« Vous verrez que, dans la dernière semaine de la campagne présidentielle, nous aurons un grave incident ou un meurtre », pour « montrer du doigt les musulmans », « tout ça, c’est écrit d’avance », a affirmé Jean-Luc Mélenchon en Juin 2021.

Jean-Luc Mélenchon n’est pas Devin, il sait comment fonctionne la république maçonnique qui a besoin de Sang pour se maintenir au sein de la France qu’elle occupe.
Jérémy Cohen est décédé le 17 Février 2022.

L’accident a eu lieu de nuit, vers 20 heures ce mercredi, au niveau de l’avenue Jean-Jaurès à Bobigny. Un homme a été heurté par un tramway de la ligne 1 qui relie Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) à Noisy-le-Sec. Le choc s’est produit entre les arrêts Libération et La Ferme. La victime, transportée à l’hôpital en état d’urgence absolue, n’a pas survécu à ses blessures. Selon la RATP, elle a traversé la plate-forme des voies en dehors des traversées piétonnes.
« Le Groupe de protection et de sécurité des réseaux, la police et le SAMU sont rapidement intervenus sur place », précise l’entreprise. Le conducteur du tramway, très choqué, a également été transféré vers l’hôpital. Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire par le commissariat de Bobigny. Le trafic a été interrompu entre 20h10 et 21h38 entre les stations Bobigny-Pablo-Picasso et La Courneuve-8 Mai 1945.
Nous sommes la dernière semaine avant les élections présidentielles et nous constatons que les propos de Jean-Luc Mélenchon prennent tous leurs sens.
Subitement, le décès de Jérémy Cohen devient “Une Affaire d’Etat” qui se retrouve sur tous les plateaux télé.
L’Elysée contacte les parents de Jérémy.

Le père de Jérémy Cohen, Gérard Cohen, s’est adressé à Eric Zemmour afin de porter cette affaire classée “Accident” à la connaissance de tous :




La conclusion coule de source :


LE 06 JUIN 2021
Le Télégramme : https://www.letelegramme.fr/france/melenchon-imagine-un-grave-incident-dans-la-derniere-semaine-de-la-presidentielle-06-06-2021-12763629.php

« Vous verrez que, dans la dernière semaine de la campagne présidentielle, nous aurons un grave incident ou un meurtre », pour « montrer du doigt les musulmans », « tout ça, c’est écrit d’avance », a affirmé Jean-Luc Mélenchon (LFI), ce dimanche.
Interrogé dans l’émission Questions politiques (France Inter/Le Monde/Franceinfo), le chef de file des Insoumis et candidat à la présidentielle a d’abord indiqué souhaiter qu’Emmanuel Macron « se représente », car « on aura de quoi dire » sur son « bilan ».
« Sinon, on nous sort un autre petit Macron du chapeau, (…) on ne sait pas qui c’est, pouf, il se fait élire président. C’est le système qui l’invente. La dernière fois, Macron, il est arrivé au dernier moment. Là, ils vont peut-être en trouver un autre », a-t-il enchaîné.
« À chaque fois, ils en trouvent un. Dans tous les pays du monde, on a élu des petits Macron, il s’appelait Macri en Argentine, (…) c’était en Ukraine un type qui jouait dans une série de télévision (une allusion à Volodymyr Zelensky, élu en 2019). Dans tous les pays du monde, ils ont inventé un type comme ça, qui sortait de rien, et qui était porté par un système oligarchique », a poursuivi le patron des Insoumis.
« Tout ça, c’est écrit d’avance »
« De même que vous verrez que, dans la dernière semaine de la campagne présidentielle, nous aurons un grave incident ou un meurtre. Ça a été Merah, en 2012 (auteur jihadiste des tueries de Toulouse et de Montauban, notamment dans une école juive), ça a été l’attentat, la dernière semaine, sur les Champs-Élysées (en 2017, un jihadiste assassine le policier Xavier Jugelé), avant on avait eu Papy Voise (Paul Voise, un retraité agressé chez lui à Orléans, en avril 2002), dont plus personne n’a jamais entendu parler après. Tout ça, c’est écrit d’avance », lance alors Jean-Luc Mélenchon.
« Nous aurons le petit personnage sorti du chapeau, nous aurons l’événement gravissime qui va, une fois de plus, permettre de montrer du doigt les musulmans et d’inventer une guerre civile, voilà, c’est bateau tout ça », conclut le député LFI.
Indignations
La sortie de Jean-Luc Mélenchon a suscité une série de réactions indignées. Latifa Ibn Ziaten, dont le fils militaire a été tué par Mohammed Merad, a dénoncé des propos « inadmissibles », réclamant du « respect pour les victimes ».
« Quand on manie ainsi la démagogie, on ne peut prétendre à devenir président de la République », a fustigé la cheffe du groupe PS à l’Assemblée, Valérie Rabault, jugeant « inacceptable » de « réduire les atrocités des attentats de Montauban et Toulouse, en 2012, à de la machination électorale ».
« On est vraiment au-delà de la honte », a aussi réagi la LREM Aurore Bergé, sur Twitter.
« Les complotistes anticomplotistes sont de sortie. Ils nient que les assassins font leur coup au moment qui fait parler d’eux. Propos ineptes. À moins que ce soit pour les couvrir », a répondu Jean-Luc Mélenchon, sur le même réseau social, citant comme source d’inspiration un article du Figaro sur « les attentats et faits divers qui ont bouleversé les campagnes présidentielles ».