Comment Versailles a pu voir le Jour. Essai. Première partie.

LE FINANCEMENT DU CHÂTEAU DE VERSAILLES AU 17ème SIECLE 

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-ET IN ARCADIA EGO- 

« BERGERE PAS DE TENTATION QUE POUSSIN TENIERS GARDENT LA CLEF PAX 681 PAR LA CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU J’ACHEVE CE DAEMON DE GARDIEN A MIDI POMMES BLEUES » 

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Il est toujours très étonnant de lire ou d’entendre que Notre Roi Louis XVI a ruiné la France pour pouvoir construire le Château de Versailles ! Les livres d’école font état, lorsque le règne de Louis XVI est évoqué, de : “PERTES, REVERS et MISERE.” 

Le site “Planète tp” nous informe des sommes qu’il a fallu réunir pour que puisse être réalisée la construction du Château de Versailles et ses jardins. Cette construction Royale Française a une superficie bâtie de 63 154 m2 qui s’étendaient sur plus de 8 000 Hectares avant la révolution dite Française. La propriété laisse apparaître aujourd’hui que 815 hectares. 

www.planete-tp.com › le-financement-du-chantier-a1074.html 

Comment dans une France où sévissait la Fronde, où le Jansénisme faisait rage, France qui avait du mal à se relever des Guerres incessantes et coûteuses, comment notre Roi Louis XIV a t’il put avoir autant d’argent à mettre dans une Construction Royale qui deviendra et restera le joyau de la France Française, Royale et Catholique ? 

Force est de constater que jusqu’à aujourd’hui, aucun historien n’a été à même de mettre par écrit comment Louis XVI a pu bâtir Versailles SANS RUINER LA FRANCE, donc, SANS RUINER LE PEUPLE FRANCAIS CATHOLIQUE du 17ème siècle. 

Pour comprendre ce qui fut le réel Financement du Château de Versailles, nous allons nous rendre en Occitanie, en Terre d’Aude plus exactement, dans les magnifiques paysages majestueux du Razès, là où le Dominant Mont Bugarach, avec les eaux chaudes qui jaillissent de ses entrailles, garde autant ses mystères inégalés qu’insoupçonnés pour ne les révéler qu’à ceux qui ont un cœur Pur et une Âme d’enfant. 

LE PONT ROMAIN DU PECH BUGARACH 

LA CASCADE DES MATHIEUX 

C’est Monsieur Franck Daffos originaire de Toulouse, avec ses livres méticuleusement sourcés et brillamment archivés qui permet de comprendre comment Versailles a pu voir le Jour. 

Le Secret Dérobé :

Le Puzzle reconstitué :

Arsène Lupin Gentleman cambriolé :

Vous constaterez comment, avec un MENSONGE PLANETAIRE, le démoniaque Dan Brown s’est engraissé de millions de dollars en mettant en scène, dans l’affaire de Rennes-le-Château de l’Abbé Saunière, un prieuré de Sion qui abriterait la descendance de “Jésus et Marie-Madeleine” !!! 

RIEN QUE CA !!!! 

Daniel Gerhard Brown, dit Dan Brown, né le 22 juin 1964 à Exeter dans le New Hampshire, est un romancier américain, auteur de plusieurs best-sellers appartenant au genre du thriller mâtiné d’ésotérisme, qui a vendu près de deux cents millions d’exemplaires de ses romans.Wikipedia (FR) 

De nos jours, les millions de dollars ne jaillissent qu’avec des Mensonges et nous allons donc voir ce qui est la Véritable Histoire de Rennes-le-Château qui est en Fait : 

L’AFFAIRE DE RENNES-LES-BAINS que le Brillantissime Abbé Henri Boudet a révélé dans son livre : 

“La véritable langue Celtique et le Cromlech de Rennes-les-Bains” qui est un livre Entièrement Codé. 

Pour parfaire son livre qui n’a pas été compris à l’époque, qui a été surtout moqué, l’Abbé Henri Boudet fera rénover et coder l’entière Eglise Sainte Marie-Madeleine de Rennes-le-Château quand l’Abbé Bérenger Saunière deviendra Prêtre de ce charmant petit village du Razès. 

Sainte Marie et Saint Joseph portent tous les deux un enfant Jésus dans leur bras. Ce qui donnera autant de thèses fantaisistes et fumeuses qui feront jaillir les délires de beaucoup de chercheurs dont certains iront jusqu’à dire et écrire que l’Eglise de Rennes-le-Château est la preuve que Jésus n’est pas ce que la Bible dit !!! 

Nous comprendrons par la suite Pourquoi l’Abbé Henri Boudet avait besoin de mettre un enfant Jésus dans les bras de Sainte Marie et de Saint Joseph. 

Le diable qui porte le Bénitier à l’entrée de l’Eglise fera couler tellement d’encre qu’il sera vandalisé à plusieurs reprises. 

Le village de Rennes-le-Château dans son ensemble sera tellement retourné et vandalisé dans les années 60, suite à la parution du livre de Gérald de Sède, “L’Or de Rennes” que la Mairie a été dans l’obligation de prendre un arrêté Interdisant les fouilles sur la commune le 28 Juillet 1965. 

Le Domaine de l’Abbé Bérenger Saunière (Deux Tours, Maison et parc) sera construit après la rénovation de l’Eglise et représentera ce qui fut pendant des décennies : 

L’Enigme de Rennes-le-Château. 

Après la mise en évidence des premiers éléments du 20ème siècle, remontons le temps et rendons-nous dans la France du 17ème siècle dans laquelle Louis XIV est Roi de France. 

LE SIECLE DE LOUIS XVI EN FRANCE CATHOLIQUE AU 17èME SIECLE 

Nous arrivons dans cette magnifique région du Razès dans laquelle les Monts qui surveillent et protègent les vallées où coule la Salz abritent toujours les secrets que les simples mortels imprégnés de consumérisme ne peuvent concevoir. 

Et c’est à Rennes-Les-Bains, où le Seigneur des lieux est le Baron Blaise d’Hautpoul, que nous allons aller à la rencontre de la France Catholique du 17ème siècle dans laquelle ont évolué des Hommes de Dieu pour lesquels le Bien Commun et le partage étaient le principal principe et la morale Absolue à devoir appliquer toute sa vie durant.  

Nous voilà dans la belle vallée du Razès en 1645. Le jeune berger Ignace Paris, âgé de dix ans environ, fait paître son troupeau dans la verte vallée du Razès, là où l’immensité du ciel et le cœur de la terre se rejoignent pour ne donner que la meilleure herbe. 

Un de ses moutons s’échappe et le jeune berger laisse son troupeau pour le suivre afin de le faire revenir dans le giron du troupeau. 

Le mouton s’engouffre dans un boyau au sein d’un rocher et le jeune berger le suit pour pouvoir le récupérer car il vient de rentrer dans une cavité qu’il ne connait pas. 

En rentrant dans cette cavité, le mouton se blesse à la patte. 

Au coeur de cette cavité, le jeune berger aperçoit ébahi un dépôt de pièces d’or et de pierres précieuses mais autre chose également ! 

Ebranlé par cette situation -le jeune berger n’a qu’une dizaine d’années- récupère son mouton blessé, se saisit de quelques pièces et court dans sa famille afin d’expliquer le périple qui lui permet de ramener des pièces d’or. 

Le jeune Berger Ignace Paris et son mouton blessé à la patte ont été représentés sur le confessionnal dans l’Eglise de Rennes-le-Château. 

La famille du jeune berger transmettra de suite les faits à Monseigneur Pavillon, Evêque d’Alet en lui montrant les pièces d’Or trouvées par le jeune Ignace.

Monseigneur Nicolas Pavillon est l’Evêque d’Alet ainsi que le gérant de Notre Dame de Marceille à côté de Limoux qu’il avait fait rattacher à son diocèse alors que Notre Dame de Marceille dépendait du diocèse de Narbonne. 

Notre Dame de Marceille était le sanctuaire le plus important de tout le midi de la France pour sa consécration à la Vierge noire qui attirait plus de 60 000 pèlerins tous les ans. 

Monseigneur Pavillon qui se rend sur les lieux du dépôt, constate toutes les richesses entreposées et considère que cette trouvaille est un Don de Dieu. 

Il se trouve que le lieu dans lequel se trouve la cavité qui renferme le dépôt est sur les terres du Baron Blaise d’Hautpoul, seigneur des lieux. Ce lieu sous terre se présente en trois grandes salles dont la large entrée principale a été obturée. C’est l’érosion et de grande eaux qui ont créé la faille par laquelle le mouton et le jeune berger ont pu passer.

Le Baron Blaise d’Hautpoul, propriétaire des lieux, est un horrible personnage aucunement vertueux et encore moins charitable. Ce notable n’est aimé par personne : plus craint qu’Aimé ! 

Monseigneur Pavillon se doutait que si la révélation de cette découverte était faite à Blaise d’Hautpoul, il demanderait que tout lui revienne à lui-seul afin que personne d’autre ne puisse en bénéficier. 

Monseigneur Pavillon décidera donc de taire cette découverte et considèrera que toutes ces richesses sont un cadeau de Dieu pour venir au secours des pauvres et au bien-être du diocèse. 

A cet effet, Monseigneur Pavillon viendra en aide aux Toulousains lors de peste et fera bâtir des Edifices Catholiques pour Notre Seigneur.

Blaise d’Hautpoul n’apprendra la présence du dépôt sur ses terres qu’en 1660, soit 15 ans après la découverte et il fera des procès à Monseigneur Pavillon pour pouvoir récupérer le dépôt sur ces terres. 

Il en récupèrera une partie en compensation financière considérable grâce à Louis  XVI qui donnera cependant raison à Monseigneur Pavillon. C’est un procès entre Blaise d’Hautpoul et Monseigneur Pavillon qui nous donnera la véracité indiscutable du dépôt d’or et autre entreposé dans le Razès qui sera mis par écrit par Jean Loret.

Blaise d’Hautpoul décèdera sans jamais avoir appris où se trouvait le dépôt. 

Et les Travaux pour la Construction de Versailles commenceront en 1661 lorsque Louis XIV apprendra de son prisonnier Nicolas Fouquet l’existence d’un Trésor inégalé dans le Razés.

Le dépôt était tel que Monseigneur Pavillon décidera de faire coder la cache et les lieux du Razès dans la campagne de Rennes-les-Bains où il est situé pour que ses successeurs puissent continuer a bénéficier de toutes ces richesses inespérées. 

Pour cela, il remontera jusqu’à Nicolas Poussin et lui livrera l’endroit du dépôt. 

Nicolas Poussin peindra le fameux “LES BERGERS D’ARCADIE” qui est un tableau également codé. 

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C’est donc Jean Loret, piètre Rimailleur du 17ème siècle qui nous livre l’authenticité du dépôt contenu sur le territoire de Rennes-les-Bains. 

JEAN LORET 1595-1665 

Né en 1595 à Carentan et mort en 1665 à Paris, est un poète et écrivain français connu pour sa publication hebdomadaire en vers des nouvelles de la société parisienne de son temps de 1650 jusqu’en 1665 dans ce qu’il appelait « une gazette burlesque » sous le nom de Lettres en vers et parfois appelé le « père du journalisme ». Wikipedia (FR) 

Les écrits du Piètre Rimailleur Jean Loret que Franck Daffos a ressuscité sont mis à la disposition de tous par le site Internet “Reine du Midi” : http://reinedumidi.com/rlc/Loret.htm 

Jean Loret (1600-1665) serait très certainement resté en son purgatoire des piètres rimailleurs si Franck Daffos ne l’en avait extrait à l’occasion de ses deux ouvrages sur l’énigme des deux Rennes (1). 

La muze historique de Jean Loret et son créateur  
(source des documents : Internet Archive.org et Wikipédia pour la gravure de Loret) 

Le sauvetage tardif n’est pas ici désintéressé car deux poèmes (2) évoquent une pluie d’or sur le comté d’Alet, les voici en commençant par celui passé au 24 septembre 1661 : 

Puis, celui publié le 29 octobre 1661 : 

On doit à Jean Loret, homme peu instruit mais de plaisant esprit plus de 400 000 vers ainsi agencés pour le meilleur, quelques fois, et le pire, le plus souvent. Il commença à rédiger ses feuilles le 12 mai 1650 et ne s’arrêta qu’à sa mort en 1665.  Amusant, léger il sut plaire aux plus grands; mais, en des temps si troublés, n’eut pas assez de finesse pour échapper parfois à de rudes attaques ou à des retournements d’alliance (3). Il est vrai que sa production incessante le contraignit à bien des bévues. Le premier extrait nous le prouve où il dut faire ressusciter, comme il le dit, un homme trop tôt enterré !  
Dans le premier poème qui est rappelé à notre attention, il évoque une pluie d’écus d’or (dont aucun d’icelle contrée, nous précise-t-il) et situe avec imprécision cette “ondée” sur le territoire toulousain. Puis, il revient un mois plus tard sur l’annonce pour situer les faits cette fois dans le diocèse d’Alet.  
Bien sûr, aucun évènement de cette nature ne fut jamais signalé dans ces régions, il nous faut donc tenter de comprendre ce qu’a bien pu vouloir signifier l’amuseur par son récit.  
 
En 1661, à Alet et ce n’est un secret pour personne, l’évêque Nicolas Pavillon a déjà derrière lui une belle réputation. Plusieurs affaires et procès retentissants l’ont signalé à l’attention du grand public, mais sa ténacité a triomphé avec l’aide des frères Fouquet de l’injustice d’un découpage territorial qui lésait son comté et de deux escrocs notoires alliés à d’indignes nobliaux locaux. Il n’en a pas pour autant encore fini avec ces barons qui, depuis certaines mises en ordre, le harcèlent.  L’occasion était tentante pour Loret d’évoquer à demi-mots une de ces histoires qui distraient la cour.  
Certes, mais pourquoi évoquer une pluie d’or, il doit assurément en dehors de la personnalité de Nicolas Pavillon s’être trouvé quelques faits qui ont apporté l’information de départ au chroniqueur ? 
Notons tout d’abord que l’historien Guillaume Catel dès 1633 dans ses “Mémoires sur l’Histoire du Languedoc” signalait la présence de mines d’or et d’argent “près les bains de Regnes, vers le païs du Razès, diocèse d’Alet”.  
Et qu’il est tout à fait raisonnable de croire que cette étude ait, avec l’arrivée en poste de nouveaux fonctionnaires efficaces, déclenché des campagnes de fouilles.  
Car en 1660, le seigneur César d’Arçons parcourt la région pour en faire l’étude précise (4). 
Mais le plus intéressant est bien le texte manuscrit que nous laissa en 1709 le curé Antoine Delmas officiant, nous dit son re-découvreur le docteur Paul Courrent (5), aux Bains de Monferrant depuis 60 ans, et ordonné par son évêque Nicolas Pavillon.  Voici ce qu’il écrit : 

(1) Franck Daffos : Rennes-le-Château : “Le secret dérobé” – Éditions de l’œil du Sphinx – Le serpent Rouge N°3 2005 et “Le puzzle reconstitué” – Éditions Pégase 2007 
Et avant lui : Robert Tiers dans « Le onzième des Travaux d’Hercule » en 2001voir ici : http://nicolaspoussin-tiers.com/index.html 
(2) Les versions numérisées de “La muse historique” sont disponibles sur la base Internet Archive en libre accès ici : http://www.archive.org/details/lamuzehistorique03loreuoft 

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Mais Nicolas Poussin ne restera muet ! 

Il fera part au frère du numéro un Français, Louis Fouquet, du dépôt considérable qui se situe dans le Razès qu’il a codé dans son tableau. 

Nicolas Fouquet, après le Cardinal Mazarin, était l’homme le plus riche de France, ce qui fait que l’on peut même dire que c’était lui le réel propriétaire de la France. Nicolas Fouquet fera nommer son autre Frère, François Fouquet, Evêque, dans le Razès et c’est alors qu’une cache sera réalisée dans la crypte de Notre Dame de Marceille afin de pouvoir faire circuler le trésor pécunier. Ce qui expliquera les deux Jésus dans les bras de Sainte Marie et Saint Joseph qui ne représentent que les DEUX CACHES et RIEN D’AUTRE.

Nicolas Fouquet.

Nicolas Fouquet était le surintendant des finances du Royaume et faisait construire Vaux-le-Vicomte. Et voilà que Nicolas Poussin vint lui faire part par l’intermédiaire de son frère Louis Fouquet d’une cache d’un dépôt découverte dans le Razès que Monseigneur Pavillon lui a fait graver dans un tableau. 

C’est-à-dire que Vaux-le-Vicomte n’a pas était construit avec les richesses se trouvant dans le dépôt du Razès, Nicolas Fouquet étant très riche et de Famille fortunée. Il n’a pas non plus pillé la France pour faire construire son château, ce que Louis XVI apprendra lors du procès contre Nicolas Fouquet mais ne voudra jamais admettre. 

Lors de l’inauguration de Vaux-le-Vicomte, face à tant de richesses exposées, le Roi Louis XVI juge Nicolas Fouquet comme Insolent et tente de le faire arrêter séance tenante. C’est la Reine mère Anne d’Autriche qui l’en dissuadera. 

Vaux-le-Vicomte

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La Famille de Nicolas Fouquet, surintendant des Finances du Royaume de France

Père François IV Fouquet 
Mère Marie de Maupeou 
Fratrie Basile Fouquet 
Louis Fouquet 
Gilles Fouquet 
François Fouquet 
Yves Fouquet 
Conjoint Marie-Madeleine de Castille 
Enfant Louis Fouquet (d) 

Site Internet “Reine du Midi” : Monseigneur Fouquet 

François Fouquet et Notre Dame de Marceille 

Rappelons que plusieurs chercheurs pensent aujourd’hui que François Fouquet, frère aîné de Nicolas Fouquet, surintendant des finances, fut mis au courant de la présence d’un trésor dans le Razès par un autre frère : Louis, informé lui-même par le peintre Nicolas Poussin. 
Ce trésor, Nicolas Pavillon, évêque d’Alet l’aurait fait transférer sous Notre Dame de Marceille où les Fouquet y puiseront dans un premier temps pour arrondir les finances familiales et construire Vaux-le-Vicomte, puis à l’arrestation du surintendant, grossir les caisses de Louis XIV et ainsi maintenir le prisonnier royal en vie !  
A ces sombres desseins, François se serait fait nommer évêque de Narbonne pour être au plus près de Limoux et de Notre Dame de Marceille, ville sous la juridiction spirituelle de l’évêché narbonnais. 

Louis Fouquet séjourne à Rome en 1655-1656. Il est alors abbé de Saint-Martin d’Autun, du Jard, de Ham, de Sorèze et de Vézelay.  Au cours de son séjour romain, son frère Nicolas le charge de collecter diverses oeuvres d’art, aidé en cela par Nicolas Poussin, généreusement rémunéré. 
Le 17 avril 1656, Louis adresse à son frère Nicolas une lettre dans laquelle il évoque “des avantages” que M. Poussin pourrait lui procurer… 

Si Nicolas Fouquet achète le domaine de Vaux avant son accession à la surintendance, alors qu’il n’est que jeune maître des requêtes en 1641, le devis des transformations et embellissements présenté par Louis Le Vau, assisté de l’entrepreneur Villedo, est accepté le 2 avril 1656 (pour 600 000 livres pour le château et 257 000 livres pour les communs).(1)  
On peut donc raisonnablement supposer que tous les plans et prix furent pensés bien avant. Il est bon aussi de se rappeler qu’à l’époque une lettre, un voyageur ne mettaient pas deux jours pour arriver de Rome à Paris. 
Voilà qui écarte définitivement une décision de travaux et donc de fortes dépenses prise à la suite de la révélation de Nicolas Poussin. 

D’autre part, il aurait été nécessaire que François Fouquet puisse mettre en place son circuit de remontée d’un hypothétique trésor audois bien avant 1656 et pour cela s’assurer de la possession de Notre Dame de Marceille ou pénétrer dans les terres de l’évêché d’Alet. 
 
Or, cette fois, c’est l’abbé Joseph-Théodore Lasserre qui nous renseigne dans son ” Histoire de Notre Dame de Marceille” publiée en 1891.(2)  
S’il est exact que François Fouquet est le coadjuteur de l’évêché de Narbonne dès le 8 décembre 1656, ce n’est qu’en 1659, alors qu’il accède pleinement à sa charge d’archevêque, qu’il achète un terrain proche de l’église… mais du côté Nord. Donc trois ans après la fameuse lettre de Poussin supposée avoir révélé un trésor du côté de Rennes-les-Bains. Cette même année 1659, le 25 juin Mazarin est invité à visiter Vaux, le 14 juillet, c’est le Roi et sa mère qui sont de la visite. 
 
Un an plus tard, François Fouquet précise ses intentions à propos de Notre-Dame de Marceille, très proche de Saint-Vincent de Paul et membre actif de la dévote compagnie du Saint-sacrement (3), il a le désir d’y bâtir un centre de missionnaires qui manque pour le Bas-Razès.  
 
Un acte épiscopal daté du 19 avril 1660 (soit 4 ans après la lettre évoquant Poussin) nous donne les motivations de l’archevêque :  
 
“../.. perfectionner et instruire les prêtres de la ville de Limoux et du Razès trop éloignés de la capitale du diocèse. Ayant cherché un lieu convenable pour l’instruction des dits prêtres et former des missionnaires, il fut trouvé que Marceille, à cause de sa situation, de ses édifices et de la dévotion des fidèles qui l’ont rendue fameuse et illustre depuis longtemps remplirait ce but”. 
 
Il faut aussi comprendre que Nicolas Pavillon à moins d’une dizaine de kilomètres de Limoux forme ses propres missionnaires avec une ligne de conduite certes d’une stricte rectitude mais qui ne correspond plus à l’esprit de la Compagnie du Saint-Sacrement. François Fouquet cherche donc aussi à pondérer certains “extrémismes”. 
 
Fort bien, mais là où le bât blesse, c’est qu’en 1660, l’administration temporelle du sanctuaire n’appartient pas à Mgr François Fouquet et donc à l’évêché de Narbonne, nous apprend l’abbé Lasserre, mais aux consuls de la ville de Limoux toute proche et ce depuis fort longtemps !  
 
Cet état de fait ne se déroula d’ailleurs pas sans procès en 1551 et en 1645, mais les consuls avaient le privilège d’élire ouvriers, procureurs, bassiniers de l’œuvre, ermites, et prêtres nécessaires pour recevoir les offrandes des pèlerins à charge d’une redevance annuelle de 6 livres à solder au principal du collège des Doctrinaires de Narbonne à Paris pour l’éducation des étudiants du diocèse. 
Ce n’est qu’en 1662 (donc après l’arrestation de Nicolas Fouquet en septembre 1661 et l’exil à Vezelay de François Fouquet) que par délibération, les consuls, autorisés par les habitants de Limoux cédèrent l’église et toute son administration à l’Archevêque.  
C’est alors que commence la construction du bâtiment pour les missionnaires. Ces derniers devaient être issus d’une congrégation nouvelle : les frères de la doctrine chrétienne fondée en 1592 par César de Bus, nous apprend Gilles Semenou. (4) Mais ils n’exerceront jamais dans le Notre-Dame de Marceille sous responsabilité de Mgr Fouquet. 

 
On comprend donc qu’il y a impossibilité juridique et administrative à disposer avant 1662 du sanctuaire pour la famille Fouquet et encore plus de cryptes qui ne purent être constituées avant cette date car les consuls seuls avaient pouvoirs sur les lieux. 
 
D’autre part, la carrière de François Fouquet fut parfaitement menée, non sans calcul mais dans la plus grande piété, il n’aurait pu faire illusion au sein de la compagnie du Saint-sacrement, remettre au pas les prêtres impies, sans une dévotion réelle.  
Nommé pour succéder à Raymond de la Montagne à l’évêché de Bayonne qui dépendait alors de l’Archevêché d’Auch en mars 1637 (alors que Nicolas Pavillon vient de se voir nommer évêque d’Alet), il est ensuite transféré à Agde, où le 20 septembre 1658, il céda sa place à son frère Louis et enfin à Narbonne où il accède à la fonction d’Archevêque en remplacement de Monseigneur de Rebé, membre de la Cie du St Sacrement comme lui.  
 
La province de Narbonne n’ a rien à envier à une autre province de France. Comprenant les diocèses de Narbonne, Carcassonne, Béziers, Nîmes, Montpellier, Lodève, Usès, Saint-Pons, Alet, Alès, et Perpignan, c’est une riche province et la charge de l’archevêque dégage d’énormes bénéfices.   
Président des états généraux du Languedoc, l’archevêque de Narbonne avait ainsi un poids considérable.  
Laissant le petit évêché d’Agde (26 paroisses, ce qui ne signifie pas pour autant qu’il rapportait moins qu’un autre évêché) à son frère Louis, François réussit là un fort beau plan de carrière. 
Lorsqu’en plein exil, il remettra en question cette montée au plus haut pouvoir, soumis au doute, Nicolas Pavillon ne manquera pas de l’interroger à propos de sa probité religieuse car on savait qu’il avait joué sur quelques échanges de bénéfices pour arriver à ces charges. Et en cela, il se trompait si peu !   
Un certain Dupuis, homme d’affaire efficace et fort riche, installé à Cornanel (aujourd’hui Cournanel) sur le diocèse d’Alet fut un des leviers sur lesquels s’appuya Nicolas Fouquet pour faire accepter, dit-on à Mgr Rebé son frère François comme Coadjuteur. Ce même Dupuis qui se signalera par son oppositions violente à Nicolas Pavillon et finira par lui rendre raison. (5) 

Si les rapports de Nicolas Pavillon et de François Fouquet furent au début assez houleux, on doit à Nicolas Fouquet que rencontra Pavillon à Toulouse où il était en visite avec la cour en 1659, le soin de réconcilier les deux prélats. Leur brouille tenait essentiellement à une affaire d’assiette fiscale l’un (Pavillon) désirant séparer Alet et son diocèse de Limoux, l’autre (Fouquet) désirant l’y maintenir car ce découpage lui était financièrement plus avantageux. C’est Nicolas Fouquet qui donc résolut la dispute en incitant son frère à accepter la séparation fiscale (5). 
 
Les frères Foreau, ecclésiastique qui visitèrent le diocèse d’Alet en 1666, nous apprennent la très grande estime en laquelle François Fouquet tint très vite Nicolas Pavillon. L’archevêque de Narbonne allant jusqu’à louer une maison jouxtant l’évêché pour passer quelques temps à Alet. (6). Lors de la disgrâce du surintendant et de sa famille, François Fouquet écrivit à Nicolas Pavillon plusieurs lettres extrêmement touchantes où il lui demande de prier pour son salut, acceptant comme une grâce du Seigneur l’exil où il est condamné, source de pénitences et de transformations intérieures. 
En 1664, après avoir donné raison à Nicolas Pavillon lors d’un procès entre officiers de leurs diocèses respectifs, il lui demande de l’aider à choisir de meilleurs responsables. S’écartant ouvertement des mouvements de la cour, il lui réaffirme sa confiance et sa considération, ce qu’il ne manqua pas de faire jusqu’à sa mort. 
Ces lettres n’étaient certes pas destinées à être diffusées ou divulguées au monde, elles ne le furent qu’après le décès de leur auteur, on comprendrait mal dès lors dans l’hypothèse d’un échange matériel secret, un échange spirituel si confiant, admiratif et intime entre deux hommes que tout au contraire aurait du opposer. 
 
Christian Attard 
 
Notes et sources : 
 
(1) – Michel le Moël, conservateur en chef des Archives nationales. Dictionnaire du Grand Siècle, Fayard, 1990, p. 1571-1572 
(2) – Joseph-Théodore Lasserre  ” Histoire de Notre Dame de Marceille” Éditions Bélisane. p. 51 
(3) – lire à ce propos “les annales de la Compagnie du Saint-Sacrement” du Comte René de Voyer d’Argenson. p.181, 219 Éditions de l’Oratoire. Marseille. 
(4) –  Gilles Semenou – Notre Dame de Marceille – Carcassonne1992. p.14 
(5) – Vie de M. Pavillon, Evêque d’Alet par Charles-Hugues Lefèbvre de St Marc et Antoine de la Chassagne – 1738. voir le chapître concernant les rapports des Fouquet avec Nicolas Pavillon. 
(6) – Relation d’un voyage fait à Pamiers et à Alet par deux ecclésiastiques. Édition Pomies Foix 1913 

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L’affaire Fouquet 

5 septembre 1661, le ministre des finances de Louis XIV, Nicolas Fouquet, est arrêté par d’Artagnan et ses mousquetaires. 
 
Une fête trop somptueuse [Nicolas Fouquet (1615-1680), Muss de Versailles et du Trianon] Fils d’un armateur breton, Fouquet a redressé les finances de la France après les troubles de la Fronde et il en a profité pour beaucoup s’enrichir. 
 
Énivré par ses succès, il s’est donné pour devise : «Usque non ascendam» (Jusqu’où ne monterai-je pas ?). 
 
Or, depuis la mort de Mazarin, quelques mois plus tôt, le jeune roi Louis XIV (23 ans) n’a plus envie de déléguer à autrui la direction du pays. 
 
Colbert, un ministre jaloux de Fouquet, dénonce au roi ses malversations et le met en garde contre sa puissance. Le roi s’indigne «qu’un homme puisse se rendre l’arbitre souverain de l’État». 
 
Inconscient du danger, Nicolas Fouquet donne une fête somptueuse en son château de Vaux-le-Vicomte, où il a réuni les plus grands talents de son époque : Molière, La Fontaine, Corneille, le décorateur Le Brun, l’architecte Le Vau, le jardinier Le Nôtre, le maître d’hôtel Vatel… Le roi se sent humilié par le luxe tapageur de son ministre et quitte la fête sans en attendre la fin. Il donne peu après l’ordre d’arrêter Fouquet. 
 
Après trois ans de procédure, Fouquet est condamné au bannissement. Louis XIV usera exceptionnellement de son droit pour aggraver la peine. C’est ainsi que le financier et mécène finira sa vie dans la forteresse de Pignerol, dans les Alpes. 
 
Le roi, rassuré, pourra consolider son pouvoir et achever l’œuvre centralisatrice de Richelieu et Mazarin avec le diligent concours de Colbert. 

 
http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/5-septembre-1661-louis-xiv-fait-arreter-fouquet-par-d-artagnan-a-lui-le-pognon-maintenant-04-09-2012-1502623_494.php 

Lors de l’arrestation de Nicolas Fouquet, D’Artagnan avait la peur au ventre car il était persuadé que le Roi l’envoyait au “casse-pipe” du fait que Nicolas Fouquet s’en sortirait et qu’il lui ferait payer son arrestation au centuple. 

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Un Redoutable Secret 

Jean-Christian Petitfils écrira : « La rigueur extrême dont on l’entourait ne prouve qu’une chose : même abattu, même enserré entre quatre murs, il faisait encore peur ! » 

Pourquoi donc avoir si peur de Nicolas Fouquet ? 

  Louvois évoque “d’Importants Secrets détenus par Nicolas Fouquet” le 8 avril 1680. Voltaire également dans son Siècle de Louis XIV.  

Voici quelques extraits de lettres à propos des SECRETS de Nicolas Fouquet : 

  • Lettre de Louis Fouquet (frère de Nicolas Fouquet) du 17 avril 1656 : Le peintre Nicolas Poussin qui vit dans l’entourage du pape et détient un secret sans pareil promet à Fouquet « des avantages que les rois auraient grande peine à tirer de lui [Poussin], et qu’après lui personne au monde ne retrouvera jamais dans les siècles à venir. Ce sont choses si fort à rechercher que qui que ce soit sur la terre maintenant ne peut avoir meilleur fortune, ou égale ». 
    (Source : De Lépinois, Lettres de Louis Fouquet à son frère Nicolas, page 269 et suivantes) 
  • Extrait des mémoires de Fouquet pendant son procès : « Demeurons dans le silence et le respect, ne disons pas au public ce que je serais consolé si je pouvais avoir l’honneur de dire à Sa Majesté, en secret, comme le plus important de tous, et qu’il saura peut-être trop tard. » 
    (Source : Nicolas Fouquet, Mémoires de Défense, 1663 
  • Une lettre du 21 janvier 1673 de Saint-Mars à Louvois, où sont reportées les paroles de Fouquet, alors prisonnier à Pignerol, qui espère une grâce royale en échange d’un secret peu banal : « Je m’occupe depuis longtemps à examiner les services les plus considérables que l’on pourrait rendre à Sa Majesté, et Dieu m’a donné des lumières d’affaires si grandes et des desseins si importants, si faciles et si glorieux que je lui ferais un sensible déplaisir qu’elles fussent perdues sans qu’on en eût connaissance. » 
    (Source : Ravaisson, Archives de la Bastille, Tome 3, p 123, 1880) 
  • Une lettre de Lauzun à Louvois du 26 janvier 1680 : « Je n’ai pas plus d’impatience d’être libéré que de vous faire informer de ce que j’ai à vous faire savoir. (…) vous n’avez point trouvé jusqu’ici de serviteur qui vous en ait donné des preuves aussi solides, importantes, utiles et agréables et si convenables à l’état de sa fortune (…) cela, vous est de toute manière d’une conséquence au-dessus de tout ce que vous pouvez imaginer ». 
  • Une lettre du 8 avril 1680 de Louvois à Saint-Mars : « Le roi a appris par votre lettre du 23 mars la mort de M.Fouquet et le jugement que vous faites que M. de Lauzun sait la plupart des choses importantes dont M. Fouquet avait connaissance. » 

Une certitude : la mort « officielle » de Fouquet suit de peu la découverte par Louvois de choses « d’une conséquence au-dessus de tout ce qu’il pouvait imaginer. ». 

Henri Martin écrira : 

« Le roi était sans doute au courant de l’existence d’un secret extraordinaire. Cela expliquerait son changement d’attitude à l’égard de Fouquet à partir de 1676. Et son intention de le libérer. Mais il allait probablement le faire lorsque Louvois lui a coupé l’herbe sous les pieds en annonçant la mort de Fouquet. » 

Louis XIV laissera LES PREUVES du financement de Versailles. Les travaux débuteront en 1661 soit 16 ans après la découverte de la cache des trois salles du dépôt ou Trésor trouvé par hasard par le jeune berger Ignace Paris en 1945.

LE REGNE DE LOUIS XVI 

Dans le portrait de notre Roi peint par Hyacinthe RIGAUD, ce qui est le plus important ne « saute pas aux yeux » loin s’en faut ! 

Et pourtant !!! 

Comment peut-on Imaginer une seconde que le Roi le plus PUISSANT parmi les Nations ait pu avoir l’outrecuidance de poser volontairement la Fleur de Lys de son sceptre « en bas » alors qu’elle devrait être dirigée VERS LE HAUT ? 

Hyacinthe Rigaud a savamment dirigé notre regard sur le Roi Louis magnifiquement vêtu, montrant ses « jambettes » en prenant soin de peindre, sur le côté gauche de son portrait ce que le Roi Louis voulait réellement nous montrer !  

Toutes les explications sur le net concernant le Portrait de Louis XIV convergent vers le pouvoir qu’il exerçait en passant ainsi à Côté du « Détail PRIMORDIAL » ! 

Comment « trouver Normal » qu’un Roi dirige son sceptre à la Fleur de Lys vers LE BAS ? Apparemment, cela n’interpelle pas, la preuve : 

En effet, Louis XIV tient son septre à la Fleur de Lys posée VERS LE BAS alors que le pouvoir Royal doit être VERS LES CIEUX 

Sa Couronne et la Main de Justice sont aussi posées sur un coussin en velours Bleu Royal qui a la forme d’un couvercle de COFFRE ! 

La Fleur de Lys, la Couronne et la Main de Justice,Symboles Royaux, sont précisément posés sur le couvercle d’un Coffre que l’on nous montre pour nous dire : 

« Ce qui est caché dans ce coffre est SACRE » ! 

Louis XIII avait fait construire sur le territoire de Versailles un simple pavillon dans lequel il résidait lorsqu’il organisait des parties de chasse. 

Colbert s’était farouchement opposé à la construction du Château de Versailles dont les finances du Royaume ne permettaient pas l’édification aux vues des travaux de terrassement extraordinaire coûteux qu’il fallait réaliser pour assécher avant toute édification. Le Royaume de France ne pouvait pas se permettre de telles dépenses et pourtant des dépenses faramineuses auront lieu en 1661 !

Comme Chambord, Versailles était effectivement une terre marécageuse où il paraissait invraisemblable qu’une construction puisse voir le jour. 

VERSAILLES ETAIT LE PAVILLON DE CHASSE DE LOUIS XIII, Père de Louis XIV. 

Les MARECAGES de VERSAILLES AVANT ASSECHEMENT TOTAL 

Les marécages seront asséchés comme à Chambord et Louis XIV fera bâtir le Château Royal sans Démolir le pavillon de chasse de son père Louis XIII. 

MAIS AVEC QUEL ARGENT ces somptueux travaux pourront-ils être réalisés alors que le Royaume n’a pas les moyens de pareils travaux ? 

Versailles deviendra LE HAUT LIEU DU POUVOIR DE LA FRANCE et Louis XIV nous laissera les preuves indélébiles que la construction de Versailles est également codée et nous amène dans le Razès pour ceux qui savent décrypter les messages gravés dans la Pierre –PETRUS-. 

Louis XIV fera reproduire 3 Grottes dans les Jardins de Versailles avec, dans l’un d’entre elle, une Cascade !


FONTAINE DES AMOURS DE RENNES LES BAINS AVEC SA CASCADE EN FOND

Les 3 Grottes dans le Domaine de l’Abbé Saunière

Avec Franck Daffos, Jean-Pierre Garcia a également fait un travail d’Historien dans l’Affaire de Rennes-le-Château. Il est ici au premier plan au sein de la grotte au banc reproduite dans le domaine de l’Abbé Saunière.

Jean-Pierre Garcia Jean-Pierre Garcia, ses recherches, ses …

Versailles

GROTTE QUI DEVIENDRA LA GROTTE DE MARIE-ANTOINETTE 

Un tableau de Téniers le Jeune sera “traficoté” pour laisser apparaître en fond un paysage du Razès et nous montrera 3 ouvertures de grottes.

Louis XIV achètera le Tableau de Nicolas Poussin “Les Bergers d’Arcadie” qu’il gardera toute sa vie durant dans ses appartements privés.

Bassin 5 : « La France Triomphante » 

Un personnage, dont le visage est masqué en référence au masque de Fer qui était Nul autre que Nicolas Fouquet qui a transmis au Roi de France des ressources inespérées afin de pouvoir construire un Palais Royal qui deviendra LE TRIOMPHE DE LA FRANCE.

Un cerbère est le Gardien du personnage et de son secret. 

Louis XIV fera écrire sa devise “NEC PLURIBUS IMPAR” = “AU DESSUS DE TOUS” sur le Plafond de la salle du Trésor Royal de Versailles et fera dessiner le Trésor Royal qui se compose de pièces d’Or aucunement en service au 17ème siècle ainsi que de pierres précieuses dont LE BLEU DE FRANCE sera évoqué dans le film “TITANIC” sous le nom du ”Coeur de l’Océan”. Le BLEU DE FRANCE (et pas que lui !!!)  qui sera pillé à la révolution dite française à Versailles. 

Le “Coeur de l’Océan” dans le film TITANIC : Le Diamant Royal 

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La Chapelle Royale est la dernière création de Louis XIV au sein de Versailles. 

LA CHAPELLE ROYALE 

Louis XIV dédiera La Chapelle Royale à Saint Louis qui était allé à Jérusalem acheter la Couronne d’Epine de notre Seigneur Jésus-Christ pendant LES CROISADES. Versailles8 

SAINTE CHAPELLE DE SAINT LOUIS REPRODUITE A VERSAILLES PAR LOUIS XIV  

Aucune représentation du Christ, pas de Croix, pas de Vierge Marie, pas de Saints dans la Chapelle Royale de Louis XIV !

Cela aurait tout de même du interpeller les Historiens, Quand même ! Mais Non ! Un Roi Catholique qui ne fait mettre dans sa chapelle AUCUN SYMBLE CATHOLIQUE, ça passe comme du bon pain !

Louis XIV fera représenter SAINT-LOUIS dans la Chapelle Royale ! 

Il montre son Aïeul Saint-Louis comme étant le Gardien d’un Coffre ! 

Si l’on blanchi une partie du mur en contre-bas, l’on constate que Saint-Louis tient bien un coffre entre ses mains ! 

Tombeau des Pontils dans le Razès

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Les Artéfacts de Jérusalem ramenés en Europe par les Romains 

La « Procession Triomphale » fresque visible à Rome sur l’Arc de Titus, datant de 81 après JC. On y voit les Romains piller le Temple de Jérusalem, en emportant la Ménorah. 

LOUIS XIV fera reproduire la Ménorah, les Tables de la Loi ainsi que l’Arche d’Alliance dans la Chapelle Royale et fera dessiner un coffre tenu par Saint-Louis ! 

Et les Historiens n’y voient que du Feu !!!

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Mais d’où peut donc provenir le Trésor déposé dans le Razès ?

L’arc de Titus a été construit après la mort de Titus, afin de célébrer ses campagnes victorieuses en Judée. Sur la partie supérieure de l’arc, il y a une inscription gravée :  “SENATUS POPULUSQUE ROMANUS DIVO TITO DIVI VESPASIANIE VESPASIANIO AUGUSTO”, ce qui signifie : 

“Le Sénat et le peuple romain pour le divin Titus Vespasien , Auguste, fils du divin Vespasien”. 

Rome sera à son Tour pillée en 410. 

Le Traumatisme de Saint-Augustin qui assista au Pillage de Rome par les Wisigoths conduits par Alaric du 24 au 27 Août 410 

Né sous l’empereur Constance II, Saint Augustin a assisté à la chute de Rome et a vu l’Empire romain s’effondrer sur lui-même. La Cité de Dieu de Saint Augustin semble bien être une histoire identitaire en réponse à un trouble politique puisque, en réponse au sac de Rome de 410. 

 Elle déconstruit le système politico-religieux du paganisme pour lui substituer l’Auctoritas des Écritures chrétiennes à partir desquelles elle relit toute l’histoire universelle. 

Saint Augustin meurt en 430, après avoir assisté au pillage de Rome par Alaric (410) et au siège d’Hippone par les Vandales.  

Alaric 1er rentre dans Rome le 27 Août 410 et mettra la Ville : “A FEU ET A SANG”. 

Où donc ont été cachées les richesses du sac de Rome orchestré par les Wisigoths ? 

Le sac de Rome par les barbares en 410Joseph-Noël Sylvestre, 1890. 

Après le sac de Rome par les Wisigoths, les CROISADES : PERTE DE SAINT-JEAN D’ACRE EN 1292.

Templiers et Hospitaliers dans le Razès en 1294 

VIKIDIA : https://fr.vikidia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Versailles

LA CONSTRUCTION DU CHÂTEAU DE VERSAILLES A DEBUTE EN 1661

“La construction du futur Château commence en 1661. Les travaux, très coûteux, ont duré jusqu’en 1710. Les architectes furent Le Vau et Mansart qui avaient été les constructeurs de Vaux-le-Vicomte. La décoration a été dirigée par Le Brun. Les architectes vont bouleverser la nature pour y installer le palais. La petite colline où s’élevait le château de Louis XIII va être agrandie en y amenant de la terre. Les marécages vont être drainés pour fournir les étendues nécessaires aux jardins. Pour creuser le Grand canal (1 650 mètres de long pour le grand bras et 1070 pour le petit bras), on va éventrer une colline. Pour fournir l’eau nécessaire aux centaines de fontaines, on va construire un immense réseau d’alimentation avec canalisations et aqueducs parcourant toute la région.

Louis XIV a refusé que l’on touche aux constructions de son père. Elles constituent l’entourage de la cour de marbre au cœur du château. C’est là qu’étaient situées la chambre et une partie des grands appartements du roi, c’est-à-dire des pièces de réception où se déroule la vie officielle du roi. Les façades sont de brique, les parements des fenêtres sont en pierre de taille ; les toits en pente sont couverts d’ardoises. À partir de 1662, le roi fait agrandir le château. Dans le même style, on construit deux ailes en avancées et légèrement décalées sur la façade Est (vers la ville). Ces ailes contiennent des écuries, les cuisines et l’office. En 1664, le roi, qui réside habituellement au château de Saint-Germain-en-Laye, tout proche, reçoit la Cour à Versailles et lui offre les spectacles des Plaisirs de l’île enchantée où lui-même participe comme artiste. Les années suivantes sont consacrées aux aménagements des jardins et des bassins par André Le Nôtre.”

Franck Daffos à Notre Dame de Marceille en 2006 : Le Trésor est VOTIF.

FIN DE LA PREMIERE PARTIE.

Un Grand Merci à Monsieur Franck Daffos ainsi qu’à Monsieur Jean-Pierre Garcia, Eminents véritables Vrais Historiens pour nous avoir délivrer la Véritable Histoire de Rennes-le-Château.

Dans la deuxième partie nous ferons connaissance de Prêtres et de Monseigneurs qui font que l’Affaire de Rennes-le Château et Rennes-les-Bains est une Histoire TOTALEMENT CATHOLIQUE infiltrée depuis 1960 par la maçonnerie qui en a perverti le sens et le Message pour les Générations.

Notre Devoir de Catholique est de redonner à cette affaire son véritable sens, son véritable témoignage.

C’est grâce au Très Intelligent et Instruite Abbé Henri Boudet, à son livre codé et au codage de l’Eglise de Rennes-le-Château que nous avons pu connaître le Réel financement du Château de Versailles.

Merci Monsieur l’Abbé, que notre Seigneur vous bénisse, vous êtes à ses côtés.

Bonne et Sainte Semaine à Tous.

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