Liberté du Mal : LE FRUIT POURRI DU MONDE ACTUEL. Cours sur le libéralisme n° 7 par l’Abbé Salenave. Vidéo.

_ La liberté humaine est-elle un absolu ?

_ Par quoi est-elle mesurée ?

_ Notre liberté est-elle la règle du bien et du mal ?

_ Peut-on être coupable en suivant sa conscience ?

_ L’état doit-il toujours respecter la conscience individuelle

_ Rôle du concile Vatican II dans la destruction des états catholiques


4 Commentaires

  • Courage ! Ça va aller ! On a fait des pas de géants. On doit reconstruire maintenant . Vous avez été omniprésent 🥰🥰🥰

  • Le livre d’Hénoch.

    Ce livre contient la plus vieille prophétie de toute la bible.
    Le livre d’Hénoch parle de 70 générations depuis Hénoch, jusqu’au retour de CHRIST! Héncih est le premier CHRETIEN de la bible! Il utilise la formulation, fils de l’homme au sens chrétien, mais aussi le seigneur des esrpits, car en apocalypse, Jésus esrt celui qui a les sept esprits de DIEU, qui parcourent toute la terre.
    Héncoh et la bible en générale inciste surr le fait qu’il est le septième depuis ADAM.
    Comme nous ne savons pas quand Hénoch a écrit son livre, nous devons comprendre qu’il y a depuis l’origine du calendrier juif, 76 générations.
    Le dernier verset du livre d’Hénoch, affirme que les générations(76) succèderont aux générations(76). le calcul est alors simple:
    76×76=5776
    L’annnée 5776 est l’année 2016+ que vous avez passée dans l’ignorance.
    Voici une adresse pour lire le livre d’hénoch:

    http://www.yechsu.com

    cette prophétie fait suite à la prophétie de Mt20.16 pour 2016.
    relire Mt1.1 à 1.17, pour réaliser le calcul de Mt1.17 grâce à la connaissance d’Ap21.17->14×144=2016
    le pentateuque contient 5852 versets-76 versets en EDDEN = 5852-76=5776
    Viendra la prophétie de DANIEL dans sa totalité et la solution d’ESDRAS.

  • Pierre Mary de Montamat

    Excusez-moi, mais il n’est pas sensé de définir la liberté comme une faculté. C’est essentiellement une qualité de notre volonté. L’homme n’ayant que deux facultés spirituelles, l’intelligence et la volonté. Analogiquement, c’est la même erreur que ceux qui parlent de la conscience comme une faculté.

    Les expressions de certains auteurs qui font état de ‘faculté’ sont des raccourcis qui n’entendent pas définir la liberté. Il n’y a à proprement parler que des choix ou décisions libres. La bonté de la volonté (idem l’intelligence avec le vrai) c’est l’habitus du bon agir, la vertu qui admet croissance. L’agir humain, en philosophie ne peut être caractérisé de manière binaire (bien/mal). Il faut analyser l’acte en lui-même (et ses circonstances) et notre être intérieur.

    Il faut bien comprendre que la volonté peut bien agir par accident, cad en posant un acte bon, mais sans agir par vertu. C’est le même processus pour l’intelligence. Ces pourquoi il y a des vertus intellectuelles et des vertus morales.

    Là où l’on voit l’impropriété, c’est dans le verbe ‘se mouvoir dans’ ! Non, la volonté tend vers sa fin. C’est la notion clé de la philosophie morale.

    Ensuite : ‘faculté pour déterminer l’homme au bien’ ! Ah on serait alors déterminé au bien ? C’est ça être libre ? Kant n’est pas loin… et Platon non plus (cf le Lysis) Non, nous ne sommes pas déterminés au bien, précisément. C’est lorsque la volonté choisit de faire un acte bon, alors la volonté grandit dans sa qualité qu’est la vertu, son habitus qui la perfectionne, cad la rend plus conforme à (ou la rapproche de) sa Cause qu’est Dieu. Plus nous nous rapprochons de notre Cause, plus nous sommes inclinés à faire le bien, par Dieu d’abord, puis par la perfection de notre volonté. En d’autres termes, il ne suffit pas de connaître le bien pour le réaliser…

    Et quant il parle du ‘libre-arbitre’ c’est comique… Là on comprend que la liberté est une qualité suivant le libre-arbitre (cad choix indéterminé), car la volonté comporte une indétermination générale à se porter sur des biens plus ou moins parfaits. Et parfois des biens qui sont ‘contre-nature’ ou contraires à la vertu, cad à la perfection de notre être. Il faut un double jugement pour connaître le bien à réaliser et le mal à éviter. D’où les préceptes affirmatifs et les préceptes négatifs.

    ‘La liberté est une conséquence de l’intelligence’ au secours ! ‘La liberté vient de l’intelligence’ !!! En tous cas très mal dit. L’agir libre se fonde sur un jugement de l’intelligence qui est réél, cad vrai car conforme à notre nature.

    Que de raccourcis, sur la liberté de Dieu et notre liberté ! J’arrête à 16 minutes…

    Ce prêtre devrait retourner à l’étude de la philosophie !!!

  • Pierre Mary de Montamat

    Je rajoute juste une chose : le titre choisi n’est pas bon. Il est tout à fait impropre de parler de liberté du mal.

    Si c’est dire que chacun a la possibilité (théorique – universelle) de faire mal, de mal agir, oui, je comprends.

    Mais on comprend que l’on n’est pas libre lorsque l’on agit mal. On se dégrade soi-même en s’éloignant de sa Cause (Dieu). C’est ce que les théologiens vont appeler le péché.

    Je peux expliquer plus s’il le faut…

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