une femme paisible ; si vous m’arrêtez, il est inutile d’user de force, mais vous voudrez bien noter, pour mémoire, que je viens avec vous sous la contrainte et sous toute réserve. Je réserve tous mes droits et n’en abandonne aucun. » (Ceci signifie que vous ne consentez pas, mais que vous ne résistez pas non plus.) 

Ne consentez à aucune fouille, aucune prise d’empreintes, aucun échantillon d’ADN, etc. 

Rappelez-vous de la définition d’un statut et comment il ne s’applique que si vous y consentez. 

L’égalité devant la Loi est primordiale et obligatoire. 

Si vous n’avez pas enfreint la Loi, la police n’a aucun droit de vous détenir, de vous interroger et de vous harceler. Vous avez le Droit d’être Libre. 
(Vous êtes libre !) 

5. En salle d’interrogatoire 

Si vous sentez qu’il serait plus facile de coopérer pour rentrer plus vite chez vous, la chose à se rappeler c’est que les agents essaieront de conclure un contrat avec votre Homme de Paille (en faisant appliquer les statuts). Voici quelques idées à utiliser pour éviter le contrat. Donner votre nom équivaut à consentir. 

Note : vous n’avez pas besoin d’attendre d’arriver dans la salle d’interrogation !!! 
(même si cela ne l’empêchera pas) 

Officier : Quel est votre nom ? 
Homme : John 
Officier : Votre nom complet. 
Homme : John-David 
Officier : Nom de famille ? 
Homme : Nom de famille ? Pourquoi avez-vous besoin ça ? Je vous ai donné mon nom, non ? 

Si vous décidez de donner votre nom dites « John-David de la famille Doe » et assurez-vous qu’il l’écrive de cette manière de façon à vous distinguer de l’entité commerciale M. JOHN-DAVID DOE / M. JOHN DOE, etc. 

Officier : Quelle est votre adresse ? 
Homme : (vous pouvez être vague) « Je vis dans la région xxx au nord de Dublin » ou « à la Yellow Street, c’est près de Ballyxxx » 

Après quoi, ils vous poseront des questions du style « Savez-vous à quelle vitesse vous rouliez ? » ou « Savez-vous ce que vous avez fait de mal ? » ou encore « Savez-vous pourquoi vous êtes ici ? » 

Ils essaient de vous faire admettre une culpabilité. N’ADMETTEZ JAMAIS RIEN en disant « Désolé, j’ai dépassé un petit peu la limite » ou « Je roulais à 70 km/h » ou autre chose de cette nature. 

Répondez à leurs questions avec plus de questions : « vraiment ? », « Ah, bon ? », « Vous pouvez le prouver ? » ou au moins finissez vos phrases avec une petite question. 

Cela mettra la balle dans leur camp et vous évitera de conclure un contrat avec eux. 

Comment devenir un Être Souverain ? 

Faisons une récapitulation rapide : Les statuts qui sont créés par le Gouvernement/État et qui restreignent les libertés ne s’appliquent qu’aux entités légales telles que la “Personne” ou “l’Homme de Paille” –qui a été également créé par le Gouvernement/État. Cet Homme de Paille est représenté par votre nom généralement écrit en LETTRES MAJUSCULES. On ne vous a pas divulgué cette information et, par conséquent, vous croyez à tort que vous êtes l’Homme de Paille et vous acceptez de le représenter. Cet Homme de Paille (société/appellation commerciale) a été créé à votre naissance au moyen de l’obligation de l’acte de naissance et est utilisé comme nantissement. Vos droits ont été restreints par le Gouvernement/État parce qu’il pense vous représenter. Il présume votre consentement à ses règles et régulations parce que vous n’avez jamais déclaré le contraire. Le silence en droit est considéré comme un accord (ou un accord tacite). 

Rappelez-vous… 

  • Ceci n’est pas un moyen d’enfreindre la loi et de s’en tirer. 
  • Ceci représente une opportunité réelle d’assumer la responsabilité de vous-même et de vos actes, et de déclarer votre indépendance en tant qu’Homme ou Femme souverain(e). 
  • En ce moment, vous vivez dans un asservissement par les taxes et la dette. Pour la plupart, nous travaillons à des boulots que nous n’aimons pas, nous payons des impôts pour régler une dette dont nous ne sommes pas responsables et qui n’existe que si nous croyons qu’elle existe. 
  • C’est un vrai chemin vers la liberté. 

Le plus important encore : 

  • Être libre est un état d’esprit. 
  • Vous faites-vous suffisamment confiance pour prendre vos propres décisions et en subir les conséquences, bonnes ou mauvaises ? 
  • Pensez-vous que vous êtes suffisamment responsable pour prendre soin de vous et de votre famille sans avantages sociaux ? 
  • Pensez-vous que Nous le peuple pouvons travailler ensemble, mettre nos ressources, nos compétences, notre expérience et notre sagesse en commun pour créer de meilleurs communautés et sociétés sans la participation d’un gouvernement qui contrôle en jouant le “rôle du parent” ? Pensez-vous que nous pouvons ensemble rendre le monde meilleur ? 

Traduit de l’anglais par Sylvie C. Buisson (17 septembre 2015) 


Vous l’aurez compris, l’ENTIER SYSTEME LEGISLATIF repose sur UNE FRAUDE A LA NAISSANCE depuis 1848.

Nous ne naissons pas en tant qu’ “ESCLAVE DU SYSTEME” mais bel et Bien en tant qu’ ETRE HUMAIN SOUVERAIN.

Il est donc PRIMORDIAL que nous revenions, comme en Amérique, à ce qui est LE SEUL DROIT FRANCAIS NON MARITIME antérieur à 1848 comme l’explique Maître Philippe Fortabat-Labatut : “LES LOIS DOIVENT DONC TOUJOURS ETRE PROMULGUEES PAR LE ROI” ce qui signifie : PAR PERSONNE D’AUTRE.

De fait, Toutes les Lois éditées après 1848 sont TOUTES Nulles et non avenues.

10 Commentaires

  • Les Patriarches et les hébreux connaissaient précisément leur généalogie, raison pour laquelle il était inutile de noter leur nom de famille. En France, le nom de famille est traditionnellement plus important que le prénom pour la simple et bonne raison que la famille est plus importante que l’individu. Dans le Royaume de France l’individu ne comptait pas indépendamment des autres, seule la famille comptait. Ça ne remet pas en cause votre intéressant exposé, c’est juste pour lui apporter un peu de nuance. Bien cordialement

  • Vive l’anarchie, quoi ! Une société inorganisée d’individus qui n’ont que des droits. Une telle société ne peut pas exister. Une société sans règles est la société de la loi du plus fort. Tout ce que j’ai lu est complètement débile.

  • Merci pour votre travail. Cependant,
    La liberté de religion et la liberté d’expression n’ont aucun droit.
    Seules la vraie religion et l’expression de la vérité ont des droits.
    C’est la Vérité qui rend libre, pas le contraire.
    Et non, nous ne sommes égaux ni par la nature,ni en droits, ni en devoirs : ils dépendent de notre place dans la création et dans la hiérarchie de la société… dont l’autorité vient de DIEU, pas de la prétendue souveraineté du citoyen.
    Nous devons prier pour la conversion de Donald Trump à la vraie religion, catholique traditionnelle au service de la véritable Eglise (celle qui se trouve actuellement dans les catacombes), pour qu’il pose des fondements catholiques à son projet de reconstruction et non un retour à la philosophie maçonnique des pères fondateurs (liberté au dessus de la vérité : sss “croquez du fruit” sss sss “vous connaitrez le bien et le mal” sss sss “vous serez comme dieu”sss), qui mène à l’Etat profond.

    • La liberté: de faire son devoir sans entrave.

    • Bonjour Pierre,
      Ce sont les écrits pour tous les peuples car tous les peuples sont les esclaves de leurs Etats respectifs.
      Bien sur que pour la France, qui redeviendra un Royaume et non plus un Etat ou une république, c’est la religion Catholique qui sera remise là où elle a été détrônée. Revenir aux Origines est un impératif.
      Bonne journée.

  • Petit article de Valérie Bugault à ce sujet : “L’escroquerie de la prétendue « fraude au nom légal »”.

    https://valeriebugault.fr/lescroquerie-de-la-pretendue-fraude-au-nom-legal

    • Valérie Bugault?
      L’ancienne numero 2 de l’UPR ?
      Non merci, le petit problème avec est le mot ’’républicain’’, il suffit de lui pour que je ne prenne pas la chose comme source fiable…
      Par contre sur YouTube allez voir la chaîne ESCLAVE HORROR STORY, c’est très intéressant, est cela va tout à fait avec l’article, et en plus cela concerne les lois françaises…

      PAX IN LUMINE

  • D’une manière ou d’une autre, avec ou sans nom de famille, cette république et sa cohorte de sectateurs maçonnico-sataniques doit disparaitre! C’en est assez de toute cette pourriture qui dirige le monde! Mais tant que l’homme ne se sera pas converti à la seule vraie religion catholique instituée par Notre Seigneur Jésus Christ nos ennemis triompheront ! Trump n’est pas Dieu! Il appartient au diable tant qu’il ne se converti pas. Il n’y a que deux étendard sous lesquels nous pouvons combattre, celui du Christ et celui du diable, et la religion protestante est sous l’étendard diabolique que personne ne s’y “trump”! Dieu sait tirer du mal pour en faire un bien ne doutons pas qu’il saura se servir des uns et des autres président ou pas pour sa Gloire. Et pour ceux qui se disent catholiques aux armes croyants! Rosaire..sacrements..et pénitence!

  • Ping : Si le Covid-19 perdure encore et encore, c’est parce-que nous le voulons bien. Discours sur la Servitude d’Etienne de la Boétie. | Pro Fide Catholica

Répondre à rsyliAnnuler la réponse.